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La Grecia Salentina

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Soumis par alex le
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[img]http://www.tarantolati.it/areasalento/i…]

[img]http://1.bp.blogspot.com/_MRJlv6BgLEY/S…]

[img]http://www.cucinaironia.it/musicafolk/n…]

Identique à la colonisation grecque et à la progressive hellénisation méridionale, le Salento grec est un espace géographique comprenant actuellement les Communes de Calimera, Castrignano dei Greci, Corigliano, d’Otrante, Martano, Martignano, Melpignano, Soleto, Sternatia, et Zollino, dans le coeur du Salento oriental, où persistent les empreintes de la civilisation greco-byzantine et est encore vivant [b]le “griko”, idiome incroyablement proche du grec moderne[/b].

L’enclave de la Grêce, que l’on peut atteindre facilement en voiture à partir de Lecce, d’Otrante, de Gallipoli et de Santa Maria di Leuca.

[b]“Nous sommes grecs, et cela fait notre fierté”,[/b] écrivait le Galatée, et à juste raison.

Et le démontrent les légendes que veulent presque tous ces pays, miraculeusement sauvées des ouragans et des typhons, habituellement à cause d’intercession des saints orientaux, La Grèce du Salento est encore aujourd’hui riche en exceptionnelles empreintes historiques et artistiques, qui planent au dessus des menhirs, des dolmens et des “specchie” (la célèbre “specchia” dei mori, à Martano), de la “pietra forata” ou “pietra della fertilità” de Calimera, dans l’église de San Vito, qui dans la symbologie de la purification et de la renaissance rappelle des rites propitiatoires analogues à ceux pratiqués par les grecs, les voisins d’en face; des hiératiques et des magnifiques icônes des cénobies basiliens aux cryptes (celle de San Biagio à Calimera, se lève dans le parc homonyme naturalistico-archéologique; celle de San’Onofrio à Castrignano dei Greci remonte au VI siècle de l’ère chrétienne, alors que le San Sébastien de la crypte, homonyme de Sternatia, remonte à 1100), aux centres monastiques, aux châteaux (remarquable celui de Corigliano d’Otrante, du XV siècle et la forteresse Granafei de Sternatia), aux églises (imposants le complexe baroque conventuel des Agustains à Melpignano, le clôcher de Sternatia et les aiguilles gothiques de Soleto et aussi splendides les fresques, toujours à Soleto, de l’église du XV de Santo Stefano, la paroisse dédicacée à l’Assunta, à Martano), aux bâtiments gentilices de Martano, de Corigliano, d’Otranto, de Calimera et de Martignano, jusqu’aux caractéristiques “pozzelle” de Castrignano dei Greci, de Soleto et de Zollino, archaïque artifice hypogée pour la conservation des eaux pluviales.

Si un élément met en commun tous ces pays, c’est la survie, ou la mémoire, du rite grec, ici très diffusé jusqu’au XVII siècle, et de la parole grecque, racines qui s’innervent dans la toponomastique locale, et avec la même originalité des architectures (les cours plurifamiliales, par exemple, d’un blanc éblouissant, les balcons, les décorations à losanges), des us et coutumes qui rendent cette aire unique au monde et comme telle, qui mérite l’ attention de la part des touristes à la recherche de culture.

http://www.pugliaturismo.it/aptlecce/fr…

Plusieurs site de la GRECIA SELENTINA

le premier site est aussi en francais

http://www.grecia-gr.org/grecia_salent…

http://www.salentomio.it/Storia.asp?lan…

http://www.salentogriko.info/

http://www.greciasalentina.org/

http://www.grikamilume.com/

Musique

http://metanastis.blogspot.com/2007/10/…

http://www.youtube.com/watch?v=BSxkq4nE…

Sur wiki

http://fr.wikipedia.org/wiki/Grico

La pizzica

http://www.tarantarac.com/index.php?opt…

un blog interessant

http://www.geocities.com/Athens/Cyprus/…

Quelques videos

Les Pouilles : une fenêtre sur l'Orient,ou on decouvre que les reliques de St Nicolas sont presente,ou il y a pelrinage d orthodoxes pour y prier,les russes depuis le renouveau de l orthodoxie s y deplacent en masse

http://www.youtube.com/watch?v=f43VjGFu…

Et l emission de Ellinon dromena Kalos irthate sti Grecia Salentina en grec en deux parties

http://video.google.com/videoplay?docid…

http://video.google.com/videoplay?docid…

Un des grecs de Selentina a repondu au journaliste si il etait grec,il lui a repondu qu ils sont les grecs,c est tout dire

