Après 14 heures de négociations, les chefs d'Etat et de gouvernement de la zone euro étaient toujours à la recherche d'une avancée décisive pour sauver la Grèce de la faillite, lundi matin à 6h15 - Sipa
Après 14 heures de négociations, les chefs d'Etat et de gouvernement de la zone euro étaient toujours à la recherche d'une avancée décisive pour sauver la Grèce de la faillite, lundi matin à 6h15. Une heure plus tôt, ils semblaient pourtant proche d'un accord.
Après 14 heures de négociations , les chefs d'Etat et de gouvernement de la zone euro étaient toujours à la recherche d'une avancée décisive pour sauver la Grèce de la faillite, lundi matin à 6h15. Une heure plus tôt, ils semblaient pourtant proche d'un accord, les leaders de France (François Hollande), Allemagne (Angela Merkel), Grèce (Alexis Tsipras) et du Conseil européen (Donald Tusk) ayant trouvé un projet de compromis.
Projet tué dans l'?uf quelques minutes plus tard, notamment par les réserves grecques portant sur la participation du Fonds monétaire international (FMI) dans le nouveau programme d'aide de 82 à86 milliards d'euros, et un projet de fonds de privatisation. «C'est ce qu'on appelle négocier jusqu'au bout», déclarait une source française. Le sommet du 12 juillet, qui pourrait entrer dans les annales comme le plus long de l'histoire de la zone euro, s'est déroulé dans une atmosphère de...