Maintenant que les eprits se sont refroidis apres le cauchmard qu on vecu nos voisin du Nord concernant leur strategie de reconnaisance internationale sans la Grece
Qu avons nous a leur proposer ???
Pour moi il faut au prealable avant toute discussion qu ils reconaissent qu ils sont un epuple slave arrive au VI siecle qui n ont aucun rapport avec la MAcedoine Antique
Sans ce prealable ,pas de reconnaissance de notre part sous aucune condition ???
Apres ce preambulle accepte par nos voisins du Nord
Je suis d accord de les reconnaitre comme Slavomacedonien de culture slavomacedonienne parlant le slavomacedonien,peuple distinct comme il le souhaite du peuple bulgare meme si c est faux
Comme les Montenegrins qui veulent se distance des serbes
On peut rien faire le travail des communiste durant 50 ans ,a transformer leur identite qui les a debulgarise
Donc accepton cet etat de fait ,vu que c est une de demande crucial
Pour le nom du pays ,je trouve que la republique de nouvelle MAcedoine,macedoine du Nord ou Macedoine du Vardar seront des noms equitable et qui pourrait etre accepte de chaque cote
J ouvre le debas et j aimerais savoir ce qu en pensent mes compatriotes
Faut qu on soit indulgent avec eux et pas les snober maintenant qu ils sont mal embarquer
Ne faisons pas les memes erreurs des annees 1991-95 ou nous etions borne tout autant qu eux meme si eux croyaient encore a une reconaissance officiele sans la Grece a cette epoque ce qui n est plus le cas aujourd hui apres leur cauchemard de la semaine passe ,ils savent qu il n y a plus d alternative que d une solution billaterale avec la Grece pour une reconnance internationale definitive
Ta leme
Re: Comment devons nous les reconnaitrent et avec quelle conditi
Et si on arrêtait de nous occuper d'eux, ce serait peut-être mieux. Après tout c'est eux qui ont le problème, pas nous. Se défendre est suffisant ; leur dire ce qu'ils doivent faire, ça c'est leur affaire ; et, pour la Grèce ce n'est qu'un pb parmi d'autres. Ne monopolisez pas svp le forum "actualité" avec le seul problème de Skopje, surtout que (presque) tout a déjà été dit. Les redites ne renforcent pas nécessairement le propos initial. Cordialement, Le modérateur.
En réponse à Re: Comment devons nous les reconnaitrent et avec quelle conditi par iNFO-GRECE
Ca m a aussi fatigue file
Thanasis si tu me le permet
Je vais rajouter un dernier lien
C est un reportage De l emission ΕΡΕΥΝΑ de ΠΑΥΛΟ ΤΣΙΜΑ,un des journalistes,les plus serieux de paf grec et toujours tres tres objectif sans parti pris dans ses reportages
http://video.google.com/videoplay?docid…
Je rajouterais que le probleme du nom de la Fyrom est globalement,le probleme de tout ses voisins,non seulement de la Grece,de la Bulgarie ou de l Albanie et en moindre mesure celle de la Serbie,c est ce que demontre clairement ce reportage dans sa grosse ligne
Tu sais je me bat depuis deux ans sur le net ,sur plusieurs forum pour informer et contredire toutes les propagandes ou des idees preconcues sur la Grece en repondant precisement et en argumentant avec des sources neutres ou d extraits d institutions internationales et crois moi le probleme onomastique ma bien fatigue aussi
Le resultat de la semaine passe etait au dela de nos esperances et a remis le probleme onomastique de la Fyron a la place qu elle ayurait du etre depuis le debut
Mais que d annees perdues
Tu sais ,j ai fait ce sujet pour une seule raison,hier je regardais Mega l emission de Ανατροπή τον Γιάννη Πρετεντέρη,une des emissions quasi quotidienne ou le sujet est la Fyrom,ERT 3 en a tout les jours,normal c est la chaine de Thessalonique et les grecs macedoniens sont pres du quart de la population grecque ,pour eux c est la seul discussion qu ils ont en tete
http://www.in.gr/TV/news.asp?lngEntityI…
Ou un journaliste de la Fyrom ,Atanas Kirofski bien connu du paf grec car il est un des rare qui parle parfaitement le grec,donc respect pour ce journaliste Parlait sincerement apres la defaite que son pays a fait fausse route en provocant sans cesse les grecs,en repondant ainsi avec sincerite alors que les notres ,politiciens,journalistes de la presse,le bombardaient de ce que son gouvernement a fait ces dernieres quatre annees en lui rentrant dedans sans cesse alors que lui c est pas un politicien mais un journaliste qui avait toujours dis depuis le debut que renomme l aeroport de Skopje fut non seulement une provocation mais que ca prouvais aux yeux du monde ce que disaient les grecs sur eux,on l agressait verballement comme si c etait lui le premier ministre de la Fyrom,lamentable
Il etait mal et on a ete tres dur avec lui alors que ce monsieur a appris le grec et est considere comme un des journalistes les plus modere de la Fyrom et ouvert aux dialogues
