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Et si l'Italie avait intérêt à sortir de la zone euro?

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Submitted by tintin on
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bonjour

Selon les projections de Bank of Amerika/Merrill Lynch, l'Italie et l'Irlande auraient le plus intérêt à quitter la zone euro et adopter leur propre monnaie. En revanche, le pays qui aurait le plus à perdre est la Grèce, et celui qui pourrait le faire le plus facilement mais n'y a aucun intérêt est l'Allemagne.
L'Italie, dont la note souveraine vient d'être dégradée de deux crans par l'agence Moody's, n'a eu aucune difficulté à lever 5,25 milliards d'euros sur les marchés obligataires.

Alors que nombre d'experts s'attendent à un "grecexit", "les investisseurs sous-estiment la volonté d'un ou plusieurs pays de sortir de la zone euro", jugent David Woo et Athanasios Vamvakidis. Ces deux stratégistes experts du marché obligataire chez Bank of America Merrill Lynch concluent dans une étude que l'Italie serait la plus grande bénéficiaire d'une telle opération parmi 11 pays ayant adopté la monnaie unique.
http://www.latribune.fr/actualites/econ…

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el griego

http://www.volkskrant.nl/vk/nl/2668/Bui…

L'île de Sicile est presque en faillite. C'est ce qu'a déclaré le vice-président des employeurs italiens Confindustria, Ivan Lo Bello dans une interview au journal Corriere della Sera. Lo Bello était jusqu'à récemment président de la branche sicilienne de l'organisation patronale.

Lo Bello dit que le gouvernement du Premier ministre, Mario Monti, devrait intervenir immédiatement pour contrôler la comptabilité opaque, avant que l'île ne finisse comme la Grèce. Les fonctionnaires et les retraités seront les premiers, à ne plus avoir de revenus . Lo Bello a déclaré "Si nous avions été contrôlés par l'Etat, nous ne serions pas maintenant avec 30.000 travailleurs flexibles et 30.000 gardes forestiers», .

Le statut indépendant de la Sicile, selon lui, doit être révisé. L'île a obtenu son statut spécial, après la Seconde Guerre mondiale. Selon de Lo Bello, cette indépendance est trop souvent utilisée pour des politiques insensées. Les politiciens n'ont aucune responsabilité financière et font preuve de népotisme pour aider les amis à avoir des places en vue au sein de l'appareil de l'état. .

La région, emploie plus de 270.000 fonctionnaires et est connu pour le plus grand nombre de policiers par rapport à la population. Environ 1 personne sur 18 travaille pour l'État.

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mar 17/07/2012 - 18:37 Permalien
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el griego

En réponse à par el griego

http://www.knack.be/nieuws/buitenland/b…

Le maire de Palerme met en garde contre la guerre civile en Sicile

En Sicile, le maire de Palerme en garde contre les conséquences potentiellement dramatiques des difficultés financières de la province sud de l'Italie
Dans une interview publiée par le journal autrichien Wirtschaftsblatt avertit le maire palermetain Leoluca Orlando pour les conséquences potentiellement dramatiques des difficultés financières de la Sicile. "Cela aboutirait même à une guerre civile ", a déclaré le maire.

Orlando: "La Sicile est la Grèce de l'Italie"

Selon Leoluca Orlando, c'est le désespoir de beaucoup de familles et la mainmise du crime organisé dans la région qui sont une combinaison explosive pouvant mener à la guerre civile.

La crise est particulièrement et douloureusement ressentie à Palerme, qui campe avec un déficit de 500 millions €. «De nombreuses entreprises des alentours et les familles à faible revenu ne peuvent pas payer leurs factures d'électricité", a déclaré Orlando. "La Sicile est la Grèce de l'Italie. Nous réussissons seulement à rester debout comme nous l'entendons en Italie," at-il ajouté.

La hausse du chômage en Italie, entre autres, conduit à une forte augmentation du nombre de suicides. Cette augmentation est également présent dans le sud de l'Italie, mais moins fortement que dans le Nord et l'Italie centrale.

Orlando: «Le développement de la guerre civile?"

"Le gouvernement fédéral doit décider si il veut une guerre civile à Palerme, ou un plan de développement pour la ville», a déclaré Orlando dans le journal italien La Repubblica. "Le gouvernement doit comprendre que cette situation ne peut pas être résolue uniquement par une logique financière aveugle qui ne tient pas compte de la situation sociale."

"Nous ne pouvons pas permettre que le crime organisé soit la solution des Siciliens à ces problèmes sociaux», conclut-il.

