el griego écrivait:
-------------------------------------------------------
> sache que l'on peut très bien rencontrer les
> patronymes drakoulas ou drakoulakis en Grèce et
> que cela signifie littéralement "petit dragon" en
> grec.
Bonjour,
Sache aussi que en Roumanie existent des noms de familles comme Drăculescu et même Dracu ( surtout en Valachie).
[b]C[/b] en roumain se prononce [b]k[/b], [b]u[/b] se prononce [b]ou[/b] ....
Les vlaches de Grece savent ce qu ils sont et personnes venant de l etranger ne pourra leur changer d avis
Deja que les nazis leur avait offert sur un plateau d argent la creation d une mini valachie en Grece qu ils ont refuser
Les Roumains du temps du petain roumain Ion Antonescu tomberent dans ce piege que les nazis leur avait tendu en leur faisant miroiter la Bessarbie persu apres le pacte germano-sovietique Molotov-Ribbentrop,une grande partie de la Moldavie actuelle et furent des dindons de la farce ,les nazis pomperent leur petrole et perdurent encore plus de leur territoire nationale apres l invasion bolchevique
Sait tu qu en Roumanie ,bon nombre d anciens refugier Valaches des Balkans refusent de s identifie comme roumain selon leur propagande
Au fait Oculus ,tu es Roumain ,valache se sentant roumain ou makidon
Prof. Mariana Bara
LES AROUMAINS AUJOURD’HUI
Je vais parler ici seulement des Aroumainsde Roumanie, qui représentent moins de 1% de la population du pays, ça veut dire plus de100.000 personnes. Nous avons plus de 20 associations culturelles dans le pays, en totalité créées après 1990, quand la legislation a permis ce type d’association des personnes, interdit pendant le communisme.
La politique linguistique développée parla Roumanie envers notre langue et nos communautés a toujours été la suivante: à partir de la seconde moitié du XIXe siècle,notre langue a été décrite comme dialecte d’un roumain primitif qui aurait existé auxVII - VIIIe siècles.
En conséquence, la position officielle a toujours été que le dialecte doit être remplacé par la langue roumaine littéraire, nationale; une direction pratique a été la création des écoles avec langue d’enseignement le roumain pour les communautés Aroumaines de l’Empire Ottoman (en Macédoine, en Epire, enTessalie, en Albanie), dès 1864.
Suite de cette politique linguistique et non seulement, bon nombre de familles Aroumaines se sont établies en Roumanie,en bénéficiant des facilités économiques et d’éducation.
Il y a eu aussi dès 1925 une émigration économique favorisée par l’offre en terre labourables faite par la Roumanie afin de pouvoir coloniser le Quadrilatère,territoire au Sud du pays, acquis en 1913 et cédé en 1940 à la Bulgarie.
Notre communauté, aujourd’hui,cherche les meilleurs moyens de sauver notre langue et notre culture.
Notre situation culturelle en Roumanie est paradoxale:considérés officiellement Roumains tout court, nous sommes en fait absents des livres d’histoire, des muséés ethnographiques, des histoires littéraires, des transmissions culturelles á la radio et á la télé, de la presse.
Donc, dans la cuture nationale roumaine nous sommes absents: aucun de nos symboles, de nos valeurs, de nos caractéristiques culturelles n’est pas intégrés.
En suivant la logique, ce fait souligne par omission que nous sommes – et nous le sommes en effet – [b]un autre groupe ehtnique,un autre peuple[/b].
Au niveau de la connaissance commune des citoyens de la Roumanie, nous sommes désignés par le mot [b]makidon “venu de la Macédoine[/b]”.
On saitque nous parlons une autre langue et que nous avons une autre culture.
L’information la plus frappante qui circule à notre compte est que nous préférons l’endogamie et que la résistance à l’exogamie est encore forte.
Et pourtant… le discours chez nous est encore double: officiel et quotidien.
Au mois d’avril cette année, l’AssembléGénérale de notre communauté a voté une déclaration exprimant notre volonté / [b]désir à être enregistrés comme minorité nationale,pour pouvoir bénéficier des droits spécifiés dans la législation roumaine pour les minorités nationales[/b]: étudier la langue à l’école, le service religieux dans notre langue,mass-media.
L’enthousiasme a été général,car depuis 1990 on avait tant et tant parlé surce sujet, mais on avait toujours été fréiné par des voix avec autorité dans la communauté qui nous en dissuadaient.
