L ete grec est une canicule sans fin
Tout s embrase
Le moi d Aout sera encore plus chaud que celui de juillet
La Grece est tomber en lethargie
Le grec est tomber dans son sommeil estival.il sait que septembre l attend
Il profitte de ses derniers moments de joie dans cette lassitude
Demain des septembre rien ne pourra arreter l inaretable
Le grec sait qu il est en fin de cycle
Rien ne peut le sauver,il en est conscient
Il n y aura pas d effet domino
Tout le systeme tombera d un coup
Il n y aura pas de contagion
Le mal est partout
Les milliards de hier permettait de tenir un an,aujourd hui ne permette que de tenir un mois,demain ils ne tiendrons meme pas un jour
Trop tard,c est trop tard
Acheter du temps avec des milliards ca ne dure qu un temps
L argent n a plus de valeur
Un milliard ne vaut plus que quelques millions,quelques millions ne vaut plus que quelques milliers d euros
L euro s est auto devaluer
Plus personne ni crois meme pas les plus "vertueux"
La messe est dite.le chomage galoppe
La delegation de la Troika en perd son allemand
Ils vociferent mais la lethargie grecque est immuable
Ils montrent les crocs et le grec lui souris d un rire moqueur
Le grec n y croie plus alors il se marre
Il profitte de son ete,il va se baigner et laisse les troikans meduser derriere lui qui attende sur place des jours et des jours
Ils ne peuvent pas rentrer les poches vides leurs dit on a Bruxelles ,a Francfort et a New York
Le ponce pilate Barroso a meme fait le voyage ,rien n y fait
Les grecs ne s occupe que de querelle byzantine sur le filioque de la sainte trinite europeenne et ils repoussent toutes decision aux calendes grecques car il n y a pas de consensus
La delagation de la Troika attend desesperement la fumee blanche,elle apprend a attendre c est son tour,ils sont mis gentiment a l ecart,le grec est en plein debat philosophique et de plus il y a canicule
Il sait qu il a le temps
A l Ouest pret des colonnes d hercules ,le bateau europe est entrain de chavirer
Le grec sait ne pourra plus rien y faire
Le pare-feu grec qui tenais pres de trois ans a ete pirater,il est obsolete,tout le resaux europeen est infiltre
Il n y a plus de greek firewall pour contenir les virus speculatif de l euro
Le grec le sait alors comme dans les derniers jours de Constantinople
Il s est mis a philosopher sur le sex de leurs "anges gardiens",des querelles byantines alors que dehors l envahisseur troikan s impatiente d une reponse qu il sera infructueuse et dogmatique
Le grec sait aujourd hui qu il a le temps de se prelasser de philosopher car demain a partir de septembre il n y aura pas de lendemain
Car il n y aura pas d hiver cette annee que de la canicule
Ta leme
Apres l Hiver caniculair,l espoir renaitra de ses cendres
La canicule hivernale amenera ses fleaux sans fins
Les chiens lacher sur leurs proies finirons leurs obscures besognes
Ils ne laisserons que un tas d os et de cendres
C est sur ces cimetierres que renaitra l espoir d un continent sacrifier au plus offrand
Un monde disparait mais une idee ne meurre jamais car elle n est pas palpable,elle ne peut pas s eteindre car elle n est pas fait d un corps materielle
Le materialisme et le consumerisme peuvent etre aneantis car elle sont des choses palpables
Une idee ne le peut pas car elle est au profond des etres
Et cette idee d une Europe unie ne disparaitra pas par la volonter des charognards qu ils veulent la voir disparaitre
L immaterielle ne peut pas etre demolis par le materialisme
L espoir ne meurt jamais meme pas ces temps obscures
L europe a passer le test de puberte pour arriver a sa maturiter
Elle a echouer
Elle est encore trop jeune pour devenit mature
Une erreure de jeunesse qui la fera grandir plus vite que l on crois
La matrice europeenne va etre reloader et le neo europeanisme qui en decoulera sera plus solide et solidaire
Ta leme
En réponse à Apres l Hiver caniculair,l espoir renaitra de ses cendres par alex
Re: Apres l Hiver caniculair,l espoir renaitra de ses cendres
alors cher Alex vous n'êtes pas EUROPE , vous-êtes BALKAN un peu de retenu . SVP
En réponse à Re: Apres l Hiver caniculair,l espoir renaitra de ses cendres par de belgique
La Grèce est un mouton noir parmi les autres
Le Matin (Suisse)
http://www.lematin.ch/economie/grece-mo…
Alec,
D'après cet article, notre pays a déjà fait 6 fois faillite ! Et, nous détenons le record du nombre de fois en défauts de payement de l'histoire contemporaine !
