Les professeurs de lettres classiques sont dépités, en cette rentrée. Après s'être battus contre Najat Vallaud-Belkacem pour sauver le latin et le grec, ils doutent aujourd'hui de la détermination du ministère, malgré les paroles rassurantes que distille régulièrement Jean-Michel Blanquer. « J'ai l'impression de revivre ce qu'on a vécu avec la réforme du collège sous le quinquennat précédent, mais cette fois à propos du lycée », déplore cet enseignant.
En cause ? La réforme du baccalauréat et les changements qu'elle induit dans les programmes de première à compter de la rentrée 2019 et de t...
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