"En effet, il faut reconnaître que les efforts des banques grecques depuis 2015 ont commencé à porter leurs fruits: des progrès progressifs ont été accomplis dans la réduction du très grand nombre de créances douteuses. Les banques grecques doivent faire plus et le faire plus vite", a déclaré Mme Nouy au journal Vima.
Créances douteuses
Les banques grecques sont confrontées à environ 100 milliards d'euros (119 milliards de dollars) en créances douteuses - environ la moitié de l'ensemble des prêts - et la Banque centrale européenne s'est penchée à maintes reprises sur cette question. Mme Nouy souligne que «la première priorité pour les banques grecques est de réduire de manière significative l'émission de nouveaux prêts non performants, en améliorant leurs critères de souscription et d'assainir leurs bilans».
Viabilité de la dette
La Banque centrale européenne devrait publier les résultats des tests de résistance des quatre plus grandes banques grecques en mai, avant la fin du programme de sauvetage. Ce timing, selon Mme Nouy, permettra de "prendre des mesures de suivi, si nécessaire, en temps utile".
L'agence de...