S’exiler de son pays, c’est changer de vie, de culture, de langue. Au-delà de ses contraintes, l’adaptation nécessaire à ces changements pousse les exilés à des choix, volontaires ou pas : conserver les traces du passé, les effacer, en garder une nostalgie indépassable, vouloir tout oublier, transmettre ou non ces traces à sa descendance… Dans la plupart des travaux, il est pratiquement toujours question de la langue maternelle, mais qu’en est-il de la transmission de la langue paternelle ? Et quelles en sont les différentes figures ?
Table-ronde avec la participation de :
Drina Candilis, psychanalyste
Sparta Castoriadis, psychiatre, psychanalyste
Olivia Farkas, psychanalyste
Clio Makris, artiste
Dates et Lieux
Fondation Hellénique
Fondation Hellénique
47b bd Jourdan
75014 Paris
France