En voyant cela je me suis dis qu on est a nouveau mal embarque car maintenant qu on est a nouveau en position de force ,on va a nouveau faire les meme erreurs de 1991-95 ou on etais intresigeant au depart mais comme l a dit Pineiro ,le portugais qui s occupait du probleme onomastique,on aurais pu resoudre ce probleme a cette epoque avec les memes propositions que l actuel gouvernement grec propose aujourd hui
15 ans sont passe et on est a nouveau on point de depart avec le Pineiro package
Tu sais j ai ete plusieurs fois en Fyrom,c est pas la faute du peuple si on lui a dit qu il etait macedonien,un desmeilleur ami de mon Pere en Belgique,Mladen bassinait mon pere d Alexandre le Grand etc etc alors qu on etait dans les annees70 et 80, c etait plus fort que lui,il disait chaque fois ca parce il croyait ce qu il disait mais aussi pour dire a mon pere qu il le considerais comme SON FRERE
Mon pere lui repondais c est bien Mladen ,mais dis moi qui connais bien l Histoire d Alexandre ,dis moi qu elle etait l histoire de la dynastie d e la famille de philippe et d alexandre avant leur reigne et qu elle etait l heritage de l empire d Alexandre,la Mladenne savait pas, Il savait seulement que ALexandre etait Macedonien point a la ligne
Je ne reviendrais pas sur ce sujet tant qu il n y a pas de nouveaute concernant nos diplomaties
Ta leme file
Les nationalistes bulgares veulent partager l'ARYM entre la Bulg
Le Courrier de la Bulgarie
Les nationalistes bulgares de la VMRO veulent redessiner les frontières des Balkans
De notre envoyé spécial à Sofia
Mise en ligne : mercredi 9 avril 2008
La VMRO bulgare a chaudement soutenu la reconnaissance de l’indépendance du Kosovo. Son dirigeant, l’historien et député Krasimir Karakachanov, explique les raisons de ce choix, tout en plaidant pour une redéfinition des frontières des Balkans, « afin de conforter les nations ». Dans cette vision, Albanie et Bulgarie n’auront qu’à se partager la Macédoine. Associé au parti GERB du maire de Sofia, Boyko Borisov, la VMRO obtient des résultats électoraux limités, mais son dirigeant jouit toujours d’une grande audience intellectuelle. Entretien.
Propos recueillis par Jean-Arnault Dérens
Le Courrier de la Bulgarie (CdBg) : Votre parti, l’Organisation révolutionnaire intérieure de Macédoine (VMRO) a soutenu la reconnaissance de l’indépendance du Kosovo par la Bulgarie. Pourquoi ?
Krasimir Karakachanov (KK) : C’est une décision juste et légitime ! Comment la Serbie pouvait-elle prétendre gouverner le Kosovo, peuplé à plus de 90% d’Albanais, et après les violences du régime de Milošević ? C’est une décision normale et rationnelle.
CdBg : Que pensez-vous de l’hypothèse d’une unification entre le Kosovo et l’Albanie ?
KK : Le mythe de la « Grande Albanie » est une figure inventée par la propagande serbo-russe. De quoi parle-t-on ? En Albanie, au Kosovo, en Macédoine, au Monténégro, les Albanais sont tout au plus six millions dans les Balkans... Rien que la ville de Sofia compte deux millions d’habitants ! Ce « Grand État » ne sera pas bien grand, mais l’unification entre le Kosovo et l’Albanie est une option logique, qui se réalisera rapidement.
CdBg : Vous envisagez des modifications frontalières ?
KK : Bien sûr ! Pourquoi en avoir peur ? Les dogmes imposés par les USA et l’Union européenne aboutissent à des situations absurdes. Aujourd’hui, dans les Balkans, vous avez deux États roumains, la Roumanie et la Moldavie, deux États albanais, l’Albanie et le Kosovo, deux États serbes, la Serbie et la Republika Srpska de Bosnie-Herzégovine, deux États grecs, la Grèce et Chypre, deux États turcs, la Turquie et Chypre du Nord, deux États croates, la Croatie et l’Herzégovine, deux États bulgares, la Bulgarie et la Macédoine... Comment peut-on imaginer une région stable avec une telle situation ? Il existe toujours un fossé entre les obsessions des fonctionnaires de Bruxelles et la réalité de terrain.
CdBg : Vous suggérez donc bien un redécoupage des frontières ?
KK : Ce n’est pas le bon terme... C’est comme si la Bulgarie voulait annexer Istanbul ! Disons plutôt qu’il s’agit de consolider les États en les faisant coïncider avec les nations. Il s’agit de rompre enfin avec une politique mondiale fautive. De ce point de vue, le Kosovo représente un heureux précédent, qui sera suivi par la Republika Srpska. Les processus de construction nationale ne sont pas achevés, pas même au sein de l’Union européenne : regardez ce qui se passe en Belgique ! Il faut en finir avec le mythe de la disparition des nations, que promouvaient déjà Marx, Lénine et Staline.
CdBg : Comment pensez-vous parvenir à cette redéfinition ?
