Vendredi dernier, il y a un siècle, le premier ministre grec Alexis Tsipras parvenait à faire adopter par son Parlement un programme de réformes dont on peinait à voir la différence avec celui que les Grecs avaient rejeté par référendum le dimanche précédent. Il faut dire que la faillite menaçait et que les autorités grecques commençait à comprendre que le coût en serait élevé. Voici le papier que j'ai écrit pour mon journal daté du 11 juillet.
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