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LES BOURBAKI : UNE FAMILLE DE SOLDATS GRECS AU SERVICE DE LA FRANCE

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Le General Denis Sauter Bourbaki fut un general qui a ecrit une des pages les plus importante de l histoire de France du 19 eme siecle

Son CV

http://military-photos.com/bourbaki.htm

Mais il est issus d une famille tres implique tant aux services de la Grece que de la France

LES BOURBAKI : UNE FAMILLE DE SOLDATS GRECS AU SERVICE DE LA FRANCE

Charles Denis Sauter Bourbaki, Officier français. Devenu Général et Commandant en chef de la garde impériale du second Empire, il est né à Pau (Pyrénées-Atlantiques), le 22 avril 1816 et s'est éteint à Cambo, le 27 septembre 1897. Il est enterré au cimetière de Saint-Etienne, à Bayonne.

Français patriote, brillant soldat, Européen avant l'heure par ses origines franco-hispano-grecques, amoureux de la France, Bourbaki est aujourd’hui oublié parce que ses guerres furent d’un autre temps. Il a néanmoins laissé des noms de rues dans quelques villes ainsi qu'à Pau ; il a également donné son nom à une expression utilisée dans l’armée française, "l’armée à Bourbaki", qui désigne une armée mal équipée d’un peu tout et n’importe quoi: allusion à l’unité que lui confia à la hâte l'Etat-major français pendant la guerre perdue de 1870.

La suite sur ce site

ou il parle du grand pere Sauter Bourbaki et aussi du pere Denis Bourbaki

Ce site est fort interessant de Philliki.org ou vous pourrez aussi lire un autre sujet sur

La participation grecque au Débarquement de Normandie

http://www.philiki.org/index.php?option…

Charles Denis Bourbaki sur wiki

http://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_De…

Et un livre qui lui fut dedier

Le general Bourbaki

Au mois de décembre 1798, des bruits contradictoires circulaient en Europe sur l'attitude inquiétante que prenait le genéral Bonaparte en Egypte ; des difficultés inattendues, suscitées par l'or de l'Angleterre, surgissaient de toutes parts.

Le Directoire s'en inquiétait. La seconde coalition était partout victorieuse. Les armées russes et autrichiennes avaient battu Jourdan sur le Danube, Schérer sur l'Adige,
Moreau sur Tadda.

La république cisalpine était détruite, Mantoue assiégée, Masséna se maintenait à peine dans les
rochers de la Suisse.

A l'intérieur, les Jacobins du Manège relevaient la tête, pendant que la Vendée prenait les armes.

La famille du général Bonaparte, qui avait des parents et des amis à Gênes, à Livourne, en Corse, organisa un service de correspondances pour communiquer avec le commandant en chef de l armée d'Egypte, lui faire connaître la situation de la France, et l'engager à rentrer à Paris, pour mettre de l ordre dans les affaires de l'État.

La mission était délicate et dangereuse. II fallait un homme très au courant de la navigation, connaissant bien la Méditerranée, sachant éviter les croiseurs turcs et anglais embusqués aux abords du cap Matapan ou du cap Saint-Ange et qui voulût bien se charger d'être un émissaire aussi audacieux que consciencieux, au risque d'être pendu haut et court.

Cet homme se trouva à Marseille, devenue l'entrepôt d'un commerce considérable avec l'Orient.

C'est un marin grec du nom de Sauter-Bourbaki, que de fréquents voyages à Marseille avaient mis en relations avec Joseph Bonaparte, marié le i*' août 1794 à une demoiselle Marie-Julie-Clary , fille
d'un riche négociant de la capitale des Bouches-du-Rhône.

Le courageux marin était né à Céphalonie, capitale de la plus grande des îles Ioniennes. Il partit sans hésiter sur un petit bâtiment nolisé à cet effet ; navigua sous pavillon neutre à destination de Beyrouth, pour de là louvoyer le long des côtes du Levant, prêt à se jeter dans le port le plus voisin
pendant l'absence des croiseurs anglais ; prêt aussi à jeter à la mer les dépêches qu'il portait et qui étaient enfermées et scellées dans une enveloppe de plomb.