Ils évoquaient
toujours les sentiments de reconnaissanceque les Aroumains devraient avoir envers la Roumanie pour l’aide que le pays aurait toujours fourni dans le passé aux Aroumains des Balkans.
En plus, les Aroumains eux-mêmes assument à différents degrés leur identité et ont une approche différente de la condition de minoritaire: pour une part d’entre eux être minoritaire veut dire être un citoyen de seconde catégorie, ne pas vivre dans son pays, être suspecté de manque de patriotisme.
Les pourquoi de cette attitude sont à chercher dans l’histoire des états nationaux, spécialement dans les Balkans.
Pour une autre part, les Aroumains veulent avoir la possibilité d’étudier leur langue, de pouvoir lire la littérature, d’avoir des émissions radio et à la télé, d’avoir des revues.
Ils assument leur identité, ils continuent les rapports avec les membres de leurs familles qui se trouvent en Grèce, en R.Macédoine, en Albanie, en Bulgaire.
En majorité ils vivent dans les petites villes et dans les villages, là où les communautés sont assez stables et conservatrices.
Il y aussi les indifférents.
Il y a aussi les pessimistes.
Le fait que nous nous préparions à exprimer cette volonté était connu dans les milieux académiques, politiques.
Pour nous faire arrêter, décourager, dissuader,différentes institutions nationales cuturelles et scientifiques ont eu des initiatives bien avant notre déclaration.
Par exemple: sessions scientifiques des linguistes á l’Acadèmie Roumaine en 1994,2001, 2005; une exposition ethnographiqueen 2004, avec le titre “Les Roumains du Sud du Danube”, où nos costumes, bijoux eto bjets tranditionnels étaient sous-titrés“roumain”; une conférence à Vienne, où nos représentants n’ont pas été invités; la réédition subventionnées par l’état des vieux livres reflétants l’idéologie nationaliste roumaine sur les Aroumains.
A ce stade du problème, il est clair quela position officielle reste celle tradionnelle,très politisée et très enracinée, répétée dans l’historiographie roumaine depuis un siècle et demi, qui considère les Aroumains des Balkans comme “la branche méridionale du peuple roumain”. Cette vision donne sa légitimité au Département pour les Roumains d’au-delà des frontières, du aussi des Aroumains vivant dans les pays où ils sont autochtones.
A part les polémiques déclenchées dans la presse et entretenues par quelques personnalités d’origine aroumaine, avec des arguments du type manque de moralité, manque de bon goût, de fidélité, de reconnaissance – il faut finalement considérer et analyser les réponses arrivées à nos adresses envoyées aux autorités de l’état.
Dans nos documents,adoptés également par l’Assemblée Générale, nous affirmions notre identité et la volonté de la cultiver, en conformité avec l’article 6 de la Constitution roumaine (qui garantit le droit à l’identité) et avec la Recommandation 1333/1997 du Conseil del’Europe pour la langue et la culture aroumaine.
[b]Nous solicitions l’enregistrementdes Aroumains de Roumanie en tant que minorité nationale[/b] et l’appui nécessaire,logistique et financier, afin de pouvoir atteindre le but principal de toutes nos activités prévues dans le statut de notre communauté: le maintien de notre patrimoine linguistique et culturel dans lesconditions de la société contemporaine.La première réponse est arrivée de président de la Radio Nationale, qui répète un fait connu: il y a déjà 45 minutes /semaine dans la ville de Constantsa.
Mais nous avions demandé le droit d’emettre en aroumain à la radio nationale, pour couvrir tous le pays.La deuxième réponse, en cinq points,arrive du Département des Relations Inter-Ethniques du Gouvernement: il n’y a pas de critères pour établir si une communauté est une minorité nationale. Il n’y a pas une loi dans ce domaine.
Il ya un projet de loi qui énumère vingt minorités, donc c’est la tâche du Parlement d’introduire dans le texte de la loi, expréssément, les Aroumains.
Ils nous suggèrent aussi de participer aux éléction,car d’autres minorités ont eu la reconnaissance et sont entrées dans le Conseil National des Minorités après avoir participé aux éléctions.
Finalement, c’est un document qui nous a éclairés sur le manque de réglémentation dans ce domaine.
Nous avons constitué une équipe d’avocats et juristes qui étudient les possibiltés d’envoyer au Parlement des amendements au projet deloi. Une organisation pour les droits del’homme et des minorités en Roumanie a déjà signalé à la presse les limites du projet de la loi sur les minorités en Roumanie:justement cette absence de critères pour définir la minorité nationale et le fait que la future loi dresse une liste des minorités nationale qui sera considérée définitive, maisqui est valable en fait seulement à un moment donné, ce qui bloque l’affirmationd’autres minorités nationales.
