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“Il est urgent de dissoudre la zone euro”

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Submitted by Pascal Olivier on
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La question n’est pas la sortie isolée de la Grèce de l’euro qui la mettrait en difficulté, mais l’urgence d’une dissolution de la zone.

Jacques Sapir invité de l’émission [i]Les enjeux internationaux[/i] sur France Culture le 4 septembre :

http://www.franceculture.fr/player/expo…

Jacques Sapir, article du 3 septembre dans [i]Le Monde[/i] :

La crise de la zone euro a atteint un point critique. Quelles que soient les solutions envisagées, qu'il s'agisse de la mutualisation de la dette ou des mesures dites "non conventionnelles" que la Banque centrale européenne pourraient prendre, elles ne peuvent apporter de solution durable. A cela une bonne raison : cette crise n'est pas une crise de la dette souveraine mais une crise de compétitivité aggravée par l'effet pervers de l'euro sur la croissance.

Les différentes mesures prises depuis le début de 2010 ont été globalement inopérantes. Elles n'ont pu éviter que, pays après pays, cette crise s'étende, de la Grèce à l'Irlande, de l'Irlande au Portugal, puis à l'Espagne et à l'Italie. La situation dans la plupart des pays va continuer à se dégrader sous l'effet de la conjonction de politiques mal avisées de déflation compétitives, qui sont l'équivalent des politiques de dévaluation compétitives que l'euro prétendait supprimer. Alors que le chômage recommence à fortement monter en France, il est temps de changer de politique, sinon nous nous imposerons l'équivalent d'une grande dépression par notre propre stupidité.

[b]DES POLITIQUES INEFFICACES LIÉES À UNE ERREUR DE DIAGNOSTIC[/b]

Les dirigeants européens se sont persuadés que cette crise était liée à l'endettement, qui provoque des problèmes, bien réels, de liquidité. D'où la solution proposée : se désendetter par une virulente cure d'austérité. Mais, les politiques d'austérité provoquent un effondrement des recettes fiscales, visibles dans le cas de la Grèce, de l'Espagne et de l'Italie, qui reproduit le déficit et la dette. Cette crise de la dette n'est que la conséquence directe de la crise de compétitivité interne et externe structurellement issue de l'existence de l'euro.

Les écarts de compétitivité n'ont cessé de s'accroître ces dernières années. Aujourd'hui, ils imposeraient des baisses instantanées des coûts salariaux de l'ordre de 20 % en France, et nettement plus en Espagne et en Italie, sans même parle de la Grèce et du Portugal. En l'absence d'une telle baisse, les pays concernés sont condamnés à voir se creuser leur déficit commercial et à perdre massivement des pans entiers de leurs activités industrielles. Ils tentent d'y répondre par des subventions aux entreprises qui grèvent lourdement leur budget, et qui dans le cas de la France dépassent les 3 % du PIB.
Cette crise de compétitivité induit aussi des destructions d'emplois importantes.

En France, ce sont au minimum 300 000 emplois industriels qui sont menacés d'ici à décembre, à la fois dans les grandes entreprises et les PME-PMI. Au premier semestre de 2013 ce sont encore 200 000 emplois supplémentaires qui devraient être détruits. La situation est bien pire en Espagne (avec 24 % de chômeurs) et l'on s'approche des niveaux espagnols en Grèce et au Portugal. A ces subventions aux entreprises viennent donc s'ajouter les coûts d'indemnisation des travailleurs licenciés. Il ne faut pas chercher plus loin la cause du déficit public et de l'accroissement de la dette.
Ceci est aggravé par l'anémie les pays de la zone euro depuis l'introduction de la monnaie unique. Le décalage de croissance est net avec les autres pays développés non membres de la zone euro.
Il faut donc s'attendre à une montée du chômage de 3 % à 4 % au minimum sur un horizon de douze mois. Dans ces conditions, parler de "redressement productif" pour la France est une sinistre fumisterie.