Tant pis ! On s'en sortira bon gré mal gré !
En réponse à La Grèce est un mouton noir parmi les autres par el griego
Re: La Grèce est un mouton noir parmi les autres
el griego écrivait:
-------------------------------------------------------
> Le Matin (Suisse)
> http://www.lematin.ch/economie/grece-mo…
> tory/21080445
>
> Alec,
>
> D'après cet article, notre pays a déjà fait 6
> fois faillite ! Et, nous détenons le record du
> nombre de fois en défauts de payement de
> l'histoire contemporaine !
>
> Tant pis ! On s'en sortira bon gré mal gré !
....et les journaux des paradis fiscaux distribuent les bons et les mauvais points, marrant ....
En réponse à Re: La Grèce est un mouton noir parmi les autres par emmanouil
pendant ce temps,....
L' Allemagne tire profit en empruntant à des taux extrêmement bas !
http://www.lematin.ch/economie/allemagn…
En réponse à Re: La Grèce est un mouton noir parmi les autres par emmanouil
Re: La Grèce est un mouton noir parmi les autres.
Manoli,
regarde ci-après, http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2012… Le pays a connu plusieurs faillites au XIXe siècle étant incapable de rembourser l'effort de guerre de la guerre d'Indépendance !
Je ne sais pas comment le tableau a été dressé ! L'Allemagne n'était pas un état unifié au XIXe siècle et ne l'est que depuis le Traité de Versailles de 1871. On semble aussi tantinet un peu oublier qu'elle était incapable de payer les dettes de guerre suite à sa défaite de la 1ère Guerre Mondiale ! On lui fit grâce de celles de la 2e Guerre Mondiale http://www.la-croix.com/Actualite/S-inf… Ce qui peut expliquer son miracle économique actuel.
Tschüss
En réponse à Re: La Grèce est un mouton noir parmi les autres. par el griego
t un mouton noir parmi les autres.
bonsoir
intéressants tous ces problémes de trésorerie des différents états..j'ai même été étonné que la france n'est eu qu'un seul problème de trésorerie
peut être que pour l'allemagne,'ils ont pris en compte à partir de la confédération germanique ??
le Saint Empire germanique est dissout en 1806 et remplacé par la Confédération du Rhin sous protectorat français. Après le congrès de Vienne (novembre 1814 – juin 1815), celle-ci est remplacée par la Confédération germanique (« Deutscher Bund ») qui ne regroupe plus que 39 États sous la direction honorifique des Habsbourg qui ne portent plus que le titre d'Empereur d'Autriche. En fait, cette confédération ne peut exister que si l'Autriche et la Prusse s'entendent. À partir de 1834, le Zollverein ou union douanière commence à se constituer à l'initiative de la Prusse. Il construit un espace économique sans douane intérieure et définit une même politique commerciale vis-à-vis de l'extérieur. Cet espace, progressivement élargi, exclut délibérément l'Autriche. Les révolutions de 1848 touchent la plupart des États allemands. Une assemblée élue au suffrage universel se réunit à Francfort et propose la couronne d'une Allemagne unifiée au roi de Prusse, Frédéric-Guillaume IV, qui la refuse, soucieux de ne pas tenir son pouvoir de la souveraineté du peuple. Il est prêt à accepter la couronne que lui proposent les princes allemands, mais l'Autriche force la Prusse à renoncer en 1850. L'Allemagne se retrouve dans la même situation politique qu'en 1815.
En 1862, Otto von Bismarck devient le ministre-président (Chancelier) du roi de Prusse Guillaume Ier. Il a compris que l'unité allemande ne se fera pas sans l'éviction de l'Autriche par la guerre. Il fait passer par la force les réformes modernisant l'armée.
c'est vrai que la dette de l'allemagne pour la 1ere guerre n'a été soldée qu'en 2010, le paiement avait été suspendu de l’avènement d’Hitler à la réunification.
Les indemnités post-Première Guerre mondiale ont été soumises à de fréquents recalculs qui ont encouragé l'Allemagne, soutenue par les puissances financières anglaise et américaine, à faire obstacle aux paiements. Finalement, tous les paiements ont été annulés après l'avènement d'Hitler. Par contre, l'Allemagne a continué à rembourser, par intermittence, les emprunts contractés pour payer les réparations (dernier paiement en 2010).
