Syriza s'est fait élire en promettant la fin de l'austérité. Ce parti de gauche radicale prétend, et il n'est pas le seul en Europe, qu'elle est imposée de l'extérieur par la zone euro et le Fonds monétaire internationale et affirme qu'une « autre politique » est possible. Or, disons-le brutalement, cela n'est pas le cas. L'histoire sans fin qu'est la crise grecque a fait oublier son point de départ : en 2009, Athènes affichait une dette de 134,6 % du PIB et un déficit de 15,3 % du PIB. D
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