Les autres institutions n’ont pas encore répondu, bien que le délai légal de trente jours soit expiré: le Premier Ministre; leministre de la Culture et des Cultes; le minstre de l’Education et de la Recherche; le président de la TV nationale.
Une fois le délai légal expiré, nous avons adressé des lettres aux mêmes institutions, en demandant des contactsdirects, entre leur représentants et ladélégation du Bureau Exécutif de notrecommunauté.
Nous sommes encore dansl’attente des dates pour les entrevues sollicitées. Nous espérons bien que ces entrevues auront lieu.
Entre temps, le 22 et le 23 mai nous avons célébré à Constantsa et à Bucarest le centenaire de notre fête nationale: la date où le sultan – sous la pression diplomatique del’Autriche et de la Roumanie - avait admis l’existence des Aroumains et leur droit àl’éducation dans la propre langue dans les communautés de l’Empire Ottoman.
Bien que nous ayons envoyé desinvitations aux institutions, aux partispolitiques, aux personnalités culturelles, à la mas-media, très peu d’entre eux ont honoré notre invitation: la Patriarchie roumaine entre autres.
Jusqu’à présent nous avons organisé trois conférences de presse.
Seuls deux journaux ont informé objectivement les lecteurs sur nos démarches. L’agence centrale de presse a premièrement reflété l’événement d’une manière tout à fait erronnée, puis – suite de l’intervention denotre président – le responsable du site internet a corrigé le texte.
En ligne générale, les journalistes qui viennent à nous demander des interviews posent ces questions:
“Vous êtes unecommunauté riche, pourquoi avez-vous besoin de l’argent de l’état? Pourqoi ne pas créer des écoles privées, une radio privée,une chaîne privée de télé, des publications privées?”
Il y a aussi une autre attitude: “Cette langue est en danger, d’accord. Elle va detoute façon disparaître, vous ne pouvez pas créer des universités, enseigner la médecine ou la philosophie, par exemple. A quoi bon cette agitation? Ne serait-ce que pour l’argent et pour avoir un député au Parlement?”
Pendant tout ce temps, l’opinion publique en Roumanie est constamment bombardée avec des textes agressives dans les journaux qui nous peignent comme un groupe “auto-intitulé”, un groupe avec des intérêts qui menaceraient l’intérêt national, ou un groupede personnes sans culture, qui ignorent l’historiographie nationale et le bon goût.
Je sais depuis un temps que des association qui ne represente que tres peu de valaque des Balkans essaye de foutre le bordel dans differentes minoritee valaque des balkans en mentant et en inventant des problemes inexistant comme ce qui se passe en Roumanie avec ce faux probleme inventer de toute piece par
Qui se cache derriere cette association makidon en roumanie
Il y a pas longtemps a la frontiere grecque un Francais d origine roumaine fut interdit d entree sur le territoire grec
[b]Un militant valaque de nationalité française[/b] interdit d'accès en Grèce
[b]Un ressortissant français[/b], militant de la minorité balkanique valaque, a été interdit d'entrée en Grèce au motif qu'il représenterait un danger pour la sécurité nationale, a dénoncé mardi la principale ONG grecque de défense des minorités.
Agé de 86 ans, [b]Jean Perifan[/b] a été refoulé le 2 mai au poste-frontière albano-grec de Kristallopighi, a précisé dans un communiqué [b]l'Observatoire grec des accords d'Helsinki (Epse).[/b]
[b]D'origine roumaine, M. Perifan est président de l'Association des Aroumains (Valaques) français[/b], qui milite pour la reconnaissance des droits de cette minorité dans les divers pays balkaniques où vivent ses membres.
Environ 200.000 valachophones vivent en Grèce, mais Athènes, qui n'admet officiellement que l'existence d'une minorité "musulmane" de souche turque, dénie l'existence de tout autre groupe minoritaire et s'en prend régulièrement à leurs militants.
