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La FYROM rejette le "cadre d'idées" du médiateur de l'ONU

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Από iNFO-GRECE,

Le ministre des Affaires étrangères de la FYROM, Nikola Gruevski, a qualifié d'irrecevable le principal point du cadre d'idées soumis par le médiateur de l'ONU M. Nimetz et stipulant que la FYROM doit accepter un nom qu'elle utilisera au plan international, autre que son nom constitutionnel [contesté par la Grèce]. Athènes a refusé de commenter ces déclarations issues d'une interview accordée par M. Gruevski à l'agence d'informations de la FYROM "MIA".

Des sources diplomatiques du ministère des Affaires étrangères ont clarifié vendredi soir que la partie grecque fera ses commentaires sur le cadre d'idées soumis respectivement à Athènes et Skopje par M. Nimetz directement au médiateur de l'ONU.

Dans un commentaire d'une intervention du ministre des Affaires étrangères de la FYROM, Nikola Gruevski, au sujet du texte de M. Nimetz, ces sources diplomatiques ont explicité que "la Grèce, en respect de la procédure de négociations en cours et des efforts déployés par le médiateur spécial M. Nimetz pour l'obtention d'une solution mutuellement acceptée, ne fera aucun commentaire ni ne prendra position publiquement à propos du cadre d'idées soumis par M. Nimetz. La partie grecque dira ce qu'elle a à dire directement à lui en personne".

Se référant à l'ouverture des concertations entre la Grèce et la FYROM pour l'appellation de Skopje, le ministre de l'Intérieur, Procopis Pavlopoulos, dans une conférence de presse samedi à Katerini a assuré que "il n'y aura aucun rabais concernant la revendication de ce qui appartient à notre pays".

"La Grèce vise à établir un bon voisinage et a soutenu par tous les moyens l'Etat de Skopje, ainsi qu'il en a été cet été avec les incendies. Du côté de Skopje il existe cependant une intransigeance inacceptable en ce qui concerne la résolution d'un problème que, de toutes façons, d'autres ont créé. Nous ne faisons aucune solde et il ne nous est pas permis d'en faire", a affirmé M. Pavlopoulos.

Le ministre grec a encore ajouté que "l'heure est venue pour Skopje, non de faire des concessions car on fait de concessions quand quelque chose nous appartient, mais de prendre conscience de la réalité et de comprendre qu'au lieu de revendiquer des appellations qui ne lui appartient pas, des histoires qui n'ont pas été écrites, il est préférable de voir comment les peuples peuvent régler les réels problèmes".

i-GR/ANA-MPA

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