Najat Vallaud-Belkacem a failli achever l'enseignement des langues anciennes au collège. Sous prétexte de lutte contre les inégalités, l'ancienne ministre de l'Éducation nationale avait instauré le « latin pour tous », mais à dose homéopathique, ce qui revenait à tuer cette discipline. Son successeur, Jean-Michel Blanquer, ne s'est pas économisé, au moins en paroles, pour renverser la vapeur.
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Mais l'intendance ne suit pas ! Le dernier exemple en date concerne la réforme du lycée. Quatre professeurs agrégés ont publié une tribune, dans L...
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