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Grèce et ARYM (Skopje)

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Submitted by Catherine Lambre on
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Mes amis les chercheurs des mystères autour de Rennes-le-Château me font beaucoup rire lorsqu'ils prétendent, inspirés du délirant "da Vinci Code", que tous les mystères et les intrigues qui se tramèrent à une certaine époque autour de cet endroit, de même que les quelques petits meurtres en famille dont son histoire est truffée, ont quelque chose à voir avec une prétendue descendance de Jésus-Christ et de Marie-Madeleine de Magdala, avec des prophéties concernant les Mérovingiens et le Grand Monarque, avec le trésor des Templiers enfoui à cet endroit, avec un tombeau royal et d'autres inepties du même genre.
Néanmoins, ils ont le mérite de pointer du doigt le lien entre les Lazaristes, le culte de la Vierge Noire, l'Ordre de Saint Vincent de Paul, (et son homologue féminin, Les Filles de la Charité), l'église de Notre Dame de Marceille et l'église Saint Sulpice avec tout ce mystère, car là se trouve sa clé. Quant aux sociétés secrètes elles ont bel et bien existé et elles continuent d'exister: elles se perdent dans les dédales les plus secrets et obscurs du Vatican et de la Mafia de Sicile et dans tout le système banquier, financier et politique entièrement corrompu à l'heure actuelle, mais elles voyagent aussi beaucoup en Méditerranée, qu'elles affectionnent, et dans leur second berceau, la Thrace, la Macédoine et le reste des Balkans.

La vérité est bien plus terre à terre. Et il fallait parler des langues étrangères et connaître l'histoire d' autres pays et d'autres régions du monde pour la saisir. Je pense que je la connais ou du moins en partie et que j'ai percé ce mystère. Je n'en donnerai ici qu'un petit résumé, puisque j'ai la prétention de mener à bien et de faire éditer si possible un livre plus consistant à ce sujet. Ce qui explique également mes recherches sur ce sujet et sur bien d'autres.
Cette histoire commence au XIIIème siècle quelque part, dans le bassin Méditerranéen, dans les Cyclades, en même temps que celle d'une famille venue de Venise via l'Albanie (des "Albanais" d'Italie), celle de Guyzi, de confession officiellement catholique, nommés, alors, gouverneurs des îles Tinos et Syros des Cyclades, au nom de la Sérénissime. Leur Palazzo de l'île de Santorin, subsistant encore de nos jours, témoigne de leur ancienne grandeur:

De nos jours, seuls quelques milliers de catholiques autochtones subsistent en Grèce, la plupart des familles mêmes des anciens gouverneurs des îles des Cyclades, où elles se trouvèrent, s'étant hellénisées suite à des mariages mixtes et ayant embrassé depuis, majoritairement, le dogme Orthodoxe, comme les familles Barozzi de Vignola (gouverneurs d'autres îles) ou la famille Mocenigo (branche Grecque) qui eux ne sont pas issus de gouverneurs mais de rejetons de l'illustre famille installés en Grèce de leur propre gré et de façon autonome, notamment sur l'île Ionienne de Zakynthos (Zante). Or, une étude personnelle que j'ai menée aidée en même temps de quelques statistiques de chercheurs Grecs, m'ont menée à croire que le noyau "dur", le rempart en quelque sorte du catholicisme subsistant encore en Grèce parmi les anciens autochtones, se trouve justement sur ces deux îles gouvernées par la famille dite Albanaise, mais que je soupçonne d'origine plutôt bogomile exilée en Thrace durant l'époque de Byzance par les Empereurs de Byzance en tant qu'hérétiques. Leur origine réelle est obscure: pour certains, les Cathares Bogomiles que l'on trouve aussi à profusion durant le Moyen Âge dans la partie Sud de la France, est Iranienne-Perse en raison de leurs tendances manichéistes. Cependant, bien que Mani fût, comme on le croit, d'origine Perse, il avait vécu à une époque reculée de l'Histoire, vers le 3ème-4ème siècle de notre ère et, entretemps, cette religion s'était répandue dans d'autres régions de l'Asie et de l'Asie Centrale. Comme sur les sites Cathares de France on trouve des représentations d'un dénommé Mani sous les traits d'un moine Ouighour d'origine noble, (comme un Professeur d'Histoire et d'Archéologie de l'Université de Grèce l'avait fait remarquer), on peut supposer que les Cathares étaient issus d'un mélange ethnique, Perse-Ouighour et qu'au fil des siècles ils avaient oublié la véritable origine de leur Maître ou voulaient-ils lui donner tout simplement des traits de leur propre ethnie. Il s'agissait donc a priori d'ethnies Turques et non Perses ni Iraniennes.