Le refoulement de M. Perifan "est une nouvelle indication du durcissement de la position intolérante et souvent irrationnelle des autorités grecques envers les droits des minorités" et constitue "une violation du droit à la libre expression", a [b]commenté l'Epse[/b]
On a avoir a des dingues qui essaye en roumanie de differencier les aroumains de roumanie du reste des roumains comme ce qu il essaye de faire en grece mais sans succes aupres des Aroumains grecs
Ce qui ma fait le plus marrer c est la propagande concernant le president de l association des aroumains francais qui n est autre qu un dangereux extremiste
Iancu Perifan au début des années 1970 a creer avec d autres exiles roumains en France un parti nationaliste fasciste qui avait le nom de Garda de Fier qui a tente de s implanter en Roumanie a partir de 1991
Et Apres les medias occidentaux l ont depeint comme un defenseur des droits de l homme mais n importe quoi passe dans les medias sans quaun reportage sur qui est qui
Alors Oculus ,tu es quoi mon ami
J attend une reponse honnete de ta part
Les amnesiques cherchent maintenant des poux aussi aux roumains et ben on verra de tout avec ces dingues
alex écrivait:
-------------------------------------------------------
Au fait Oculus ,tu es Roumain ,valache se sentant roumain ou makidon
Bonjour,
Je suis un Vlache ou valaque de Roumanie, c'est à dire un habitant de Valachie , dans le nord et nord est de Roumanie tu as des Moldaves etc. Mais nous nous appelons tous des Roumains tout simplement. C'est comme chez vous les Crétois, Athéniens etc
Et détrompes toi, je ne suis pas un amnésique et je connais très bien l'histoire de mon pays avec des bonnes et des mauvaises.
Bonne continuation sur le forum et bonne journée!
[b]Aujourd'hui, et au sens strict, Valaques désigne, en Roumanie, les habitants de la Valachie (région méridionale du pays) et, dans la péninsule des Balkans, les populations de langue romane (Aroumains, Mégléno-roumains et Istro-roumains). Il est parfois employé en Serbie et en Bulgarie pour désigner aussi les Roumains locaux.[/b]
el griego écrivait:
-------------------------------------------------------
> Pour ceux qui veulent savoir qui était le
> véritable vlad drakul et non le vampire de ciné,
>
>
> http://belgaria.chez.com/ETRANGE/Akasha…
>
> Les roumains l'ont même sacrifié au profit d'un
> tourisme du morbide.
Salut Oculus,quelques petites questions concernant ces associations Makidon en Roumanie
Etait tu au courant de cette propagande de creer une minorite nationale dite de valaque en roumanie??
Avais tu deja entendu parler des Makidon ???
Conaissait tu cette association des aroumains francais ???
Et je voudrais aussi que tu me dise ,si toi en temps que valaque de Roumanie,te sent tu faisant partie d une minoritee ou faisant partie integrante du peuple roumain
Bonjour,
Si je me sens roumain? Bien sûr que oui. Ce n'est pas pour rien que nos ancêtres se sont battus depuis des siècles pour unifier les principautés roumaines.Et de ces associations qui inventent des minorités valaques , j'en connaissais leur existence. Quelques propagandistes existent même parmi les moldaves , surtout en République de Moldavie, influencés par les slaves qui inventent une langue moldave et un peuple à part. D'ailleurs tous les linguistes , ont reconnu que le roumain et le moldave sont la même langue. Cela nous indiffère complètement et de toute notre longue histoire , on a pas manqué d'ennemis , mais cela nous a rendu plus fort.
Bonne après midi!
il paraîtrait que si les vlahoi de Grèce et les roumains utilisent leur langue respective lors d'une conversation, ils ne se comprendraient pas. http://books.google.com/books?id=31Fbi5…èce&sourc.
In reply to Re: les vlaches ou valaques.. by Oculus
Re: les vlaches ou valaques. 2.
sache que l'on peut très bien rencontrer les patronymes drakoulas ou drakoulakis en Grèce et que cela signifie littéralement "petit dragon" en grec.
In reply to Re: les vlaches ou valaques. 2. by el griego
Re - les vlaches ou valaques. 2.
el griego écrivait:
-------------------------------------------------------
> sache que l'on peut très bien rencontrer les
> patronymes drakoulas ou drakoulakis en Grèce et
> que cela signifie littéralement "petit dragon" en
> grec.
Bonjour,
Sache aussi que en Roumanie existent des noms de familles comme Drăculescu et même Dracu ( surtout en Valachie).
[b]C[/b] en roumain se prononce [b]k[/b], [b]u[/b] se prononce [b]ou[/b] ....
