Soutenu par le PASOK du Premier ministre socialiste Georges Papandréou, les conservateurs de Nouvelle démocratie et le parti nationaliste LAOS, Karolos Papoulias est reconduit pour un deuxième mandat dans sa fonction de chef de l'Etat par 266 voix sur 298 parlementaires votants.
Le socialiste Karolos Papoulias proposé à la présidence de la République par le Premier ministre conservateur Costas Caramanlis est élu chef de l'État grec issue du premier tour du scrutin recueillant 279 voix sur les 296 parlementaires votants.
L'ancien ministre conservateur de l'Intérieur Prokopis Pavlopoulos est élu président de la République héllenique à l'issue du 4e tour du scrutin parmi les parlementaires grecs.
Pavlos Kountouriotis décède dans sa résidence du Palaio Faliro en banlieu d'Athènes à l'âge de 80 ans. Il avait été amiral de la Marine nationale grecque et par deux fois Président de la République.
Pavlos Kountouriotis démissionne de la présidence de Grèce pour raisons de santé.
Pavlos Kountouriotis est élu président de la République par la Vouli (Parlement) et la Geroussia (Sénat).
Après le renversemment de la dictature de Theodoros Pangalos, l'amiral Pavlos Kountouriotis revient à la présidence de la République hellénique.
Après avoir prêté serment en tant que "Président de la République", Georgios Papadopoulos, chef de la junte des colonels au pouvoir en Grèce, accorde l'amnistie générale, y compris à Alexandros Panagoulis qui avait fomenté un attentat contre lui.
Les colonels au pouvoir en Grèce, par référendum, destituent le roi Constantin et déclarent la "République" présidentielle avec premier président leur chef Georgios Papadopoulos.
Le président de la République Amiral Kountouriotis démissionne suite au coup d'Etat deTheodoros Pangalos lequel se fait élire à la présidence.