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alex

Entre renaissance culturelle et persistance de la question méridionale : le cas de l’essor touristique du Salento contemporain (Italie)

Par Elina Caroli

La Grecìa salentine est aujourd’hui une union de onze communes de la province de Lecce, l’équivalent d’une communauté de communes française. Ces communes se situent toutes entre les villes de Lecce, Otrante et Gallipoli qui sont trois des pôles classiques du tourisme salentin. La Grecìa se trouve, comme les pancartes de promotion touristique l’affirment, « au coeur du Salento » et pourtant aucun de ces villages n’est trop éloigné de la mer. Ceci a certainement aidé la Grecìa à prendre son essor, mais depuis l’élément culturel l’a emporté.

L’union a vu le jour en 2001. En avril 1996 et au printemps 1998 il y avait déjà eu la création d’une association et ensuite d’un consortium : il s’agissait des premiers pas d’un volontarisme politique, partagé par les maires des neuf premières communes de la Grecìa, qui misait, comme l’affirmait à l’époque le président de l’union, sur « la seule matière première dont dispose la région, pour un développement social, culturel, civil mais aussi économique » (Manera, 2001 : 108). En fait, la Grecìa, en tant que réalité institutionnelle nouvelle, a été créée à partir de l’élément distinctif de son alloglossie, à savoir l’hellénophonie de ses habitants, mise en avant dans le but de marquer une différence par rapport au reste de la région.

Si depuis 1999, les gens de la Grecìa bénéficient du statut de « minorité linguistique historique » de l’État italien (d’après la loi 482/99), les élites locales ont su s’approprier également une tradition plus large, celle du tarentisme, rendue célèbre notamment par la fameuse étude d’Ernesto de Martino (1966), et l’associer presque univoquement à leur territoire. Depuis 1998 a lieu dans la Grecìa et des communes limitrophes le festival itinérant La Notte della Taranta (la Nuit de la Tarentule) qui dure environ deux semaines et s’achève avec un grand concert à Melpignano. Les chiffres officiels parlent de cent cinquante mille spectateurs lors du concert final de l’édition 2008 , ce qui est énorme si l’on considère que Melpignano a un peu plus de deux mille habitants et que la population de la Grecìa n’atteint même pas les cinquante-cinq mille unités .

Le griko est d’ailleurs devenu très rentable, notamment grâce à la loi nationale pour la sauvegarde des minorités linguistiques historiques (1999) mais aussi grâce aux programmes d’initiative européenne de coopération transfrontalière tels que l’INTERREG entre l’Italie et la Grèce, dont des mesures concernaient directement la Grecìa. La portée de sa rentabilité se mesure non seulement aux financements mais aussi à l’attrait spécifique que la distinction construite sur l’alloglossie produit sur le marché touristique. Il en va de même pour la pizzica, objet d’un véritable engouement qui se déterritorialise et ne connaît plus de limites temporelles : son succès n’est plus simplement celui des concerts et des fêtes foraines de l’été salentin mais aussi celui de cours, manifestations, concerts, voire pratiques thérapeutiques qui se répandent en Italie et à l’étranger.

Deux extrait de cet article fort interessant de la revue de sciences humaines du site

http://www.revue-articulo.eu/index.php?…

On decouvre que la presence des italogrecs des pouilles engendre par la presence du Griko et de leur culture musical de la pizzica un boum touristique qui depasse meme le cadre des frontieres de l Italie et qui fait profiter tout le Salento

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dim 15/02/2009 - 00:36 Permalien

Propos tenus en 2004 par Brizio Montinaro, de Calimera, au cœur de la zone grica, vivant à Rome depuis longtemps, acteur, mais aussi spécialiste reconnu de traditions populaires et d’anthropologie culturelle, auteur de livres sur la question et réalisateur d’importantes cassettes de collectage (les 3 cd Musiche e canti popolari del Salento

