En Grèce, le Premier ministre serait fortement influencé par sa compagne dont il confie qu'elle est "encore plus à gauche" que lui. "Si je cède aux exigences des créanciers, ma femme me quittera", aurait confié Alexis Tsipras à François Hollande. "Je n'ose pas la décevoir, elle est bien plus à gauche que moi", aurait-il encore ajouté. Cet aveu, éventé par le Président français lui-même, ouvre le reportage du Paris Match sur la compagne du Premier ministre grec: Betty - de son vrai nom Peristera Batziana.
Malheureusement, la suite du récit ne donne pas de détail sur la scène de ménage qui a vraisemblablement suivi le volte-face de Tsipras, acceptant pour son pays des conditions de sauvetage bien plus contraignantes qu'il ne l'espérait. Mais on peut se douter que la compagne du Premier ministre peine à digérer la situation actuelle.
L'une de ses proches amies, la présidente du Parlement, Zoé Konstantopoulou, s'est d'ailleurs abstenue de voter en faveur du plan européen, comme 38 autres députés de Syriza.
Une union libre et engagée
Le magazine raconte comment Peristera et Alexis se sont rencontrés au collège Ampelokipoi en 1987, au tout début de l...