.et qu'elle n'a presque rien payé comme dommage pour la 2emme guerre
Après la Seconde Guerre mondiale, selon la Conférence de Potsdam tenue entre du 17 juillet au 2 août 1945, l'Allemagne dut payer aux Alliés 20 milliards de reichsmarks, soit environ 315 millions USD, surtout en termes de machines et d'usines. Les réparations à l'Union soviétique ont été interrompues en 1953. De plus, conformément à une politique systématique de désindustrialisation et de pastoralisation de l'Allemagne, un grand nombre d'usines civiles ont été démontées pour être transportées en France, en Union soviétique, au Royaume-Uni ou tout simplement détruites.
Après la capitulation allemande et au cours des deux années suivantes, les États-Unis et l'Union soviétique poursuivirent un programme vigoureux de pillage du savoir-faire technologique et scientifique allemand ainsi que des brevets déposés en Allemagne durant la période de guerre. L'historien John Gimbel établit que les « réparations intellectuelles » prises par les États-Unis et le Royaume-Uni se sont élevées à près de 10 milliards de dollars.
Les réparations allemandes devaient partiellement prendre la forme de travail forcé. En 1947, environ 4 000 000 Allemands ont été utilisés pour le « travail de réparation » en Union soviétique, en France, au Royaume-Uni, en Belgique et dans la zone allemande sous contrôle américain.
Grèce, quand l'Allemagne oublie ses dettes
http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-p…
Après examen par une foultitude de commissions d'évaluation et des tergiversations qui devaient tenir compte de ce que l'Allemagne fédérale était devenue un allié précieux face au bloc soviétique, les réparations ont été définitivement fixées par un traité signé en 1953 à 41 milliards de dollars, payés par la seule Allemagne de l'Ouest à la Grèce.
il faudrait aussi prendre en compte le plan Marshall ou certain pays ont bénéficié de prêts et d'autres de dons.
c'est vrai que dés sa création la gréce ,comme d'autres pays a eu des problémes de dette..
En 1850, le problème de la dette extérieure n'était toujours pas réglé et servait de prétexte aux interventions étrangères. le Royaume-Uni entama un blocus maritime de la Grèce. Ce blocus fut accentué pendant la Guerre de Crimée(Guerre de Crimée 1854-1855). De même, France et Royaume-Uni occupèrent le Pirée pendant ce conflit. L'occupation dura jusque 1859, c'est-à-dire jusqu'à la mise en place d'une commission de contrôle des finances du Royaume.
et même avec des particuliers ce qui fit " intervenir" l’Angleterre(affaire Don Pacifico)
Le Ministre des Affaires Étrangères Lord Palmerston, bien que philhellène et partisan de la guerre d'indépendance grecque (1821-1832), soutient alors les revendications de Don Pacifico. Par conséquent, la Royal Navy entame, en 1850, un blocus des ports grecs et principalement du Pirée. Le blocus dure deux mois et crée des tensions diplomatiques avec les deux autres « Puissances Protectrices » de la Grèce : la France et la Russie.
L'ambassadeur de France à Londres Édouard Drouyn de Lhuys est rappelé mais c'est grâce à lui que la crise est finalement réglée. Grâce à son intervention, la Grèce cède et se résout à indemniser Don Pacifico.
la vie est un perpétuel recommencement..certain se débrouille mieux que d'autres.. mais ce n'est pas parce que l'on n'est aussi un mouton noir qu'il faut en tirer gloire ! il y a mieux que d’être parmi les nuls non ?
@ alex tu rentres de vacances ? l'on ne t'avait pas lu depuis un moment.. ou tu étais peut être cuit suite à la vague de chaleur à moins que tu ne sois parti avec alison car elle a aussi disparu depuis qq temps..
En réponse à t un mouton noir parmi les autres. par tintin
Re: t un mouton noir parmi les autres..
Bonjjour Tintin,
Merci pour ces pages d'histoire sur l'union douanière germanique du XIXe siècle !
Voici une interview de l'historien grec Nicolas Bloudanis datant d'octobre 2011 expliquant bien les déboires actuels de l'état grec !
http://www.liberation.fr/economie/01012…
Je note
- classe politique corrompue ;
- mentalité levantine renforcée par l'afflux des réfugiés d'après la Catastrophe de 1922 ;
- chacun ne pense qu'à son intérêt privé au détriment du public ;
- secteurs privé peu compétitif sur le plan international ;
- secteur public grand pourvoir d'emplois ;
- travailleurs incompétents ou peu qualifiés ;
- on place des nullités à des postes à responsabilités,... ;
et j'en passe,...
