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Roumanie-Grece ,des destins qui s entrecroisent

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Submitted by alex on

Chose promise ,chose due

C est une speciale pour nos amis roumains et roumaines,dedicace particulierement a Sabin et Claudia

Pour faire une sujet sur La Roumanie et ses liens avec la Grece est chose vaste,vu les nombreuses interactions qu ont connues nos peuples a travers les ages et les apports qu ont donne reciproquement l un a l autre

Je vais essayer d etre a la hauteur

La civilisation Daco-Getes

Les roumains sont les descendants des Daces en latin ou getes en grec

[img]http://remacle.org/bloodwolf/textes/dac…]

Au cours de l’age du bronze (des la moitie du IIIe millenaire) et ensuite de l’age du fer (des le XIeme siecle av. J.-C.) on constate dans l’espace carpato-danubien, la presence des Thraces, peuple indo-europeen, qu’Herodote estime les plus nombreux apres les Indiens.

Les Thraces nord-danubiens se divisaient en Daces (en Transylvanie) et Getes (en Valachie et Moldavie).

Pendant le Ier millenaire ont penetre dans le meme espace les Scythes, venus du Nord de la Mer Noire, les Celtes (venus de l’Ouest des la fin du IVe siecle) et les Basternes, peuples germaniques venus en Moldavie. Toutefois, les Daco-Getes resterent majoritaires et assimilerent en bonne mesure les autres populations.

En 514 av. J.-C. une expedition de Darius a touche les contrees du Danube et en 335 av. J.-C. c’est Alexandre le Grand qui a fait une demonstration de force sur la rive gauche du Danube.

Quelques decennies plus tard, le diadoque Lysimaque essaya de soumettre les territoires des Getes, mais il fut vaincu par le roi gete Dromichaites.

Des les VIIe et VIe siecles les Grecs etablirent des colonies sur le littoral de l’Ouest de la Mer Noire - Histria, Tomis, Callatis - et developperent des rapports economiques, politiques et evidemment militaires avec les chefs getes de la zone.

Au cours des IIe et Ier siecles av. J.-C. et du Ier siecle apres J.-C., la civilisation geto-dace connut son epanouissement.

Les constructions concentrees surtout au sud de la Transylvanie – de puissantes fortifications et un sanctuaire, dans la zone Gradistea Muncelului - temoignent du niveau atteint par cette civilisation.

Les Geto-Daces ont connu deux moments importants d’affirmation, celle du roi Burebista et celle du roi Decebale.

Burebista (82-44 av.J.-C.) a reussi a unifier toutes les formations politiques des Getes et des Daces, creant une formation etatique qui s'etendait au-dela de l’espace dace, jusqu’a Olbia sur le littoral de la Mer Noire.

Apres la disparition de Burebista, les Daco-Getes se diviserent a nouveau.

Au cours des dernieres decennies du Ier siecle apres J.-C., l’Etat dace fut reconstitue par les menees energiques du roi Decebale.

Les Daces avaient atteint un tres haut niveau de civilisation quand les Romains apprirent leur existence. Ils croyaient en l’immortalite de l’ame, et consideraient la mort a peu pres comme un changement de pays. Leur grand pretre occupait une position eminente en tant que representant du dieu supreme, Zamolxis, sur Terre ; il etait le conseiller en chef du roi. En plus de Zalmoxis, les Daces veneraient plusieurs dieux, comme Gebeleizis et Bendis.

Ils etaient divises en deux classes : une aristocratie (tarabostes) et un proletariat (comati). Seuls les aristocrates avaient le droit de se couvrir la tete et portaient un chapeau de feutre (ainsi tarabostesei = pileati) ; ils formaient une classe privilegiee, et on suppose qu’ils sont les predecesseurs des boyars roumains. Les hommes de la seconde classe, qui comprenait l’armee, les paysans et les artisans, portaient les cheveux longs (capillati).

Ils vivaient originellement dans des huttes de bois regroupees en villages entoures par une palissade, mais, a une epoque tardive, avec l’aide d’architectes romains, ils se construisirent des forteresses et des tours coniques en pierre.

Leurs principales activites etaient l’agriculture et l’elevage ; les chevaux etaient surtout utilises comme animaux de trait. Ils exploitaient egalement les mines d’or et d’argent de Transylvanie. Le commerce exterieur etait considerable, vu le nombre de monnaies etrangeres trouvees dans le pays.

Les escarmouches avec les Romains se transformerent en guerres pendant le regne de l’empereur Domitien.

L’expedition de 87 dirigee par Cornelius Fuscus fut pour les Romains un desastre.

