REPORTAGE - Les gardes-côtes et l'agence Frontex sont mis en cause après le naufrage d'un chalutier au large de Kalamata.
Dans le port de Kalamata, au sud du Péloponnèse, on parle déjà du ou du . Le naufrage d'un vieux chalutier rouillé surchargé de migrants, dans la nuit de mardi à mercredi, faisant au moins 78 morts et des centaines disparus, monopolise l'attention. Les bénévoles du Haut-Commissariat aux réfugiés (UNHCR) et de la Croix-Rouge se relaient jour et nuit auprès de la centaine de rescapés.
Des hommes, âgés de 16 à 40 ans, originaires d'Égypte, du Pakistan et de la Syrie. explique Manolis Makaris, médecin de l'hôpital général de Kalamata. Les témoignages sont glaçants.
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