[b]L'IMPÉRIEUSE NÉCESSITÉ DE BAISSER LES COÛTS SALARIAUX[/b]

Cette baisse des coûts salariaux peut, en théorie, se faire de trois façons. On peut imaginer qu'elle se fasse par l'accroissement des salaires, et de l'inflation, en Allemagne. Mais nous n'avons que peu de prise sur ces paramètres. De plus, pour obtenir rapidement le décalage nécessaire, il faudrait que l'Allemagne accepte sur deux ans des taux annuels d'inflation de 12 %. C'est, évidemment, parfaitement illusoire. De plus, si cette mesure ne règlerait en rien le problème de compétitivité vis-à-vis des pays extérieurs à la zone euro, qu'ils soient européens (Roumanie, République Tchèque, Pologne) ou non-européens.

Une deuxième solution réside dans la déflation salariale nominale. C'est la logique de ce que proposent tant le gouvernement que l'UMP. Mais, ses conséquences sur l'économie française seront dramatiques. La consommation baissera de 12 % à 15 % (suivant les effets d'entraînement), ce qui, sur une période de deux ans se traduira par une chute du PIB de 4 % à 5 % par an. Le chômage atteindra 20 % de la population active . Une telle baisse du PIB entraînerait d'ailleurs une réduction des recettes fiscales. La dette publique atteindrait, si le gouvernement s'en tenait aux objectifs de déficit annoncés, 99 % du PIB ! La déflation salariale ne ferait qu'aggraver la situation.

Reste une troisième solution, une dévaluation. Cette dernière pourrait se faire dans un cadre envisagé par un nombre de plus en plus important d'économistes dont le dernier en date est l'ancien ministre des finances du Brésil, Carlos Bresser-Pereira : une dissolution concertée de la zone euro. Les pays de la zone euro s'accorderaient pour suspendre le fonctionnement de l'euro et pour décider d'un retour aux monnaies nationales. Ceci rendrait possible une dévaluation, qui est en réalité la méthode la plus simple, la plus rapide et la moins douloureuse de faire baisser le coût du travail sur le territoire français.

Une décision concertée de suspension de la monnaie unique est donc la meilleure solution. Elle répond aux interrogations quant à l'avenir de l'Union européenne que suscite le délitement de la zone euro, et qui font craindre le retour aux égoïsmes nationaux. Elle permettrait en effet de présenter cette décision comme une décision européenne et non comme un retour à des politiques nationalistes et éviterait une dissolution progressive et désordonnée de la zone qui devient désormais une réelle possibilité. Déjà, nous voyons les crispations identitaires, produites par la montée du chômage et l'appauvrissement généralisé, se développer dans de nombreux pays. L'euro est en train de tuer l'Europe.

Une décision coordonnée permettrait de définir des niveaux de dévaluation et de se doter des mécanismes susceptibles de contrôler les mouvements de ces nouvelles parités.

Les dirigeants français ont communié depuis des années dans la religion de l'euro. On comprend que changer de politique soit difficile. Mais ils doivent comprendre que ce qui nous attend, tant en France qu'en Europe, sera incommensurablement plus pénible, et aura de tragiques répercussions, s'ils ne prennent pas cette décision. Gouverner, c'est choisir.

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alex

Salut Pascal

Je ne met pas l euro au piloris

Il n est pas la cause mais est devenu le frein a une reprise actuellement

Pour moi c est le libre echange qui est la cause de nos situations actuelles

Je me souvient lors de mes cours a l unif en 1991-92 concernant le cours d actualitee ont etudiait le Uruguay round du GATT c etait avec treuehand nos seuls sujets ces annees la

Concernant la treuhand ,nos cours ne parlait que de la remarquable efficacite allemande ,on sait ce qui vaut cette privatisation sauvage de toute les infrastructure d Allemagne de l Est vendu au petit rabais pour une poigne de deutch mark a l epoque aux wessie

L Uruguay allait boulverser le commerce mondialle vers plus de liberation des echanges commerciaux mondiaux nous disaient notre syllabus,une etape vers la modernite et la paix