Les propos de Brizio Montinaro sont empreints d’un grand dédain et même, peut-on dire, de mépris vis-à-vis de l’introduction du grico à l’école publique depuis les années 70 et des initiatives en général en faveur de cettelangue. A ses yeux, le grico est irrémédiablement condamné, alors même que le chercheur revendique haut et fort son identité grica et poursuit ses travaux de collectage. A la question : « Peut-on récupérer l’usage de cette langue en l’enseignant à l’école ? »

il répond catégoriquement :

« Non. Je le nie. La langue grica ne sera jamais plus parlée. Une langue vit tant qu’elle est nécessaire, quand elle n’est plus nécessaire pour exprimer des concepts modernes, elle meurt. Un grand nombre de langues meurent chaque jour, et le grico mourra. Il y a une étude intéressante de l’Unesco à ce sujet. Nous ne savons pas faire en grico un discours égal à celui que nous faisons en italien. En grico nous pouvons seulement exprimer des choses quotidiennes : « Comment ça va ? », « Où vas-tu ? », demander ce que « la mamma » a préparé à manger, parler d’amour et faire un peu de calcul – parce que les nombres restent toujours identiques à ceux des grecs classiques, jusque dans la prononciation – mais si je dois faire un discours sur ce que je pense de la situation politique en Italie, si je dois parler de littérature, de cinéma ou d’autre chose, je ne peux pas le faire en grico, ou alors en réduisant à l’extrême le sens de ce que je veux dire. Donc, tout naturellement, j’utilise la langue italienne. Si je pouvais exprimer tout ce qui me passe par la tête, le grico ne mourrait pas. Comme c’est impossible, le grico mourra, parce qu’il ne sert plus.

Tout ce qui se passe autour du grico aujourd’hui me paraît à peu près du même ordre que ce qui se passe autour du lit d’un mort. Mais je préfère ne pas parler de ça. Tu me questionnais sur l’école. A parler franchement, le grico que l’on enseigne à l’école est inutile : d’abord parce que l’on enseigne seulement deux ou trois poésies et presque rien d’autre, ensuite parce que les enfants, une fois sortis de l’école, recommencent à parler l’italien appauvri qu’ils apprennent en restant des heures devant la télévision. Nous ne pouvons retrouver la vie passée. Nous irions contre l’histoire. Nous devons nous souvenir de nos racines, cela, oui. Nous devons nous rappeler d’où nous venons et qui nous sommes. “Imesta grichi” : nous sommes grichi. Nous devons étudier et par là même reconstruire le plus possible notre passé afin de mieux projeter notre futur. Tout le reste n’a pas de sens. C’est seulement de la poudre aux yeux. Crois-moi. » La seule chose réconfortante pour l’occitan, dans ces propos funèbres sur le grico, est la preuve par les faits que nous pouvons parler de tout, y compris de politique, de cinéma, et même de littérature (!), en le faisant ici même, dans la Setmana, etc. avec, du moins on l’espère, toute la précision requise. Il est vrai, que c’est notre seul gage de résistance effective : parlar de tot, e mai de nucleari e de ip-op ! Refuser autrement dit le lieu commun meurtrier de la diglossie invétérée (pour les grechi du Salentino, il faudrait parler d’ailleurs de triglossie, du fait de l’omniprésence du « dialecte » roman circonvoisin) selon lequel on ne peut demander à la langue subalterne (dont le statut même de langue fait justement problème) que ce qu’elle peut offrir : l’expression des travaux et des jours. Or les travaux ne sont plus ce qu’ils étaient et les jours ont changé, donc… On ne dirait bien sûr jamais cela de la langue dominante, capable, par essence, d’adaptation, de modernité, de littérature, etc.

http://taban.canalblog.com/archives/200…

Le site personnel de Brizio Montinaro

http://www.briziomontinaro.it/canti_di_…

http://www.briziomontinaro.it/?q=prevoi…

Propos realistes ou fataliste de cet artiste ,ou bien victime lui aussi d une assimilation ,qui fut sa force pour reussir une carriere en Italie comme acteur et ecrivain

En tout cas il a jouer plusieurs role de grec et il a tourne avec des realisateur grecs,et ses livres parlent plus souvent de tout sujet qui le relie sa langue Grico