In reply to Re - les vlaches ou valaques. 2. by Oculus
Makidon chez les nos amis Roumains
Les vlaches de Grece savent ce qu ils sont et personnes venant de l etranger ne pourra leur changer d avis
Deja que les nazis leur avait offert sur un plateau d argent la creation d une mini valachie en Grece qu ils ont refuser
Les Roumains du temps du petain roumain Ion Antonescu tomberent dans ce piege que les nazis leur avait tendu en leur faisant miroiter la Bessarbie persu apres le pacte germano-sovietique Molotov-Ribbentrop,une grande partie de la Moldavie actuelle et furent des dindons de la farce ,les nazis pomperent leur petrole et perdurent encore plus de leur territoire nationale apres l invasion bolchevique
Sait tu qu en Roumanie ,bon nombre d anciens refugier Valaches des Balkans refusent de s identifie comme roumain selon leur propagande
Au fait Oculus ,tu es Roumain ,valache se sentant roumain ou makidon
Prof. Mariana Bara
LES AROUMAINS AUJOURD’HUI
Je vais parler ici seulement des Aroumainsde Roumanie, qui représentent moins de 1% de la population du pays, ça veut dire plus de100.000 personnes. Nous avons plus de 20 associations culturelles dans le pays, en totalité créées après 1990, quand la legislation a permis ce type d’association des personnes, interdit pendant le communisme.
La politique linguistique développée parla Roumanie envers notre langue et nos communautés a toujours été la suivante: à partir de la seconde moitié du XIXe siècle,notre langue a été décrite comme dialecte d’un roumain primitif qui aurait existé auxVII - VIIIe siècles.
En conséquence, la position officielle a toujours été que le dialecte doit être remplacé par la langue roumaine littéraire, nationale; une direction pratique a été la création des écoles avec langue d’enseignement le roumain pour les communautés Aroumaines de l’Empire Ottoman (en Macédoine, en Epire, enTessalie, en Albanie), dès 1864.
Suite de cette politique linguistique et non seulement, bon nombre de familles Aroumaines se sont établies en Roumanie,en bénéficiant des facilités économiques et d’éducation.
Il y a eu aussi dès 1925 une émigration économique favorisée par l’offre en terre labourables faite par la Roumanie afin de pouvoir coloniser le Quadrilatère,territoire au Sud du pays, acquis en 1913 et cédé en 1940 à la Bulgarie.
Notre communauté, aujourd’hui,cherche les meilleurs moyens de sauver notre langue et notre culture.
Notre situation culturelle en Roumanie est paradoxale:considérés officiellement Roumains tout court, nous sommes en fait absents des livres d’histoire, des muséés ethnographiques, des histoires littéraires, des transmissions culturelles á la radio et á la télé, de la presse.
Donc, dans la cuture nationale roumaine nous sommes absents: aucun de nos symboles, de nos valeurs, de nos caractéristiques culturelles n’est pas intégrés.
En suivant la logique, ce fait souligne par omission que nous sommes – et nous le sommes en effet – [b]un autre groupe ehtnique,un autre peuple[/b].
Au niveau de la connaissance commune des citoyens de la Roumanie, nous sommes désignés par le mot [b]makidon “venu de la Macédoine[/b]”.
On saitque nous parlons une autre langue et que nous avons une autre culture.
L’information la plus frappante qui circule à notre compte est que nous préférons l’endogamie et que la résistance à l’exogamie est encore forte.
Et pourtant… le discours chez nous est encore double: officiel et quotidien.
Au mois d’avril cette année, l’AssembléGénérale de notre communauté a voté une déclaration exprimant notre volonté / [b]désir à être enregistrés comme minorité nationale,pour pouvoir bénéficier des droits spécifiés dans la législation roumaine pour les minorités nationales[/b]: étudier la langue à l’école, le service religieux dans notre langue,mass-media.
L’enthousiasme a été général,car depuis 1990 on avait tant et tant parlé surce sujet, mais on avait toujours été fréiné par des voix avec autorité dans la communauté qui nous en dissuadaient.
Ils évoquaient
toujours les sentiments de reconnaissanceque les Aroumains devraient avoir envers la Roumanie pour l’aide que le pays aurait toujours fourni dans le passé aux Aroumains des Balkans.
En plus, les Aroumains eux-mêmes assument à différents degrés leur identité et ont une approche différente de la condition de minoritaire: pour une part d’entre eux être minoritaire veut dire être un citoyen de seconde catégorie, ne pas vivre dans son pays, être suspecté de manque de patriotisme.
Les pourquoi de cette attitude sont à chercher dans l’histoire des états nationaux, spécialement dans les Balkans.
Pour une autre part, les Aroumains veulent avoir la possibilité d’étudier leur langue, de pouvoir lire la littérature, d’avoir des émissions radio et à la télé, d’avoir des revues.