La Chine hantait ce dernier round du Gatt deja a l epoque ,les analyse de l epoque nous indiquaient que faire entre la Chine dans le Gatt serait une affaire en or pour l Occident,un marche de plus d un milliard mais quel aubaine

Le Uruguay round fut ratifier en 1995 et le Gatt devint l OMC et six ans apres la Chine en devenait membre a part entiere ,15 ans apres on voit les degats

Mais deja des analyses sonnaient l alarme de ce qui pourrait ce produire dans dix ans

je vous publie la conclusion d une analyse concernant Le cycle de l'Uruguay et sa problématique.

L'on connaît le théorème dit de « l'égalisation des coûts des facteurs » de lathéorie du commerce international ; il est d'actualité à une époque où les pays en voie de développement et les économies postcommunistes en transition s'intègrent aussi vite qu'ils le peuvent dans l'économie mondiale.

Les salaires y sont extraordinairement bas, le rendement du capital est élevé dans ceux qui
sont correctement gérés.

Conformément au mécanisme de Heckscher Ohlin, ces pays se spécialisent dans l'exportation de produits intensifs en travail non qualifié,c e qui y crée des emplois pour ces travailleurs et raffermit leurs salaires.

Dans les pays développés, l'effet est inverse.

L'ampleur de cet effet ne peut pas avoir été grande dans nos pays jusqu'à présent, l'importation de produits manufacturés en provenance des pays en voie de développement n'y représente en effet que quelque 2 % de leur consommation.

Il en va autrement dans les quatre « dragons » asiatiques, qui furent les pionniers de ce type de commerce et s'en sont taillé la part du lion.

Leurs économies sont très petites au regard des nôtres, et le succès de leurs exportateurs a dû
influencer leurs marchés de l'emploi de façon considérable.

L'on peut même dire que « l'égalisation des coûts des facteurs » s'y est à peu près réalisée, leurs salaires ayant rejoint ou même dépassé ceux des pays développés les plus pauvres.

[b]En ce qui concerne l'avenir, les choses se dessinent en termes plus préoccupants

La foi toute neuve de ces pays en le libre échange amène la quasi-totalité d'entre eux à essayer d'imiter les quatre dragons : il ne s'agit plus de quelques dizaines de millions mais de milliards d'hommes qui cherchent à s'intégrer dans l'économie mondiale.[/b]

II serait rassurant de penser que le processus est proche de son aboutissement parce que le partage entre pays des industries soit intensives en capital physique et humain, soit en travail non qualifiés est désormais réalisé, nos pays ne produisant plus que des articles que les PVD ne sont pas capables de produire efficacement

Mais la redistribution se poursuivra. Le commerce international s'invente de jour en jour comme les chefs d'entreprise imaginent de nouvelles façons de gagner de l'argent. Il est hors de doute, par exemple, que l'automobile sera un des prochains secteurs qui émigrera vers des pays à bas salaires.
La télématique et l'intégration des systèmes informatiques d'entreprises ou d'unités d'entreprise facilitent un « saucissonnement » toujours plus fin des processus de production en travaux qui ne peuvent être effectués que dans les pays riches, et d'autres qui peuvent être exécutés dans des pays à bas salaires.

[b]Jusqu'ici, le commerce avec les pays en voie de développement n'a pas été une cause majeure de chômage des non qualifiés. Il en ira de même pendant les prochaines années : les exportations des NNP et de nouveaux venus tels que la Chine croissent rapidement mais l'Inde, l'autre pays immense, continue à se hâter lentement dans ses efforts pour s'ouvrir au monde.

Les quatre dragons, qui comptent pour moitié environ dans les exportations de produits manufacturés des pays du Sud, sont désormais développés et ne tirent plus guère avantage du
niveau de leurs salaires.

Il faudra du temps encore, disons dix ans, pour que la pression des autres pays en voie de développement sur le marché du travail devienne un problème majeur.

