C'est à un véritable exercice d'équilibriste que le premier ministre a dû se plier ce mercredi: faire adopter par le Parlement grec un accord européen auquel il «ne (croit) pas» et qu'une bonne partie des membres de sa formation de la gauche radicale décrivent comme une «humiliation». Malgré la grève des fonctionnaires, des pharmaciens et les manifestations à Athènes tout au long de la journée, le texte devait être ratifié dans la nuit par la Vouli, grâce au soutien de l'opposition. À en croire un sondage publié mardi, c'est d'ailleurs ce que souhaitaient 70 % des Grecs. Des Grecs qui ne sont pas non plus à une contradiction près, puisqu'ils avaient ...
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