Il y en a beaucoup qui disent que Tsochatzopoulos n'est qu'un bouc émissaire, qu'il paye pour d'autres. L'attitude modeste et en retrait de son épouse, soucieuse de donner une image de "bonne mère, bonne, aimante et déplorée épouse" est sûrement conseillée par leurs avocats familiaux. La famille Tsochatzoglou (comme Tsolakoglou) a sûrement préparé son jeu de théâtre depuis longtemps. Mme Tsochatzoglou compare ses enfants à des "crucifiés de la semaine sainte". Elle oublie trop vite d'autres crucifiés, beaucoup de crucifiés par les faits de son cher et "souffrant" époux, le pays entier en fut crucifié et se prépare à être crucifié longtemps encore par ceux qui ont "vendu son vêtement" et se le sont partagé au jeu. Car Monsieur Tsochatzoglou était bel et bien le propriétaire de sociétés of shore (à l'extérieur de la Grèce) par le biais desquelles il percevait une partie de l'argent payé par les caisses publiques de la Grèce pour acheter les sous marins fantômes. C'est-à-dire que c'était lui-même et sa Sainte épouse déplorée comme la Sainte Vierge au jour de la Crucifixion de son époux Jésus-Christ du PASOK (oui ils lui doivent une fière chandelle avec tous les pots-de-vin perçus) qui percevaient l'argent volé des caisses de l'état grec. Et ne l'oublions pas, l'essentiel, Monsieur Tsochatzoglou est le co-fondateur du PASOK donc le véritable patron et pas,- son subordonné en réalité-, Papandréou. Il fut une éminence grise très grise allant jusqu'au noir même mais pas si grise pour qu'il ne soit pincé par la loi grecque grâce à deux femmes juges que le pays félicite.