Au fait la faillite de 1932 est aussi liée à la question de rétablissement de la Royauté ou du maintien de la république d'alors ! Les puissances alliées de l'époque menacèrent la Grèce de sanctions si on ne faisait pas revenir la famille royale ! ...
http://www.voyagesphotosmanu.com/republ…
Petite anecdote, ! Voici qu'un député polonais suggère de récupérer le solde d'un prêt historique jamais entièrement honoré par l'Espagne il y a 400 ans !
http://www.dhnet.be/infos/monde/article…
En réponse à Re: t un mouton noir parmi les autres.. par el griego
la , les dettes..suite
bonjour el greigo
très intéressants tes extraits et l'article de libé...
On a aussi l'impression en revenant sur l'histoire,qu'au fils des ans la gréce n'a jamais été considérée par certain etat européen comme un pays responsable a part entière et quelle a toujours été plus ou moins surveillée , soutenue ou lâchée..
voici quelques opinons sur les dettes ...
[b]Vu d'Allemagne, les pays en crise doivent sortir temporairement de la zone euro. Leur prêter davantage d'argent ne mettra pas fin à la crise de la dette[/b]
Voilà cinq ans déjà que l'Europe injecte généreusement des liquidités dans les économies les moins compétitives de la zone euro. Depuis fin 2007, la Banque centrale européenne (BCE) a apporté son aide en transférant des crédits de refinancement émis par les pays du centre de l'Europe en faveur des pays dits " périphériques " de la zone euro. La banque centrale allemande, à elle seule, a dû y contribuer à hauteur de 730 milliards d'euros.
De plus, depuis mai 2010, plus de 200 milliards d'euros en titres publiques ont été achetés par la Banque centrale européenne, tandis que près de 400 milliards d'euros ont été accordés par les programmes de sauvetage intergouvernementaux et par le Fonds monétaire international (FMI).
Et si l'on ajoute à cela l'apport du nouveau fond de sauvetage européen, le Mécanisme européen de stabilité (MES), et l'aide promise par le FMI, on obtient un total d'environ 2 200 milliards d'euros. L'Allemagne a fourni la part la plus importante de ces liquidités
Si tous les fonds de sauvetage sont employés et si la Grèce, l'Irlande, l'Italie, le Portugal et l'Espagne viennent à faire faillite, ne remboursent rien et quittent la zone euro, mais que l'euro continue d'exister, l'Allemagne perdrait plus de 771 milliards d'euros. Cette somme équivaut à 30 % de son PIB actuel.
La France est également très exposée. Un tel scénario catastrophe amènerait Paris à subir une perte de 579 milliards d'euros, ou 29 % de son PIB.
Certaines critiques ont avancé que l'Allemagne a grandement bénéficié du plan Marshall après la seconde guerre mondiale. Ces critiques feraient mieux de regarder les données de plus près.
Elle a reçu de ce plan une aide que certains évaluent à 2 %, d'autres à 5 % du PIB d'une seule année. A cela s'ajoute l'annulation de la dette extérieure allemande, prévue dans l'Accord de Londres de 1953. Sans inclure le démantèlement massif de l'industrie allemande, mené même par les pays occidentaux, le montant total de la dette abandonnée, y compris le plan Marshall, s'élevait à 22 % du PIB allemand.
La Grèce a bénéficié d'une aide extérieure de 460 milliards d'euros au travers de diverses dispositions. L'aide apportée jusqu'ici à la Grèce représente donc l'équivalent de 214 % de son PIB, soit environ dix fois plus que ce dont l'Allemagne a bénéficié grâce au plan Marshall. Berlin a apporté environ un quart de l'aide fournie à la Grèce, soit 115 milliards d'euros, ce qui représente au moins dix plans Marshall ou deux fois et demi un Accord de Londres.
ans-Werner Sinn 'économiste le plus influent en Allemagne.
Il est professeur d'économie et de finances publiques à l'université de Munich et y dirige le Centre d'études économiques.
[b]Pour le quotidien " Bild ", Berlin profite de la crise européenne[/b]
Que le Bild ait titré l'un de ses articles, mercredi 1er août, " L’Allemagne gagne de l'argent grâce à la crise " prend donc un sens tout particulier. Le quotidien reconnaît que Berlin profite, depuis le début de la crise, de taux d'intérêt faibles qui lui permettent d'économiser de l'argent. Beaucoup d'argent : 60 milliards d'euros en trente mois, affirme le journal, s'appuyant sur les calculs d'un analyste de la Bremer Landesbank.
