Ca n’en finit plus des amours greco-chinois noués à l’occasion du passage du flambeau de l’organisation des JO. Du coup, la Grèce est devenue la destination privilégiée des touristes chinois, selon un sondage organisé par la revue VOYAGE posant la question de la destination la plus prisée des touristes chinois en Europe, Asie et Afrique, alors que de son côté, la Grèce annonce sa participation à la 2e Biennale internationale de Pékin 2005. Comme quoi, il n’y a pas que le sport, le business et le tourisme qui se passent du respect des libertés fondamentales, l’art s’y met aussi, et de plus, sous caution d’humanisme !
De nombreux rédacteurs spécialisés dans les magazines de tourisme et lecteurs de la revue, ayant une riche expérience dans le tourisme et les voyages, ont participé à ce vote. Avec un tirage de 296.000 exemplaires, la revue VOYAGE s'adresse à la section supérieure du marché touristique chinois.
La Grèce s'adjuge la première place avec 80% des préférences, suivie par la France avec 60%, puis l'Italie.
Le prix a été remis à l'ambassadeur de Grèce en Chine, Mikis Kabanis, accompagné par le conseiller de presse et responsable du bureau de l'Office hellénique du Tourisme (EOT) à Pékin, Stelios Korkidis.
Participation de la Grèce à la 2e Biennale internationale de Pékin 2005
Quinze artistes grecs - sélectionnes par la commission des organisateurs de la Biennale de Pékin - participent à la 2e Biennale internationale de Pékin sur le thème "L'Art contemporain et les références humanistes" organisée par la Fédération des Artistes et les Unions d'écrivains de Chine, la municipalité de Pékin et la Société des Artistes chinois, sous l'égide du ministère chinois de la Culture, et inaugurée le 20 septembre au Musée des Arts du Millénaire et au Musée national des Beaux arts de Pékin, en présence de l'ambassadeur de Grèce en Chine, M. Kabanis. L'exposition gardera ses portes ouvertes jusqu'au 20 octobre. 500 artistes au total venus de 60 pays y participent.
La 3e Biennale de Pékin aura lieu pendant les JO de 2008, en signe de volonté des organisateurs, comme ils le soulignent, « d'unifier un tout indivisible, l'événement sportif suprême que constituent les JO et l'art international. »