La commémoration du 28 octobre 1940, lorsque la Grèce a dit "NON" à l'invasion fasciste italienne, constitue une leçon d'histoire pour tous ceux qui pourraient viser à la tyrannie des peuples et des hommes, souligne la présidente du Parlement, Anna Psarouda-Benaki, dans un message diffusé l'occasion de la fête nationale du 28 octobre.
"Aujourd'hui, un demi-siècle après la fin de la Seconde guerre mondiale, naît à nouveau en Europe - le continent qui a donne naissance à toutes les idées brillantes de l'histoire de l'humanité - un espoir humain pour la paix et la prospérité", a-t-elle souligne, ajoutant encore que "nos ennemis d'hier sont nos alliés d'aujourd'hui, dans ce grand effort pour l'unification des peuples et des cultures, avec foi à la démocratie et aux droits de l'Homme"
De son côté, le président du Conseil mondial de l'Hellénisme de la diaspora (SAE), Andrew Athens, a observé que "le 28 octobre constitue un jour de souvenir, de réflexion et d'hommage rendu aux héros qui se sont sacrifiés pour la liberté du pays". "Notre patrie, grâce à ses succès, peut aujourd'hui se ranger parmi les pays qui peuvent et qui veulent contribuer à promouvoir la paix mondiale et la prospérité des peuples, et la preuve en est l'élection de la Grèce au poste de membre non-permanent du Conseil de sécurité de l'ONU pour les années 2005-06", a-t-il conclu.