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Christine Lagarde ne s'y retrouve plus dans les propositions d'Athènes

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Christine Lagarde juge que l'arrivée au pouvoir de Syriza a fait reculer la Grèce.
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Christine Lagarde juge que l'arrivée au pouvoir de Syriza a fait reculer la Grèce. (Crédits : JONATHAN ERNST)

La Grèce doit d'abord réformer son économie avant que la question d'une éventuelle restructuration de sa dette soit négociée, réaffirme Christine Lagarde dans une interview accordée mercredi à Reuters dans laquelle la directrice générale du FMI s'en prend en termes voilés à Alexis Tsipras.

"Nous n'avons pas le choix..."

Le Premier ministre grec, après avoir laissé entendre le contraire, a réitéré mercredi son appel à ses compatriotes pour qu'ils votent non au référendum de dimanche pour ou contre les propositions des créanciers d'Athènes. (voir )

"Nous n'avons pas le choix en ce qui concerne ceux qui représentent un pays et nous considérons tous les gouvernements dûment élus comme le partenaire légitime dans les négociations", déclare Christine Lagarde.

La directrice générale du FMI, qui appelait à la mi-juin à un dialogue "avec des adultes autour de la table", n'a pas voulu dire si elle considérait Tsipras comme un partenaire fiable.

Où en est la dernière propositions grecque?

Mais, a-t-elle ajouté, "nous avons reçu tant de 'dernières' offres, qui ont été elles-mêmes validées, invalidées, modifiées,...

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