Les médias ont été majoritairement hostiles à Alexis Tsipras.
Pour ce référendum, chacun a jeté ses meilleures armes dans la bataille médiatique.
Le camp de Tspiras a joué à fond sur la corde sensible des Grecs avec des appels répétés à l'honneur, à la dignité et à la fierté des citoyens. Une stratégie qui peut s'avérer efficace, surtout après cinq années d'austérité dans le pays. Du côté des partisans du "oui", la peur du chaos et d'une possible sortie de la zone euro a été mise en avant, par les médias très largement hostiles - à trois exceptions près - à Alexis Tsipras. Ce fut notamment le cas des télévisions privées à qui Syriza voudrait imposer une redevance.
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