Explication : aux yeux des marchés, l'Allemagne, modèle de rigueur budgétaire et de compétitivité, est " le pays où il fait bon investir "
Le chiffre avancé par Bild semble cohérent pour Jean-Baptiste Pethe, économiste chez Exane BNP Paribas : l'Allemagne, dit-il, emprunte à des taux à dix ans de l'ordre de 2 % cette année, contre 4 % avant la crise. La dette du pays étant de 1 400 milliards d'euros, une baisse des taux de 2 points de pourcentage permet d'économiser 28 milliards d'euros d'intérêt par an, indique-t-il. Sur trente mois, on avoisine donc un gain de 60 à 70 milliards.
Ces profits compenseraient largement les 46,1 milliards d'euros prêtés par l'Allemagne à Athènes dans le cadre des deux plans de soutien à la Grèce. De quoi clore le débat sur le fait que Berlin paie cher l'inconséquence des Grecs...
Mais Bild a peut-être manqué de nuance. Matteo Cominetta, chez UBS, juge, lui, que le chiffre de 60 milliards est exagéré. Et puis " l'Allemagne n'est pas la seule à profiter de la crise ", signale Thomas Harjes chez Barclays.
L'article du quotidien allemand n'en reste pas moins étrange. " "Bild" a été très agressif envers la Grèce. Cela peut signifier un tournant ", pense M. Wirschke. " Peut-être aura-t-on en Allemagne un débat plus constructif, plus coopératif, sur la crise de l'eu ro ? ",
http://www.lemonde.fr/journalelectroniq…
pour conclure ,je me rappelle une phrase que m'a dit une dame grecque, il y a plus de 30 ans dans l'avion pour athénes
[b]" La gréce est pauvre, mais les grecs sont riches"[/b] et elle ne parlait peut être pas seulement que d'argent ?
En réponse à la , les dettes..suite par tintin
une sortie gerable mais pas souhaitable
[b]Une sortie de la Grèce de la zone euro serait gérable mais n'est pas souhaitable[/b], a déclaré le président de l'Eurogroupe, Jean-Claude Juncker, lors d'un entretien accordé à la chaîne de télévision allemande WDR, publié par le site du gouvernement luxembourgeois.
Une sortie de la Grèce "serait gérable mais cela ne veut pas dire qu'elle est souhaitable. Parce qu'il y aurait beaucoup de risques associés pour la population en Grèce", a-t-il dit. Sur le site, la phrase en allemand est la suivante : "Es wäre aus heutiger Sicht ein beherrschbarer Vorgang."
Prié de dire s'il excluait catégoriquement une sortie de la Grèce de la zone euro, Jean-Claude Juncker, également premier ministre luxembourgeois, a répondu : "Au moins jusqu'à la fin de l'automne. Et après cela également."
[b]Un ministre bavarois appelle les Grecs à "quitter la famille européenne[/b]
Dans un entretien au journal Bild am Sonntag, le ministre bavarois des finances Markus Söder a estimé, dimanche 5 août, qu'il était temps pour la Grèce de quitter la famille de la zone euro. "A un moment donné chacun doit déménager de chez maman, et les Grecs en sont là", déclare le responsable des finances, issu des conservateurs du riche Etat de Bavière (CSU) alliés aux chrétiens-démocrates de la chancelière Angela Merkel.
"L'Allemagne ne peut plus être le carnet de chèque de la Grèce. Chaque nouvelle aide, si petite soit elle, chaque assouplissement (en faveur de la Grèce) irait dans la mauvaise direction", a-t-il dit. Markus Söder a estimé qu'accorder plus d'aide reviendrait à vouloir vider la mer à la petite cuiller.
UNE SORTIE DE LA ZONE EURO "D'ICI LA FIN DE L'ANNÉE"
Catégorique, M. Söder, qui est coutumier des phrases virulentes contre Athènes, considère que "si un pays comme la Grèce ne peut à terme plus rembourser ses dettes, il doit quitter l'euro". Il table sur une sortie d'Athènes de la monnaie unique "d'ici la fin de l'année". Et de prévenir : "Si les Grecs arrivent à imposer leur tactique qui consiste à laisser traîner les réformes et les remboursements des prêts, alors c'est tout le système qui s'effrondrera". Selon lui, ce serait la porte ouverte à une union de transfert, "un puits sans fond".
Pagination