Nul doute que, d'ici là, les congrès de l'AFSE auront consacré plusieurs séances à ce problème, et proposé quelques-unes des solutions qu'il faudra bien trouver.[/b]

Vous pouvez lire toute l analyse sur ce site de Persee

http://www.persee.fr/web/revues/home/pr…

Cette crise a pu apparaitre a cause des decisions qui furent prise il y a plus de 15 ans lors du dernier cycle du Gatt qui devint l OMC

Le crime a ete premdite il y a bien longtemps Olivier

Les sujets principaux de ce dernier tour du Gatt etaient de plus les domaines suivants :
télécommunications de base ;
services financiers ;
agriculture ;
services.

Ta leme

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mer 05/09/2012 - 16:42 Permalien

Salut Alex,

Il est vrai que la «concurrence libre et non faussée», c’est à dire le loup dans la bergerie n’a pas aidé. Et pour la Chine vous avez raison, elle n’en revient toujours pas d’avoir été admise à l’OMC sans plus de contreparties et sans qu’on ait plus que cela discuté le bout de gras avec elle.

Historiquement toute intégration monétaire réussie s’accompagne d’une phase de protectionnisme. C’est le contraire qui s’est produit dans la zone euro, alors que Chinois et Américains faisaient du protectionnisme, la zone euro était offerte à tous les mauvais coups par une quasi absence de barrières douanières. L’euro a également servi de variable d’ajustement entre le yuan et le dollar.

L’Acte unique européen (signé en 1986, entré en vigueur en 1987) s’accompagne de pas moins de 300 directives de dérégulation, y compris la libre circulation des capitaux vers les paradis fiscaux ! Son principal inspirateur est le «socialiste» Jacques Delors. Plus tard Jean-Pierre Chevènement fera remarquer : «Pascal Lamy à l’O.M.C. et DSK au F.M.I. les socialistes français sont à la tête du capitalisme mondial».

Il n’en demeure pas moins que l’euro est avant tout une monnaie politique avec un vice de conception originel dénoncé dès le départ en 1992 lors du débat autour du référendum de Maastricht par Chevènement, Séguin et Pasqua. 17 nations différentes par la culture, la langue, l’histoire, les structures économiques avec chacune une monnaie qui en est le corollaire ne peuvent avoir la même monnaie qu’à la condition de ne plus faire qu’un. Les concepteurs de l’euro le savaient. Ils voulaient forcer les choses. Des ouistes plus sages que les autres, Pierre Bérégovoy et Edouard Balladur, préconisaient une monnaie commune et non pas l’ubris d’une monnaie unique.

Toute intégration monétaire creuse les écarts de compétitivité à l’intérieure de sa zone. La réunification italienne a donné naissance à un «Mezzogiorno» pauvre soutenu par la solidarité nationale. L’ex RDA, pourtant industrielle et industrieuse, est devenue après la réunification un désert industriel où règne le chômage de masse. Il en est de même avec l’Euro qui a créé un vaste «mezzogiorno» au sud de l’Europe.

Mais l’Allemagne, principale bénéficiaire de l’euro (elle y réalise 65% de ses excédents), disposée à faire de substantiels transferts financier pour soutenir les länder de l’Est, n’est pas disposée à faire de même pour le Péloponnèse, la Calabre, l'Algarve ou le Connemara, du moins pas suffisamment. La nation est le lieu où s’exprime la solidarité et comme l’Europe n’est pas une nation...

Pire, l’Allemagne très soucieuse de sa souveraineté, qui ne veut pas d’un fédéralisme européen, exige des autres nations européennes une aliénation de leur souveraineté budgétaire en échange de sa très insuffisante obole.