Il traversa la Méditerranée dans toute sa longueur, déjoua les calculs des corsaires ameutés par la piraterie turque, arriva à Alexandrie sans encombre et eut la bonne fortune d'accomplir sa mission avec un courage, un sang-froid et une habileté dignes des plus grands éloges.

Ce Sauter-Bourbaki est le grand-père du futur commandant en chef de la garde impériale du second Empire.

La suite sur ce lien ou vous pourrez lire tout le livre sur le General Bourbaki

http://www.archive.org/stream/legnralbo…

Le nom de bourbaki a ete donne a un trois mats de la mrine de guerre francaise fin du 19 eme siecle

http://fr.wikipedia.org/wiki/Bourbaki_(…

Il y a meme un musee panorama exeptionelle qui porte son nom en Suisse a Lucerne

A la suite des défaites françaises en septembre 1870 (guerre Franco-allemande), Belfort est assiégée dès le 2 novembre par les Allemands. L'armée de l'Est, commandée par le général Charles Denis Soter Bourbaki, tente de débloquer la place. A la mi-janvier 1871, elle combat sur la Lisaine le corps d'armée Werder. Apprenant que l'armée Manteuffel fait mouvement en direction de Besançon, Bourbaki décide de se replier sur Lyon, mais ses troupes, désorganisées et démoralisées, sont rejetées sur la frontière suisse. Vu le danger, le Conseil fédéral décide une mobilisation partielle et le général Hans Herzog adapte hâtivement son dispositif, renforçant la couverture du Jura neuchâtelois et du Jura vaudois. Dès le 31 janvier, il y a aux Verrières et dans le Val-de-Travers trois bataillons et quelques pièces d'artillerie. Les autorités neuchâteloises, vaudoises et genevoises lèvent des contingents en attendant l'arrivée d'autres unités fédérales.

Le 26 janvier, le général Justin Clinchant a remplacé Bourbaki qui a tenté de se suicider; le 28, il demande l'internement aux autorités helvétiques. Herzog signe la convention aux Verrières le 1er février vers 3 heures du matin: armements, munitions et matériels seront déposés à la frontière. Dès 5 heures, les troupes françaises pénètrent en Suisse: du 1er au 3 février, 87 000 hommes et 12 000 chevaux (appelés parfois Bourbakis) passent par Les Verrières, Sainte-Croix, Vallorbe et la vallée de Joux. Partout, la population leur prodigue assistance. Le Conseil fédéral répartit les Internés entre tous les cantons, sauf le Tessin; ce tout premier internement massif en Suisse ne va pas sans difficulté (le 9 mars, l'émeute de la Tonhalle à Zurich oppose des Suisses et des officiers français à des Allemands fêtant la victoire). Le rapatriement des Français s'effectue du 13 au 22 mars. La France remboursera les frais publics, soit plus de 12,1 millions de francs. Le panorama conçu par le Genevois Edouard Castres (1881, dès 1889 à Lucerne) rappelle l'événement.

http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/f/F268…

Situé sur la place du lion, sous une coupole de verre, le panorama Bourbaki se déploie sur deux étages de 1100 m². Au deuxième étage, vous pouvez admirer une gigantesque toile circulaire peinte en trompe l'oeil par Edouard Castres. La peinture illustre un événement peu connu de l'Histoire de France : l'armée dirigée par le général français Bourbaki qui, battue par les Prussiens en 1871 à Belfort,dut battre en retraite vers la frontière suisse. A cette époque, Edouard Castres était engagé au côté de la Croix-Rouge quand il assista à la défaite française. En 1881, il eut l'idée de raconter cette défaite en collaboration avec dix peintres, dont Ferdinand Hodler.

Venant de ce site

http://www.linternaute.com/voyage/suiss…

Une video sur ce musee

http://www.youtube.com/watch?v=yzUcsleE…

Belle histoire que celle de cette famille de soldat dont ses membres i sont mort tant pour la France que pour la Grece

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