La chancelière Angela Merkel sait esquiver les mauvais coups. Contrairement au président français, François Hollande, elle n'a pas salué Alexis Tsipras pour sa victoire électorale. Mais, le jour où il sera élu Premier ministre, elle lui enverra - poliment - un télégramme de félicitations.
"On ne mange pas un plat à la température de la cuisson", dit un proverbe allemand. Effectivement, le renvoi du gouvernement conservateur grec a été accueilli avec un certain flegme. Pour obtenir des concessions, Athènes devra nécessairement avoir l'aval de Berlin. Et le Bundestag devra lui aussi approuver le prolongement du plan d'aide à la Grèce expirant fin février.
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