Un royaume de Dacie existait au moins depuis le debut du IIe siecle av. J.-C., gouverne par le roi Oroles. Des conflits, avec les Bastarnae et les Romains (de 112 a 109 av. J.-C. et en 74 av. J.-C.) contre lesquels ils avaient pretes main-forte aux Scordisci et Dardani, ont considerablement reduit les ressources des Daces.

Sous Burebista, un contemporain de Cesar qui a reorganise efficacement l’armee et raffermi le moral du peuple, le royaume atteignit son expansion maximale ; les Bastarnae et les Boii furent conquis, et meme des villes grecques (Olbia, Apollonia sur le Pont-Euxin) tomberent entre leurs mains. En fait, les Daces paraissaient si menacants que Cesar projetait de mener une expedition contre eux, et en fut empeche par sa mort.

Vers la meme epoque Burebista fut egalement assassine, et le royaume divise en quatre (ou cinq) parties, chacune sous l’autorite d’un dirigeant independant. L’un d’eux etait Cotiso, dont on dit qu’Auguste voulait epouser la fille et qu’il le fianca a sa propre fille de 5 ans, Julia.

Cotiso apparait dans Horace (« Occidit Daci Cotisonis agmen », Odes, III. 8. 18) - qui, puisque l’ode fut ecrite le 1er mars 29, fait probablement reference a la campagne de Marcus Crassus (30 av. J.-C.-28 av. J.-C.), plutot que celle de Cornelius Lentulus, qui n’etait pas consul avant 18 av. J.-C..

Les Daces faisaient souvent parler d’eux sous Auguste, selon qui ils avaient fini par reconnaitre la suprematie de Rome. Mais ils n’etaient pas soumis pour autant, et plus tard saisirent toutes les opportunites de franchir le Danube gele pour ravager la province de Mesie

C’est ainsi qu’en 89 une paix fut conclue qui favorisait en bonne mesure les Daces. Leur roi devenait "client de l’Empire romain" et recevait d’importants subsides, ainsi que des conseillers militaires et des machines de guerre.

En revanche, l’annee suivante, son successeur, Tettius Iulianus, reussit a vaincre les Daces du roi Decebale, mais en essuyant des pertes tres graves.

La conquete romaineDe 85 a 89 apres J.-C., les Daces connurent deux guerres avec les Romains, sous Duras ou Diurpaneus, et sous le grand Decebale. Apres deux grave revers, les Romains, sous Tettius Iullianus, prirent l’avantage, mais furent obliges de faire la paix apres la defaite de Domitien par les Marcomans. Decebale restitua les armes qu’il avait prises et une partie des prisonniers. Mais en realite les Daces restaient independants, comme le montre le fait que Domitien accepta d’acheter la paix en payant un tribut annuel.

Pour mettre fin a cet arrangement humiliant, Trajan resolut de briser les Daces une fois pour toutes. Le resultat de sa premiere campagne (101 - 102) fut le siege de la capitale dace Sarmizegetusa, et l’occupation d’une partie du pays. La seconde (105 -106) se termina par le suicide de Decebale, la conquete du royaume entier et sa transformation en province romaine. L’histoire de cette guerre est donnee dans Dion Cassius, mais le meilleur temoignage est la celebre colonne Trajane a Rome.

La domination romaineLa province etait limitee par la Transylvanie et l’Oltenia. Elle etait sous l’autorite d’un gouverneur de rang pretorien. La Legion XIII Gemina, avec de nombreux auxiliaires, avait ses quartiers dans la province. Pour remedier aux ravages causees par les guerres recentes, des colons furent installes pour cultiver la terre et exploiter les mines, et les premiers habitants revinrent peu a peu. Des forts furent construits pour proteger des incursions des peuples barbares environnants, et trois grandes routes militaires furent construites pour unir les principales villes, tandis qu’une quatrieme, nommee en hommage a Trajan, traversait les Carpathes et penetrait en Transylvanie par le col Rotetum. Les principales villes de la province etaient Colonia Ulpia Traiana Sarmizegetusa (aujourd’hui dans le comte d’Hunedoara, en Roumanie), Apulum (Alba-Iulia, comte d’Alba), Napoca (Cluj-Napoca, Cluj), et Potaissa (Turda, Cluj). Avec la religion, les Daces adopterent egalement la langue de leurs conquerants : le roumain moderne faisant partie des langues romanes.