L’Allemagne ne mettra pas fin à l’euro, cela reviendrait pour elle à tuer la poule aux œufs d’or. Elle le ferait si on l’obligeait à des transferts substantiels que personne n’a les moyens de lui imposer. C’est à la France de mettre fin à cette euro monnaie unique, mais Hollande a fait comme Sarkozy, il s’est couché devant Merkel ! Le retour aux monnaies nationales est pourtant le passage obligé pour pouvoir faire un euro monnaie commune et permettre de nouvelles parités entre les nouvelles monnaies convertibles qu’en euro.

Ta leme.

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jeu 06/09/2012 - 16:10 Permalien
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alex

En réponse à par Pascal Olivier

Olivier je suis de ton avis a 100%

Je rajouterais que comme tu le dit si il y a bien un pays qui a plus a perdre qu a gagner avec cette monnaie unique c est l Allemagne,la seule qui gagne sur tout les domaines avec l euro

Tu l avais deja dit l euro n est pas seulement la monnaie commune de l eurozone

MAIS LA MONNAIE UNIQUE

Cette qualification fait office de dogme pour l eurozone et la BCE

Les scenarios de deux monnaies existante simultanement dans un pays de l eurozone comme ce qui etait dit a droite et a gauche dans les medias et certaines chancelleries c est completement hors de question

Le seul moyen de ne plus faire parti de l eurozone actuellement c est de sortir de l UE

Et ca l Allemagne le sait et tout les membres de l eurozone

Sauf si on change les traites precedents

Ce qui ne peut pas etre fait dans l immediat et prend pres de deux anspour qu ils soit ratifier par tout les parlements des pays de l eurozone et de l UE

Alors si un pays quitte l eurozone ,il sort de facto de l UE selon les traites

La fin de l euro est tacitement la fin de l UE

Il y a toujours quelqu un qui veut diviser pour regner

Faut juste trouver le coupable

Car si rien n ai fait

L europe aura perdu 60 ans d effort d unite et laissera derriere elle que des animosite qui finirons par reveiller des cadavres oublier dans les plus sombres placards de l histoire de notre continent

Je ne vois aucune solution dans l immediat

Que du radicalisme de toute part

Pas un seul grand homme europeen pour sauver la mise

On est mal barrer

Dans touts les derniers sondages la meute des rhinoceros de Xrisi Avgi est devenu la troisieme force politique de Grece

http://www.ant1online.gr/Politics/Parti…

[img]http://i.stpl.gr/image.ashx?m=Fit&f=L2Z…]

Xrisi avgi est passe de 7% a 9,5 et 10,5% selon les derniers sondages ,ils etaient le 5 parti lors des dernieres elections et bientot si rien n est fait au sein de l eurozone concernant la Grece,ils deviendront le deuxiemes partis et incontournable

L histoire s accellere comme dans les annees 30 du siecle passe et personne ne voit le danger arriver et cela non seulement en Grece mais partout en Europe,la Hongrie ils ont le pouvoir absolu,en Autriche ils sont deja au pouvoir,idem en Finlande ,ils etaient aux pays bas jusqu ala chute du gouvernement Hollandais et l annonce des elections anticipes

les 3 derniers sont les derniers allies de l Allemagne dans ce delire

la Hongrie fait partie de l Hinterland Allemand

la Roumanie pays qui etaient des plus europhille et francophille est devenu un des plus europhobe et la francophillie n est plus d actualitee

la Belgique a du attendre pres de deux ans pour avoir un gouvernement vu le pourcentage enorme des deux partis nationalistes et extremistes flamand qu est les Vlams belang et la NVA et ils n arretent plus d augmenter le nombres de leurs electeurs

Mais les eurocrates issus des partis conservateur et socialiste ne voient rien venir alors qu ils sont en perte de vitesse dans leur pays

On est mal barrer Olivier vraiment mal barrer car la Grece n est que un mur de fumee qui cache toutes ces realites qui ne sont pas bonne a dire

Ta leme

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ven 07/09/2012 - 00:30 Permalien

Tout dernier sondage Syriza passe a 30% devant ND 28%et les rhinoceros noir de Xrisi Avgi eux sont troisieme avec 12% maintenant