L'Ordre des Lazaristes est né bien plus tard, en 1653, par Saint Vincent de Paul (d'identité controversée), soi-disant afin de porter aide morale et militaire aux Chrétiens, notamment catholiques, vivant en captivité en Alger ou dans d'autres pays musulmans et à d'autres chrétiens (catholiques) vivant sous le joug des Turcs Ottomans et d'autres peuples musulmans.
En réalité, à cette même époque, vers le milieu du XVIIème siècle, ce qui correspond à la date de la fondation de cet Ordre, selon un document de recherches historiques écrit en langue Grecque, ce même Ordre avait développé une intense activité lors de missions catholiques en Varsovie, Cracovie (en Pologne), à Vilna et à Smilovitch (Biélorussie, anciennement Ruthénie)) et parlaient déjà à l'époque de leur fondation couramment les langues slaves de l'époque. Donc, il est évident, plus clair que l'eau de roche, que l'histoire de la fondation de cet Ordre catholique de même que la véritable identité de son fondateur (qui ne venaient pas d'Alger ni de France mais de ces pays) a été volontairement falsifiée. Mais un siècle plus tard, on les retrouve à Thessalonique en tant que Consuls de la France alors encore sous l'Ancien Régime mais plus pour très longtemps, donc en 1782, pour le simple motif qu'à cette même époque l'Ordre des Jésuites, leurs pairs et homologues, -[les deux Ordres Missionnaires ayant développé des liens très étroits de collaboration et d'amitié entre eux]-, ayant été persécutés en France en tant qu'intrigants (à très juste titre), et exilés. Le Pape, très perfide, y envoie une autre carte qu'il gardait précieusement dans sa manche, ayant possiblement trahi lui-même ses chers Jésuites en France pour les remplacer dans cet endroit stratégique, foyer de la véritable Orthodoxie, épine dans son pied par les Lazaristes, bien plus utiles dans ces circonstances. Car les saintes têtes du Vatican fomentaient déjà des desseins...Depuis longtemps, depuis très longtemps...Déjà en 1793, alors que la Révolution Française bat son plein, les Lazaristes avaient déjà pris le plein contrôle de la mission et de la présence catholique en Grèce (à Chios, à Thessalonique et ailleurs).
En 1850, alors que l'engouement des Français pour les Etudes Slaves bat son plein après la défaite de l'insurrection des Polonais vers 1840 et l'arrivée massive d'émigrés de Pologne, le panslavisme naît dans la région de la Macédoine même et autour dans les Balkans. Les Lazaristes (qui y avaient certainement contribué à cet état d'esprit déguisés déjà en autochtones de nombreuses de ces ethnies) saisissent l'occasion pour provoquer la naissance d'églises "slaves" et panslavistes autonomes détachées du Patriarcat de Constantinople, notamment de l'Exarchat de la Bulgarie. C'est au sein ou parallèlement à ces petites églises schismatiques autonomes que naît le projet de Unia (le projet du Pape de convertir les habitants de ces régions qui dans un état d'"éveil ethnique" faux provoqué par ces anciens Bogomiles musulmans-catholiques-manichéens d'origine Turque, d'abord en tant que catholiques de rite Byzantin, puis comme Catholiques tout court), peut-être sifflé dans les oreilles des Papes successifs par la bouche du Serpent de l'Ordre de Saint Vincent de Paul et avant des Cathares et Bogomiles dont de nombreux Templiers). C'est pourquoi le Pape Clément a mis aussi longtemps à se décider à condamner et à faire périr sur le bucher ses chers Templiers, en aidant même quelques uns à fuir vers l'Angleterre et le Portugal. Qui sont rentrés en France mais qui vivent aussi soit en tant que catholiques missionaires sur les îles Grecques ou ailleurs en Grèce et surtout, déguisés en anciens at authentiques Slaves et/ou des descendants d'Alexandre le Grand (ce qui en soi est impossible mais allez discuter avec des imbéciles, il y a des tas de preuves historiques locales et écrites qui les contredisent). Cependant, ces espoirs des Papes successifs ont été trahis puisque ces anciens Bogomiles n'ont pas tenu parole. Ils ont créé leurs propres petites églises bizarroïdes et autonomes, peut-être, (parfois vivant en bonne entente avec le Vatican, quand ils en ont envie mais essentiellement créant aux quelques authentiques catholiques qui sont restés d'énormes problèmes allant jusqu'à des tueries provoquées par ces descendants des Bogomiles Turcs ), un point c'est tout. Mais ceci ne leur a pas suffi, ils n'ont pas cessé leurs intrigues impliquant la France, l'Allemagne et d'autres pays de l'Europe, en Russie même, depuis 1850 et même avant, depuis la Révolution Française, en promettant des monts et merveilles au Tsar et aux Russes (la création de la Troisième Rome, le titre de "Protectrice de l'Orthodoxie sous le joug Ottoman pour la Russie) et en définitive en trahissant tôt ou tard les uns et les autres, n'ayant aucun véritable ami, dans une série sans fin de provocations de révoltes, d'insurrections et de guerres jusqu'à la dissolution complète de ce Continent et des USA avec, qu'ils espèrent du fond de leur cœur. Voilà l'Histoire de l'ARYM. Où elle commence. Mais où et comment se terminera-t-elle?