J ai l impression que ces propos sont pour conjurer le sort funeste que le grico avait depuis de longue decennie et aurait pu le mettre definitivement comme une langue disparu ou completement en voie de disparition

En Grece si on veut pas qu un tiers nous donne le mauvais oeil qui pourrait declarer une calamite personnel ,on declare par nous meme une situation catastrophique pour conjurer le sort

To mati est une croyance paienne encore bien presente en Grece,certaine personne [les femmes en majoritee] y croit tellement qu il demande a une conaissance de les soulager du matiasma

En Grece on dit aussi lorsque un tiers ou une conaissance fait un une flattertie ,une calamite ou un ragard fixe de dire Ftiston pour conjurer le mauvais oeil

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dim 15/02/2009 - 02:06 Permalien
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alex

En mars 2008,ministre adjoint des Affaires étrangères, M. Kassimis avait fait une Tournée en Italie du Sud dans la region de la Calabria Grecia

La tournée du ministre adjoint des Affaires étrangères, M. Kassimis dans les villages de l’Italie du Sud s’est achevée. Il s’agit de la première visite d’un haut fonctionnaire du gouvernement grec dans la région. Cette tournée a inclus des visites dans les municipalités hellénophones où le ministre adjoint a eu des rencontres avec les maires et les représentants d’associations. Il a également visité les écoles où est enseigné le grec moderne ainsi que l’Institut d’études hellénophones (IRSSEC) à Bova Marina où une plaque commémorative a été dévoilée à la mémoire de sa visite.

[img]http://www.mfa.gr/NR/rdonlyres/931A1736…]

Une étape importante de la tournée de M. Kassimis a été la visite au monastère orthodoxe grec de Saint Jean le Moissonneur, à Bivogni où il a été reçu par l’Archevêque Antonio Scorvino et l’Archimandrite Evangelos Ifantidis, vicaire général du Saint Evêché d’Italie. M. Kassimis a également eu des contacts avec des représentants des communautés grecques tant à Calabre (Reggio, Messène, Palerme) que dans la région des Pouilles (Bari, Brindisi, Foggia).

A la dernière étape de sa tournée, à Coriliano dans la région des Pouilles, M. Kassimis a fait la déclaration suivante :

« Je suis très heureux et ému de me trouver ici, en Grande Grèce. Chaque Grec éprouverait les mêmes sentiments. A Calabre et dans la région des Pouilles, on constate que la langue de notre pays, comme le disent les habitants, reste vivante depuis des siècles et passe de génération en génération sans être enseignée. Et il est important, bien entendu, que les dernières années une aide soit offerte à ces personnes désireuses d’apprendre leur dialecte, le Greco. J’aimerais remercier au nom du gouvernement grec le gouvernement italien pour ses efforts en faveur de la conservation des dialectes de ces régions. Par ailleurs, le gouvernement grec intensifie ces efforts à travers le détachement du personnel enseignant et l’enregistrement de cette langue ».

Répondant à une question de journaliste au sujet de l’importance de cette visite, M. Kassimis a souligné :

« Il est très important de renforcer les efforts dans le domaine de l’éducation dans les régions de Calabre et des Pouilles de sorte que la langue puisse être enrichie. Une langue qui sera menacée d’extinction si elle n’est pas enrichie de nouveaux mots. Ceux qui utilisent cette langue, veulent emprunter des mots à la langue grecque, leur langue d’origine. Cette aide est offerte à travers l’enseignement du grec moderne, le renforcement des relations avec les municipalités et les régions grecques ainsi que la réalisation des programmes culturels communs.

