L'indignation ne faiblit pas trois semaines après la collision entre un train reliant Athènes à Thessalonique avec près de 350 voyageurs à bord et un convoi de marchandises.
Les excuses du Premier ministre, Kyriakos Mitsotakis, n'y ont rien changé. La colère submerge les Grecs, après la catastrophe ferroviaire qui a fait 57 morts, le 28 février.
La colère gronde et les Grecs demandent des réponses. Une semaine après la catastrophe ferroviaire ayant coûté la vie à 57 personnes, des dizaines de milliers de personnes se sont à nouveau réunies dans la rue pour manifester.
Des violences entre policiers et manifestants ont de nouveau éclaté en Grèce mercredi alors que la colère s'étend après la catastrophe ferroviaire qui a fait 57 morts, certains réclamant désormais la démission du gouvernement.
Ce mercredi à Athènes, au moins 40'000 personnes en colère ont défilé, selon une porte-parole de la police. À Thessalonique, la deuxième ville du pays, leur nombre avoisinait les 15'000.
En Grèce une catastrophe ferroviaire, qui a causé la mort de 57 personnes la semaine dernière, pousse des dizaines de milliers de personnes à manifester dans les rues.
Grèves et rassemblements dans toute la Grèce : des milliers de personnes doivent à nouveau manifester leur colère mercredi, une semaine après la catastrophe ferroviaire qui a fait 57 morts et soulevé une vague d'indignation.
Poubelles en feu, cocktails molotov et gaz lacrymogènes. De violents heurts ont opposé dimanche des policiers et des manifestants en face du Parlement à Athènes lors d’un rassemblement de protestation après la catastrophe ferroviaire en Grèce qui a fait 57 morts mardi soir.
Le premier ministre grec, Kyriakos Mitsotakis, a demandé pardon aux familles des victimes dans un discours solennel, dimanche 5 mars, cinq jours après la catastrophe ferroviaire qui a fait 57 morts et suscité une immense colère en Grèce.