Georges Papandréou devient président de l'Internationale socialiste
Georges Papandréou, alors président du parti socialiste grec (PASOK), est élu président de l'Internationale socialiste.
Georges Papandréou, alors président du parti socialiste grec (PASOK), est élu président de l'Internationale socialiste.
25 députés de Syriza menés par Panagiotis Lafazanis en désaccord avec la politique du gouvernement, quittent SYRIZA et fondent un nouveau parti Unité populaire - Gauche insoumise (Λαϊκή Ενότητα - Ανυπότακτη Αριστερά).
Andreas Papandreou à la tête du PASOK gagne les élections législatives : PASOK 48,07%, Nea Dimokratia (ND) 35,87%, KKE 10,93%.
Constantin Caramanlis crée l'Union Nationale Radicale (en grec, Εθνική Ριζοσπαστική Ένωσις - ΕΡΕ), formation politique qui dominera l'espace politique de la droite jusqu'au coup d'Etat des colonels en 1967.
Antonis Samaras gagne les primaires de Nea Dimokratia avec vote des militants, organisées pour la première fois dans l'histoire du parti conservateur ; avec 50,2% des votes contre sa concurrente Dora Bakoyannis 39,7%, Antonis Samaras succède ainsi à Costas Caramanlis à la tête de la grande formation grecque du centre-droit.
Parti pour ses études aux États-Unis en 1939, Andreas Papandreou revient en Grèce pour entreprendre la succession de son père en politique.
Après 27 ans d'illégalité, le Parti Communiste grec est officiellement reconnu.
Ayant perdu les élections en novembre et en disgrâce avec la cour royale, Constantin Caramanlis démissionne de la direction de son parti, l'ERE, et s'exile à Paris. Il ne retournera en Grèce qu'après la chute des colonels, en 1974.
Le Pasok, mené par Andreas Papandreou, remporte les élections avec 45,25% des voix contre 40,8% pour Nea Dimokratia.
Formation du Parti Communiste Grec (KKE)