KK : Il faudrait redessiner la carte des Balkans autour des nations qui ont une véritable signification : l’Albanie, la Bulgarie, la Croatie, la Grèce, la Roumanie, la Serbie... Mais je suis réaliste, je sais bien que cela ne va pas se produire aussi simplement. Déjà en 1999, je disais qu’il ne fallait plus d’accords bricolés, d’accords de Dayton ou d’Ohrid, mais une grande conférence régionale permettant de mettre à plat tous les problèmes. Ceci étant, la politique repose sur le sens du possible. Si tous les pays des Balkans rejoignaient l’Union européenne, on pourrait avancer.
La Macédoine, « un État irréel »
CdBg : Dans l’hypothèse d’une unification entre le Kosovo et l’Albanie, les Albanais de Macédoine ne voudront-ils pas rejoindre le nouvel État ?
KK : Bien évidemment, la question n’est pas de savoir si mais quand ils le feront. Si les Albanais se détachaient aujourd’hui de la Macédoine, ils pourraient prétendre à 20% du territoire. Dans quinze ans, ils pourraient prétendre à 50% de ce territoire, étant donné leur démographie. De toute manière, la Macédoine actuelle est un État irréel, condamné à une situation de crise perpétuelle...
CdBg : Et vous prônez le rattachement de ce qui restera de la Macédoine à la Bulgarie ?
KK : La Bulgarie et la Macédoine ne peuvent pas décider seules de leur unification. Un tel changement de frontières nécessite un accord des autres pays européens.
CdBg : Cependant, en Macédoine, beaucoup de gens se considèrent comme Macédoniens plutôt que comme Bulgares...
KK : Oui, je pense qu’environ 25% des habitants du pays se sentent Macédoniens, 25% se sentent Bulgares, et les 50% restants hésitent sur leur identité... C’est le résultat d’une propagande développée par le régime titiste et poursuivie par les actuelles autorités de Skopje. Une propagande digne du IIIe Reich, qui a utilisé le langage de la haine pour essayer de détruire l’identité bulgare.
CdBg : Dans les années 1920, de violents affrontements ont opposé les courants « bulgarophiles » et « macédonistes » de la VMRO. On ne peut pas nier que certains courants de cette organisation ont mis en avant l’identité macédonienne...
KK : Il s’agissait d’un choix tactique ! Aucun dirigeant de la VMRO n’a jamais remis en cause l’identité nationale bulgare des Macédoniens, ni Dame Gruev, ni Goce Delchev, ni Todor Aleksandrov, ni Ivan Mihailov... (D’un geste théâtral, Krasimir Karakachanov désigne les bustes et les portraits des dirigeants historiques de la VMRO qui décorent son bureau). Par contre, dans un contexte politique particulier, certains ont mis en avant la revendication d’autonomie de la Macédoine, quand une partie de celle-ci était occupée par les Serbes. Il s’agissait uniquement d’un choix tactique, tout comme l’indépendance du Kosovo n’est qu’un choix tactique et provisoire des Albanais...
CdBg : Avez-vous des contacts avec la VMRO-DPMNE [1], au pouvoir à Skopje ?
KK : Bien sûr, nous avons beaucoup de contacts avec des militants et des cadres de ce parti, même si nous n’avons pas de relations officielles avec sa direction... Vous savez, les plus grands Macédoniens se reconnaissent toujours Bulgares, au moins quand ils viennent ici, en Bulgarie. Ils chantent les mêmes hymnes que nous, ils ont les mêmes références. Nous avons d’excellentes relations avec la VMRO - Narodna, d’ailleurs Ljupčo Georgievski [2]a pris la nationalité bulgare... Les Macédoniens doivent surmonter plusieurs crises en même temps : crise économique, crise identitaire. Le dirigeant albanais Ali Ahmeti a bien raison de souligner qu’il est absurde d’essayer de fonder l’identité nationale avec des références à Alexandre le Grand et à l’antiquité, alors que les Macédoniens sont des Slaves.
[1] Organisation révolutionnaire intérieure de Macédoine - Mouvement démocratique d’unification nationale macédonienne, une branche de la VMRO historique, qui défend l’existence d’une identité nationale macédonienne spécifique.
[2] Fondateur de la VMRO-DPMNE en 1991, Premier ministre de 1998 à 2002, Ljupčo Georgievski a créé cette VMRO dissidente en 2004. Deux an plus tard, Ljupčo Georgievski révélait qu’il avait pris la nationalité bulgare. Il s’est présenté aux élections municipales de 2007 dans la commune Blagoevgrad, en Macédoine bulgare, avec le soutien du GERB et de la VMRO.
Re: Comment devons nous les reconnaitrent et avec quelle conditi
Mon dieu regarde ce que sont devenus les grecs aujourd'hui, moi qui a toujours dit " je ne suis ni athénien ni grec , je suis citoyen du monde ", je me retourne dans ma tombe.
devons nous les reconnaitrent et avec quelle condition ??
Il ne faut pas les reconnaitre, y'en a marre maintenant; qu'ils se démerdent. De toute façon on sera jamais d'accord. Il ne faut rien accepter qui contienne le mot "Macédoine"et il faut être clairs avec eux. La négociation est inutile.