La faillite de la Sicile

Mario Monti, le Premier ministre italien a mis en garde plus tôt cette semaine sur une faillite de l'île de la Sicile. L'île la plus méridionale souffre d'une haute montagne de la dette et un manque de budget. Selon les chiffres officiels, la dette était en Sicile fin de l'année dernière à 5 milliards de dollars. (Reuters / GM)

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ven 20/07/2012 - 22:08 Permalien
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el griego

En réponse à par tintin

C'est aussi le cas des Länder allemands surendettés ! Voilà que Berlin se porte garant pour les emprunts futurs ! Je ne pense pas qu'il y aie un caractère héréditaire !
http://www.france24.com/fr/20120627-ang…

et la ville de Berlin
http://www.lagazettedeberlin.de/2595.ht…

et la Catalogne qui demande l'aide de l'Espagne pour se financer !
http://www.professeurforex.com/2012/05/…

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mer 18/07/2012 - 22:25 Permalien
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tintin

En réponse à par el griego

Entre récession et austérité, l'Espagne a mal, et il n'y a pas que la catalogne...

.l[b]a question se pose, en Espagne comme en Allemagne est ce que les régions ou les niveaux locaux sont aptes a gérer des budgets ? la décentralisation budgétaire est elle un bien ?[/b]

" Non " à ce nouveau plan de rigueur de 65 milliards d'euros imposé par le gouvernement conservateur de Mariano Rajoy qui, entre autres, supprime leur treizième mois de salaire - l'équivalent d'une baisse de rémunération de 7 % - et ampute leur pouvoir d'achat en augmentant la TVA. Dans une période où près d'un quart de la population est frappée par le chômage...

" Mariano Rajoy n'a pas le choix ", estime pourtant un ex-dirigeant européen très respecté. " Les marchés financiers sont de la porcelaine fine, il faut savoir les manipuler avec précaution ", explique-t-il.

usqu'à ce que " les courbes se croisent ", explique M. Cavalier : la baisse des prix immobiliers à partir de 2008 met au jour l'endettement des ménages, passé de 60 % de leur revenu disponible en 1999 à 125 % en 2012, souligne Jésus Castillo chez Natixis. Les maisons ne trouvent plus preneurs, les immigrés repartent, la construction s'effondre, les banques s'écroulent et les caisses des régions se vident.

" Nous avions tous une responsabilité : les régulateurs, les mairies, la société en général ont manqué de finesse ", conclut M. Solana. Aujourd'hui, " l'Espagne a besoin de temps pour digérer ". Selon Euler-Hermes, il faudra sept années pour occuper les logements construits pendant la bulle restés vacants.

http://www.lemonde.fr/journalelectroniq…

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jeu 19/07/2012 - 10:41 Permalien
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SARVANIC

En réponse à par el griego

Bonjour EL Griengo,oublies ses agences de notations à la solde du capitalisme pur et dur .Elles servent uniquement aux spéculateurs et à ruiner des pays et des gens et à enrichir des gens comme MITTAL qui portera la flamme olympique à Londres .Et la, tu comprends comment le monde tourne.Ta leme

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mer 25/07/2012 - 14:42 Permalien
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tintin

En réponse à par tintin

Huit régions menacées d'une mise sous tutelle par Madrid

Le déficit doit se limiter à 1,5 % du PIB en 2012. L'Etat ouvre une ligne de crédit de 18 milliards

La tension monte entre les régions autonomes et le gouvernement central en Espagne. Lundi 16 juillet, le président de la Catalogne, Artur Mas, a reconnu que Madrid a menacé de mettre la région sous tutelle de l'Etat si elle ne respectait pas les objectifs de déficit.

Cette menace aurait été brandie lors du Conseil de politique fiscale et financière (CPFF) qui a réuni, jeudi 12 juillet, les conseillers économiques des différentes régions.

Lors de cette réunion, huit des dix-sept régions autonomes ont été sommées de mettre de l'ordre dans leurs finances pour rattraper leur retard en matière de consolidation fiscale.

Madrid leur a imposé un déficit maximum de 1,5 % du produit intérieur brut (PIB) cette année. Mais pour plusieurs d'entre elles, comme Valence ou Castille-La Manche, qui ont dépassé les 4 % de déficit en 2011, cette exigence a tout l'air d'une mission impossible

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jeu 19/07/2012 - 10:49 Permalien
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tintin

En réponse à par SARVANIC

SARVANIC écrivait:
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> Bonjour EL Griengo,oublies ses agences de
> notations à la solde du capitalisme pur et dur
> .Elles servent uniquement aux spéculateurs et à
> ruiner des pays et des gens et à enrichir des
> gens comme MITTAL qui portera la flamme olympique
> à Londres .Et la, tu comprends comment le monde
> tourne.Ta leme

tu as grandement raison ,mais le malheur c'est qu'il faut faire avec...et que les marchés eux suivent les indications de ces agences ..
Tout cela ressemble a une mafia ..les uns qui notent pour que les autres puissent spéculer...d'autres qui libéralisent le commerce alors que les conditions sociales et fiscales sont différentes dans chaque pays, que la concurrence est faussée, tout cela pour faire chuter le niveau de vie des pays les plus avancés , produire du chômage dans ces pays, donc museler toutes revendications et revenir en arrière sur les acquis sociaux..
qu'on ne nous dise pas que tout cela n'a pas été etudié..

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mer 25/07/2012 - 18:54 Permalien