Alexis Tsipras lors d'une interviewe à la radio grecque Sto Kokkino. (Mercredi 29 juillet 2015)
Alors que des discussions sur un nouveau plan d'aide sont en cours à Athènes, le Premier ministre grec Alexis Tsipras a fait pression mercredi sur les frondeurs de son parti Syriza. Il a évoqué l'éventualité d'élections anticipées.
Alexis Tsipras se trouve dans une situation délicate. Il est confronté, d'une part, aux créanciers de son pays qui, après avoir contraint Athènes d'adopter une série de mesures d'austérité, le presse d'en faire encore plus avant que les Européens ne formalisent un plan d'aide qui pourrait atteindre 86 milliards d'euros sur trois ans.
Comité central de Syriza
D'autre part, Alexis Tsipras doit affronter jeudi le comité central de Syriza, une réunion qui s'annonce houleuse. Car certains membres de son parti de la gauche radicale exigent que le gouvernement rompe les négociations avec les créanciers.
Afin de faire...
elections cela devient un jeu ?
Après le referendum, un congrès du parti et de nouvelles élections ?
Pourquoi pas, mais n’y a-t-il pas d’autres urgences a traiter en Grèce que des élections, surtout que l’on sait par habitude que les campagnes électorales et les élections sont des périodes de ralentissement de l’activité en général de celle de la fonction publique sans oublier de la collecte des impôts .La Grèce a-t-elle vraiment besoins de cela actuellement, est ce si urgent..Ou s’agit-il d’une manœuvre pour occuper le terrain et faire oublier les 5 mois de négociations désastreuses ?