Pour notre part, le ministère des Affaires étrangères par l’intermédiaire du Secrétariat général des Grecs de l’étranger accorde une grande importance aux programmes d’échange à travers des visites échangées entre la Grèce et l’Italie du Sud.

http://www.mfa.gr/www.mfa.gr/Articles/f…

La carte des hellenophones d italie datant de 1933

[img]http://www.greek-language.gr/greekLang/…]

Vous pouvez la zoomer sur ce lien

http://www.greek-language.gr/greekLang/…

La visite a ete filme et le reportage est tres fort interessant en 8 parties sur Youtube

1 Partie

http://www.youtube.com/watch?v=dsjBQw7P…

2 Partie

http://www.youtube.com/watch?v=r9db1IHU…

3 Partie

http://www.youtube.com/watch?v=UG-Igrzh…

4 Partie

http://www.youtube.com/watch?v=_DwauXY4…

5 partie

http://www.youtube.com/watch?v=l15YXf4a…

6 partie

http://www.youtube.com/watch?v=mkrWMKFr…

7 partie

http://www.youtube.com/watch?v=I_atZH23…

8 partie

http://www.youtube.com/watch?v=U1bLvlVg…

Le site de l Eglise orthodoxe grecque en Italie

http://www.ortodossia.it/PARROCCHIE.gr…

Les grecs furent tres present dans le sud de l Italie et cela depuis l antiquite,ils l avaient appelle a l epoque la Grande Grece

Magna Grecia

http://www.youtube.com/watch?v=ZDFXqCgO…

Si je trouve assez de sujet sur Le catépanat d'Italie et de l'exarchat de Ravenne et de l histoire des papes grecs de Rome avant Saint Léon III c est lui qui couronna Charlemagne Empereur et apres lui il n y eu plus de pape d origine grecque

Il y eut douze Papes grecs:
Evariste (97-105);
Télesphore (125-136);
Hygin (136-140);
Eleuthère (175-189);
Anthère (235-236);
Sixte II (257-258);
Eusèbe (309);
Zozime (417-418);
Théodore I (642-649);
Jean VI (701-705);
Jean VII (705-707);
Zacharie (741-752).

De Syrie sont venus six Papes:
Anicet (155-166);
Jean V (685-686);
Serge I (687-701);
Sisinnius (708);
Constantin (708-715);
Grégoire III (713-741).

L'Afrique a donné trois. Papes:
Victor I (189-199);
Melchiade (311-314)
Gelase I (492-496).

De Dalmatie sont venus deux Papes:
Gaius (283-296)
Jean IV (640-642)
L'Espagne, un Pape

Damase (366-384)

Les trois d Afrique viennent du patriarcat d Alexandrie comme la majorite des Syriaque issus du patriarcat d Antioche,la Dalmatie et l Espagne a ces epoques etaient sous l empire byzantin donc ils etaient tous Orthodoxes,le Pape lui meme etait chretiens orthodoxes,Catholique en grec ne veut dire que universelle

L histoire des papes de rome et du vatican est tres peu relate avant le couronnement de Charlemagne par Leon III

On oublie de dire ,l Eglise catholique oublie de dire que jusque a ce courronement Rome etait vassale de Byzance et le Pape etait sujet de l empereur Byzantin

Car a partir de l an mille et pendant cette epoque ou l orthodoxie et le catholicisme romperent definitivement les liens de la Pentarchie ,il y a eu des Papes non italiens qui se sont succédé

Grégoire V (996-999):saxe
Sylvestre II (999-1003): Auvergne;
Clément II (1046-1047): Saxe;
Damase II (1048): Bavière;
Léon IX (1049-1054): Alsace;
Victor II (1055-1057): Allemagne;
Etienne IX (1057-1058): Lorraine;
Nicolas II (1059-1061): Bourgogne;
Urbain II (1088-1099): France;
Calixte II (1119-1124): Bourgogne;
Adrien IV (1154-1159): Anglais;
Urbain IV (1261-1264): France;
Innocent V (1276): Savoie;
Jean XXI (1276-1277): Portugal;
Martin IV (1281-1285): France;
Clément V (1305-1314): France;
Jean XXII (1316-1334): France;
Benoît XII (1334-1342): France;
Clément VI (1342-1352): France;
Innocent VI (1352-1362): France;
Urbain V (1362-1370): France;
Grégoire IX (1370-1378): France;
Alexandre VI (1492-1503): Espagne;
Adrien VI (1522-1523): Pays-Bas
Jean Paul II (1978-2005): Pologne

Cette liste vient de ce site

http://www.ordre-du-saint-sepulcre.org/…

Des que j aurais assez d archives j essayerais de faire un sujet sur ce theme fort interessant

Ta leme

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dim 15/02/2009 - 02:36 Permalien