«Il n'est pas possible de venir en Grèce sans visiter l'Acropole.» Cette petite phrase convenue mais sympathique de Barack Obama, prononcée face au président de la République hellénique Prokopis Pavlopoulos, donne le ton détendu et souriant de cette visite de travail dans la capitale grecque, première escale européenne du dernier voyage à l'étranger du président américain.
Mais derrière le côté touristique et amical, Barack Obama compte bien rassurer l'Europe sur l'avenir des relations avec les États-Unis depuis l'élection de Donald ...
Συνεχίστε την ανάγνωση στην