Ils assument leur identité, ils continuent les rapports avec les membres de leurs familles qui se trouvent en Grèce, en R.Macédoine, en Albanie, en Bulgaire.
En majorité ils vivent dans les petites villes et dans les villages, là où les communautés sont assez stables et conservatrices.
Il y aussi les indifférents.
Il y a aussi les pessimistes.
Le fait que nous nous préparions à exprimer cette volonté était connu dans les milieux académiques, politiques.
Pour nous faire arrêter, décourager, dissuader,différentes institutions nationales cuturelles et scientifiques ont eu des initiatives bien avant notre déclaration.
Par exemple: sessions scientifiques des linguistes á l’Acadèmie Roumaine en 1994,2001, 2005; une exposition ethnographiqueen 2004, avec le titre “Les Roumains du Sud du Danube”, où nos costumes, bijoux eto bjets tranditionnels étaient sous-titrés“roumain”; une conférence à Vienne, où nos représentants n’ont pas été invités; la réédition subventionnées par l’état des vieux livres reflétants l’idéologie nationaliste roumaine sur les Aroumains.
A ce stade du problème, il est clair quela position officielle reste celle tradionnelle,très politisée et très enracinée, répétée dans l’historiographie roumaine depuis un siècle et demi, qui considère les Aroumains des Balkans comme “la branche méridionale du peuple roumain”. Cette vision donne sa légitimité au Département pour les Roumains d’au-delà des frontières, du aussi des Aroumains vivant dans les pays où ils sont autochtones.
A part les polémiques déclenchées dans la presse et entretenues par quelques personnalités d’origine aroumaine, avec des arguments du type manque de moralité, manque de bon goût, de fidélité, de reconnaissance – il faut finalement considérer et analyser les réponses arrivées à nos adresses envoyées aux autorités de l’état.
Dans nos documents,adoptés également par l’Assemblée Générale, nous affirmions notre identité et la volonté de la cultiver, en conformité avec l’article 6 de la Constitution roumaine (qui garantit le droit à l’identité) et avec la Recommandation 1333/1997 du Conseil del’Europe pour la langue et la culture aroumaine.
[b]Nous solicitions l’enregistrementdes Aroumains de Roumanie en tant que minorité nationale[/b] et l’appui nécessaire,logistique et financier, afin de pouvoir atteindre le but principal de toutes nos activités prévues dans le statut de notre communauté: le maintien de notre patrimoine linguistique et culturel dans lesconditions de la société contemporaine.La première réponse est arrivée de président de la Radio Nationale, qui répète un fait connu: il y a déjà 45 minutes /semaine dans la ville de Constantsa.
Mais nous avions demandé le droit d’emettre en aroumain à la radio nationale, pour couvrir tous le pays.La deuxième réponse, en cinq points,arrive du Département des Relations Inter-Ethniques du Gouvernement: il n’y a pas de critères pour établir si une communauté est une minorité nationale. Il n’y a pas une loi dans ce domaine.
Il ya un projet de loi qui énumère vingt minorités, donc c’est la tâche du Parlement d’introduire dans le texte de la loi, expréssément, les Aroumains.
Ils nous suggèrent aussi de participer aux éléction,car d’autres minorités ont eu la reconnaissance et sont entrées dans le Conseil National des Minorités après avoir participé aux éléctions.
Finalement, c’est un document qui nous a éclairés sur le manque de réglémentation dans ce domaine.
Nous avons constitué une équipe d’avocats et juristes qui étudient les possibiltés d’envoyer au Parlement des amendements au projet deloi. Une organisation pour les droits del’homme et des minorités en Roumanie a déjà signalé à la presse les limites du projet de la loi sur les minorités en Roumanie:justement cette absence de critères pour définir la minorité nationale et le fait que la future loi dresse une liste des minorités nationale qui sera considérée définitive, maisqui est valable en fait seulement à un moment donné, ce qui bloque l’affirmationd’autres minorités nationales.
Les autres institutions n’ont pas encore répondu, bien que le délai légal de trente jours soit expiré: le Premier Ministre; leministre de la Culture et des Cultes; le minstre de l’Education et de la Recherche; le président de la TV nationale.
Une fois le délai légal expiré, nous avons adressé des lettres aux mêmes institutions, en demandant des contactsdirects, entre leur représentants et ladélégation du Bureau Exécutif de notrecommunauté.
Nous sommes encore dansl’attente des dates pour les entrevues sollicitées. Nous espérons bien que ces entrevues auront lieu.
