Les négociations qui s'éternisent entre la Grèce et ses créanciers publics font de plus en plus penser à une partie de poker menteur basée sur le bluff. Une partie qui se jouerait à deux, le gouvernement Tsipras d'un côté et de l'autre l'ensemble des créanciers. Car même si le FMI, la BCE et les différents États de la zone euro peuvent avoir des vues et des expressions différentes, leur stratégie est fondamentalement unitaire, comme le sont leurs intérêts financiers.
En déclarant publiquement vendredi, lors du somment du G7 à Dresde, que la sortie de la Grèce de l'euro était «une possibilité», Christine Lagarde a manifestement voulu sortir les négociations du jeu de surenchères menaçantes dans lequel Athènes veut les enfermer. ...
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