http://media.ems.gr/ekdoseis/makedonika…
https://el.wikipedia.org/wiki/Βουλγαρικ…
https://www.impantokratoros.gr/bogomilo…

http://www.liberation.fr/planete/2017/0…

Les Ouighours de Xinjiang au cœur d'un groupe de djihadistes? C'est ce que les autorités chinoises semblent penser. Tout de suite, une élite d'intellectuels de France organise des conférences contre la "répression des minorités ethniques" en Chine. L'église catholique et ses organes de défense des ces fameuses "minorités ethniques" sans visage et sans nom ne doivent pas être loin, 'est-ce pas?
Publication de Ioannis Vougas, Professeur d'Université

Η ΕΛΛΑΔΑ ΚΑΤΕΧΕΙ ΤΟ 85% ΤΗΣ ΑΡΧΑΙΑΣ ΜΑΚΕΔΟΝΙΑΣ, ΟΧΙ ΤΟ 51.5%!!
Αυτός ο ισχυρισμός ότι η Ελλάδα κατέχει μόνο το 51.5% είναι βασισμένος στην έννοια ύπαρξης «Γεωγραφικής Μακεδονίας» που ξεκίνησε να προωθείται τον 19ον αιώνα από τους Ρώσους και τους Βουλγάρους με τη βοήθεια χαρτογράφων. Ο στόχος τους πάντα ήταν να παρουσιάζεται η Μακεδονία μεγαλύτερη ώστε να περιέχει και ευρείες περιοχές εκτός Ελλάδος κατοικούμενες από Σλάβους, ώστε να αποκτούν και αυτοί «δικαιώματα κατοχής»!
Ο πρώτος γνωστός χαρτογράφος της Μακεδονίας είναι ο Γάλλος Ami Boue (1847). Σ’ αυτόν βασίστηκε μετά ο Βούλγαρος χαρτογράφος και πανσλαβιστής Basil Kantsof (1900), ο οποίος οραματιζόταν τη Μεγάλη Βουλγαρία. Την δεκαετία του 1940 η ΚΟΜΙΝΤΕΡΝ και ο Τίτο υιοθέτησαν τον όρο «Γεωγραφική Μακεδονία», γιατί οραματίζονταν τη Μεγάλη Μακεδονία...και εκεί έμεινε το θέμα για χρόνια. Οι Σκοπιανοί άρχισαν πρόσφατα να το χρησιμοποιούν για να κάνουν πειστικότερο τον ισχυρισμότους ότι εμείς οι Έλληνες δεν έχουμε αποκλειστικότητα στην γεωγραφική περιοχή της Μακεδονίας.
Δυστυχώς οι ιδέες περί Γεωγραφικής Μακεδονίας έγιναν δεκτές και από κάποιους Έλληνες ιστορικούς και εμπειρογνώμονες ή «ιστορικούς» και «εμπειρογνώμονες» και χρησιμοποιείται συχνά από πολιτικούς μας και αρθρογράφους (π.χ. από την κ. Ντόρα Μπακογιάννη, και τον καθηγητή Α. Ηρακλείδη, πρόσφατα). Εκείνος που αναφέρεται ως «πηγή» ότι η Ελλάδα κατέχει το 51.5% της Μακεδονίας είναι ο Ευάγγελος Κωφός, συνεργάτης της ΜΚΟ ΕΛΙΑΜΕΠ.
Στην πραγματικότητα η Ελλάδα έχει το 85% της αρχαίας Μακεδονίας, γιατί το βασίλειο της Μακεδονίας δεν εκτεινόταν ποτέ πέρα από τη γραμμή Αχρίδα-Μοναστήρι- Κρούσοβο, κλπ. Και στην Ρωμαϊκή εποχή η κυρίως Μακεδονία (Macedonia Prima) περιείχε μόνο το βασίλειο του Φιλίππου και του Αλεξάνδρου, ενώ η ευρεία Μακεδονία (Macedonia Secunda) περιείχε και την Παιονία. Καμία Μακεδονία δεν εκτεινόταν βορειότερα από μια λεπτή λωρίδα του σημερινού κράτους της ΠΓΔΜ, ενώ η πόλη των Σκοπίων δεν ανήκε ποτέ στη Μακεδονία.
Τα γράφω αυτά, παρά το ότι το ποσοστό κατοχής της γεωγραφικής Μακεδονίας από την Ελλάδα και τα Σκόπια δεν έχει μεγάλη σημασία. Η αντίθεσή μας στις επιδιώξεις των Σκοπιανών βασίζεται στο γεγονός ότι οι αρχαίοι Μακεδόνες ήταν Έλληνες και δεν μπορούμε να επιτρέψουμε κλοπή της Ιστορίας τους και της πολιτισμικής τους κληρονομιάς από τους σλαβόφωνους βορείους γείτονές μας. (traduction à suivre)
voir aussi sur le site www.enquete-sur-le-passe.blogspot.com (copier-coller l'adresse pour y avoir accès)

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