Entre temps, le 22 et le 23 mai nous avons célébré à Constantsa et à Bucarest le centenaire de notre fête nationale: la date où le sultan – sous la pression diplomatique del’Autriche et de la Roumanie - avait admis l’existence des Aroumains et leur droit àl’éducation dans la propre langue dans les communautés de l’Empire Ottoman.
Bien que nous ayons envoyé desinvitations aux institutions, aux partispolitiques, aux personnalités culturelles, à la mas-media, très peu d’entre eux ont honoré notre invitation: la Patriarchie roumaine entre autres.
Jusqu’à présent nous avons organisé trois conférences de presse.
Seuls deux journaux ont informé objectivement les lecteurs sur nos démarches. L’agence centrale de presse a premièrement reflété l’événement d’une manière tout à fait erronnée, puis – suite de l’intervention denotre président – le responsable du site internet a corrigé le texte.
En ligne générale, les journalistes qui viennent à nous demander des interviews posent ces questions:
“Vous êtes unecommunauté riche, pourquoi avez-vous besoin de l’argent de l’état? Pourqoi ne pas créer des écoles privées, une radio privée,une chaîne privée de télé, des publications privées?”
Il y a aussi une autre attitude: “Cette langue est en danger, d’accord. Elle va detoute façon disparaître, vous ne pouvez pas créer des universités, enseigner la médecine ou la philosophie, par exemple. A quoi bon cette agitation? Ne serait-ce que pour l’argent et pour avoir un député au Parlement?”
Pendant tout ce temps, l’opinion publique en Roumanie est constamment bombardée avec des textes agressives dans les journaux qui nous peignent comme un groupe “auto-intitulé”, un groupe avec des intérêts qui menaceraient l’intérêt national, ou un groupede personnes sans culture, qui ignorent l’historiographie nationale et le bon goût.
Cenant de ce site
http://209.85.229.132/search?q=cache:Yv…
Je sais depuis un temps que des association qui ne represente que tres peu de valaque des Balkans essaye de foutre le bordel dans differentes minoritee valaque des balkans en mentant et en inventant des problemes inexistant comme ce qui se passe en Roumanie avec ce faux probleme inventer de toute piece par
Qui se cache derriere cette association makidon en roumanie
Il y a pas longtemps a la frontiere grecque un Francais d origine roumaine fut interdit d entree sur le territoire grec
[b]Un militant valaque de nationalité française[/b] interdit d'accès en Grèce
[b]Un ressortissant français[/b], militant de la minorité balkanique valaque, a été interdit d'entrée en Grèce au motif qu'il représenterait un danger pour la sécurité nationale, a dénoncé mardi la principale ONG grecque de défense des minorités.
Agé de 86 ans, [b]Jean Perifan[/b] a été refoulé le 2 mai au poste-frontière albano-grec de Kristallopighi, a précisé dans un communiqué [b]l'Observatoire grec des accords d'Helsinki (Epse).[/b]
[b]D'origine roumaine, M. Perifan est président de l'Association des Aroumains (Valaques) français[/b], qui milite pour la reconnaissance des droits de cette minorité dans les divers pays balkaniques où vivent ses membres.
Environ 200.000 valachophones vivent en Grèce, mais Athènes, qui n'admet officiellement que l'existence d'une minorité "musulmane" de souche turque, dénie l'existence de tout autre groupe minoritaire et s'en prend régulièrement à leurs militants.
Le refoulement de M. Perifan "est une nouvelle indication du durcissement de la position intolérante et souvent irrationnelle des autorités grecques envers les droits des minorités" et constitue "une violation du droit à la libre expression", a [b]commenté l'Epse[/b]
propagande de l Epse repertorie sur ce site
http://www.athina984.gr/node/49961
C etait le president de l association des aroumains francais ?????
