L'AKP, le parti au pouvoir, attend sa mort programmée. Jeudi 3 juillet, ses représentants doivent présenter leur défense devant la Cour constitutionnelle. Le parti du premier ministre, Recep Tayyip Erdogan, élu avec 47 % des suffrages à l'été 2007, est sous le coup d'une procédure en interdiction menée par les juges et dont l'issue ne fait plus de doute pour les Turcs.
Extrait d un article du Monde
http://www.lemonde.fr/archives/article/…
L aeroport d Istanbul grouille de soldat,idem celui d Ankara,l armee est presente dans les quartiers islamistes d Istanbul et d Ankara depuis aujourd hui
Tout montre que l AKP va etre dissout et le gouvernement destitue,qu adeviendra le president Gull ??
La Turquie change d’époque : les coups d’Etat aussi, devenus dans la plus folle des frénésies, en quelques années puis quelques mois, post-moderne, électronique et enfin judiciaire.
Comme une pierre dans l’eau étend des cercles d’ondes plus ou moins larges autour de son point de chute, les coups d’Etat connaissent une zone d’influence plus ou moins étendue sur la surface du temps politique et social. Le coup d’Etat post-moderne (1997) s’est étendu sur 5 ans. Le coup d’Etat électronique (2007) sur 4 mois. Gardons-nous bien de deviner ce qu’il adviendra du coup d’Etat judiciaire qui se profile. Mais il y a fort à parier qu’il ne soit pas dans une autre posture que celle consistant à changer les mots faute de pouvoir infléchir la réalité.
Car le tribunal civil se tient au cœur d’un véritable paradoxe : celui de devoir faire parler ceux qu’il cherche précisément à faire taire. Il n’a décidément pas les vertus étouffantes de la cour militaire : et tout procès permet de déplacer la démocratie qu’on entrave dans les prétoires qu’on remplit. Puis dans les journaux, dans la rue, sur le net et sur ... YouTube !
Extrait venant de ce site
http://www.turquieeuropeenne.eu/article…
les nouvelles d anatolie se presagent rien de bon
Ta leme