Sondage de l institut de sondage VPRC

[img]http://media.zenfs.com/el_GR/News/News2…]

Sondage pour le Journal Ellada Avrio

[img]http://news247.gr/newspapers/Afternoon/…]

Dont le titre ,ils poussent les grecs dans les bras des fashistes de l Aube Doree

http://news247.gr/newspapers/Afternoon/…

Une chose est sur c est que Xrisi Avgi est bien devenu la 3 eme force politique du pays actuellement

Et ca en moin de 3 mois,il y a six ils n existaient meme pas sur l echiquier politique nationale

En 2009 lors des elections europeennes peu suivit avec 47,4% d abstention ,l aube doree n avait reussis qu a avoir 0,46% soit 23.566 votants

Ta leme

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ven 07/09/2012 - 17:09 Permalien

Tout dernier sondage Syriza passe a 30% devant ND 28%et les rhinoceros noir de Xrisi Avgi eux sont troisieme avec 12% maintenant

Sondage de l institut de sondage VPRC

[img]http://media.zenfs.com/el_GR/News/News2…]

Sondage pour le Journal Ellada Avrio

[img]http://news247.gr/newspapers/Afternoon/…]

Dont le titre ,ils poussent les grecs dans les bras des fashistes de l Aube Doree

http://news247.gr/newspapers/Afternoon/…

Une chose est sur c est que Xrisi Avgi est bien devenu la 3 eme force politique du pays actuellement

Et ca en moin de 3 mois,il y a six ils n existaient meme pas sur l echiquier politique nationale

En 2009 lors des elections europeennes peu suivit avec 47,4% d abstention ,l aube doree n avait reussis qu a avoir 0,46% soit 23.566 votants

Ta leme

Ps:mauvaise manip sur le post precedent

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ven 07/09/2012 - 17:11 Permalien
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el griego

En réponse à par tintin

folie de l'or, commerce de l'or, recel d'or volé, placement en or,... !!!!

http://www.rtbf.be/tv/emission/detail_q… (les 30 premières minutes)
http://www.lalibre.be/actu/internationa…

Tout n'est que chiffre, le chiffre va tous nous entuber !!!!
http://www.youtube.com/watch?v=neErHrgT…

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dim 04/11/2012 - 13:51 Permalien
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el griego

En réponse à par tintin

Pointez la flèche sur l'état souhaité et vous verrez apparaître une série d'indices permettant de déterminer son rang pour le bien-être !

http://www.prosperity.com/ La Grèce se classe 49e sur 144 états sondés

économie 85 e, opportunité pour entreprendre 51 e , gouvernance 48 e, éducation 35 e, santé 23 e,
sécurite 38 e, liberté personnelle 121 e, capital social 97 e,

et suite,

Pour la Grèce http://www.prosperity.com/CountryProfil…

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lun 05/11/2012 - 20:54 Permalien
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el griego

En réponse à par el griego

Par le passé, la soif de l'or se traduisait par la mort de travailleurs forcés (prisonniers politiques) qui devaient l'extraire dans des conditions extrêmes !
Il y a peu on a inauguré un mémorial pour les malheureux grecs soviétiques qui périrent dans les goulags sibériens sous la période de terreur de Staline http://eu.greekreporter.com/2011/08/13/…
Même une vie humaine ne valait pas grand-chose par rapport aux filons aurifères
http://paesaggio.over-blog.com/article-…

ta lèmè !

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dim 04/11/2012 - 14:49 Permalien
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el griego

En réponse à par el griego

Deux villages bulgares de la chaîne montagneuse des Rhodopes ont demandé officiellement une modification du tracé des frontières pour être rattachés à la Grèce. Ils en ont soupé de l'incurie de l'Etat bulgare et l'isolement total en pleine montagne. Ils vantent qu'en Grèce c'est bien mieux ???!!!

http://www.lefigaro.fr/international/20…

gajda http://www.youtube.com/watch?v=elOkNCu9…

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mer 07/11/2012 - 13:29 Permalien