J ai trouver leur site
http://armanami.org/blog/
Tient que fait ce soleil et cette reference a radio Makedonia
en clickant sur le link on decouvre la veritee
http://radiomakedonia.ro/
On a avoir a des dingues qui essaye en roumanie de differencier les aroumains de roumanie du reste des roumains comme ce qu il essaye de faire en grece mais sans succes aupres des Aroumains grecs
http://www.almyros.vlahoi.net/propagand…
le site des makidon de roumanie du Bana armaneasca est fort eloquent
http://www.banaarmaneasca.ro/index2.htm
il n y qu a voir ces differents revue en pdf pour voir a nouveau le soleil de Vergina apparaitre
http://www.banaarmaneasca.ro/revista/Nr…
Ce qui ma fait le plus marrer c est la propagande concernant le president de l association des aroumains francais qui n est autre qu un dangereux extremiste
Iancu Perifan au début des années 1970 a creer avec d autres exiles roumains en France un parti nationaliste fasciste qui avait le nom de Garda de Fier qui a tente de s implanter en Roumanie a partir de 1991
http://fr.wikipedia.org/wiki/Garde_de_f…
Et Apres les medias occidentaux l ont depeint comme un defenseur des droits de l homme mais n importe quoi passe dans les medias sans quaun reportage sur qui est qui
Alors Oculus ,tu es quoi mon ami
J attend une reponse honnete de ta part
Les amnesiques cherchent maintenant des poux aussi aux roumains et ben on verra de tout avec ces dingues
Ta leme
In reply to Re - les vlaches ou valaques. 2. by Oculus
Re: Re - les vlaches ou valaques. 3.dracula
Pour ceux qui veulent savoir qui était le véritable vlad drakul et non le vampire de ciné,
http://belgaria.chez.com/ETRANGE/Akasha…
Les roumains l'ont même sacrifié au profit d'un tourisme du morbide.
In reply to Makidon chez les nos amis Roumains by alex
Re - Makidon chez les nos amis Roumains
alex écrivait:
-------------------------------------------------------
Au fait Oculus ,tu es Roumain ,valache se sentant roumain ou makidon
Bonjour,
Je suis un Vlache ou valaque de Roumanie, c'est à dire un habitant de Valachie , dans le nord et nord est de Roumanie tu as des Moldaves etc. Mais nous nous appelons tous des Roumains tout simplement. C'est comme chez vous les Crétois, Athéniens etc
Et détrompes toi, je ne suis pas un amnésique et je connais très bien l'histoire de mon pays avec des bonnes et des mauvaises.
Bonne continuation sur le forum et bonne journée!
[b]Aujourd'hui, et au sens strict, Valaques désigne, en Roumanie, les habitants de la Valachie (région méridionale du pays) et, dans la péninsule des Balkans, les populations de langue romane (Aroumains, Mégléno-roumains et Istro-roumains). Il est parfois employé en Serbie et en Bulgarie pour désigner aussi les Roumains locaux.[/b]
http://fr.wikipedia.org/wiki/Valaques
In reply to Re: Re - les vlaches ou valaques. 3.dracula by el griego
Re: les vlaches ou valaques. 3.dracula
el griego écrivait:
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> Pour ceux qui veulent savoir qui était le
> véritable vlad drakul et non le vampire de ciné,
>
>
> http://belgaria.chez.com/ETRANGE/Akasha…
>
> Les roumains l'ont même sacrifié au profit d'un
> tourisme du morbide.
El griego, tu veux être empaler ?(:P)
In reply to Re - Makidon chez les nos amis Roumains by Oculus
Re: Re - Makidon chez les nos amis Roumains
Salut Oculus,quelques petites questions concernant ces associations Makidon en Roumanie
Etait tu au courant de cette propagande de creer une minorite nationale dite de valaque en roumanie??
Avais tu deja entendu parler des Makidon ???
Conaissait tu cette association des aroumains francais ???
Et je voudrais aussi que tu me dise ,si toi en temps que valaque de Roumanie,te sent tu faisant partie d une minoritee ou faisant partie integrante du peuple roumain
Merci d avance de tes reponses
Ta leme file
In reply to Re: les vlaches ou valaques. 3.dracula by Oculus
Re: les vlaches ou valaques. 3 bis
Sans façon >:D<
In reply to Re: Re - Makidon chez les nos amis Roumains by alex
Re-questions
Bonjour,
Si je me sens roumain? Bien sûr que oui. Ce n'est pas pour rien que nos ancêtres se sont battus depuis des siècles pour unifier les principautés roumaines.Et de ces associations qui inventent des minorités valaques , j'en connaissais leur existence. Quelques propagandistes existent même parmi les moldaves , surtout en République de Moldavie, influencés par les slaves qui inventent une langue moldave et un peuple à part. D'ailleurs tous les linguistes , ont reconnu que le roumain et le moldave sont la même langue. Cela nous indiffère complètement et de toute notre longue histoire , on a pas manqué d'ennemis , mais cela nous a rendu plus fort.
Bonne après midi!
In reply to Re-questions by Oculus
Re: langue ou dialecte roumain?
bonjour,
il paraîtrait que si les vlahoi de Grèce et les roumains utilisent leur langue respective lors d'une conversation, ils ne se comprendraient pas.
http://books.google.com/books?id=31Fbi5…èce&sourc.
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