En 129, sous Hadrien, la Dacie fut partagee en Dacie Superieure et Dacie Inferieure, la premiere comprenant la Transylvanie, la seconde la petite Valachie ou Oltenia. Marc-Aurele la redivisa en trois (tres Daci?) : Porolissensis, d’apres la ville Porolissum (pres de Moigrad, comte de Salaj), Apulensis d’apres Apulum et Malvensis d’apres Malva (site inconnu). Les tres Daci? formait un tout dans la mesure ou elles avaient une capitale commune, Ulpia Traiana Sarmizegetusa, et une assemblee commune, qui discutait des affaires provinciales, formulait des reclamations et repartissait le fardeau des taxes ; mais sous d’autres aspects elles etaient des provinces pratiquement independantes les unes des autres, chacune commandee par un procurateur ordinaire, subordonne a un gouverneur de rang consulaire.

Les Romains se retirentLa mainmise romaine sur le pays restait cependant precaire. En fait, on dit qu’Hadrien, conscient des difficultes pour le garder, avait envisage son abandon, et n’y avait renonce que pour preserver la securite des nombreux colons romains. Sous Gallien (256), les Goths traverserent les Carpathes et chasserent les Romains de Dacie, a l’exception de quelques places fortes entre le fleuve Timis et le Danube. Aucun detail de l’evenement n’est connu, mais le principal argument qui corrobore l’affirmation de Ruffius Festus : « sous l’empereur Gallien la Dacie fut perdue » est l’arret brutal des inscriptions romaines et des monnaies dans le pays apres 256. Aurelien (270-275) retira toutes les troupes et installa les colons romains au sud du Danube, en Mesie, ou il crea la province de Dacie Aurelienne. Celle-ci fut ensuite divisee en Dacie Ripuaire sur le Danube, avec pour capitale Ratiaria (Arcar en Bosnie-Herzegovine), et Dacie Mediterraneenne, avec pour capitale Sardica, (Sofia, la capitale de la Bulgarie), cette derniere a nouveau subdivisee en Dardania et Dacie Mediterraneenne.

Strabon parle des daco-getes dans son livre VII, chapitre III

Et sans plus insister sur l'histoire ancienne des Getes, je passe aux evenements contemporains. Un Gete, nomme Byrebistas, devenu parmi les siens chef supreme ou epistate, entreprit de reparer les maux qu'avaient causes a la nation ses guerres continuelles ; il y reussit et la releva si bien par le travail, la sobriete et la discipline, qu'en peu d'annees il eut fonde un grand empire et soumis aux Getes la plupart des nations voisines.

Deja meme les Romains commencaient a s'inquieter, l'ayant vu franchir audacieusement l'Ister, pousser ses courses, par dela la Thrace, jusqu'a la Macedoine et a l'Illyrie, ruiner toutes les tribus celtiques qui vivent melees aux Illyriens et aux Thraces et exterminer, qui plus est, les Boiens de Critasir et la nation des Taurisques.

Pour mieux se faire obeir des Getes, Byrebistas s'etait aide de Decenaeus, espece de charlatan, qui avait longtemps voyage en Egypte et y avait acquis la connaissance de certains signes, a l'aide desquels il annoncait les volontes divines. Depuis quelque temps deja, les Getes lui avaient confere ce titre de Dieu, dont il a ete question plus haut a propos de Zamolxis ; et, ce qui prouve l'ascendant qu'il exercait sur eux, c'est qu'ils s'etaient laisse persuader par lui de couper leurs vignes et de renoncer a l'usage du vin.

Les Romains cependant n'eurent pas le temps d'expedier une armee contre Byrebistas, il perit auparavant sous les coups de quelques factieux, et, sa succession ayant ete demembree, les Getes furent desormais partages entre plusieurs chefs.

C'est ainsi que l'expedition que Cesar Auguste vient d'envoyer contre eux les a trouves divises en cinq Etats.

Ils n'en avaient forme que quatre a la mort de Byrebistas, mais en sait que ces sortes de partages sont essentiellement temporaires et varient au gre des circonstances.

http://remacle.org/bloodwolf/textes/get…

Aller voir se site en anglais et en roumain tres tres complet sur la civilisation des Daces-getes

http://www.geocities.com/cogaionon/daci…

Pour lire ou downloader le Texte integralle de Strabon sur les daco-getes que vous pouver downloader sous format PDF

http://books.google.gr/books?id=BsZ1xU7…

Avec ce bouquin d un des plus grand historien de l antiquite vous avez en main des sources des plus sur

Vous verrez des articles fort interessant, des sites archeologique et des photos sur ce lien

http://www.geocities.com/cogaionon/pict…

et le site sur les forteresse daciennes du musee roumain des civilisations daces

http://museum.worldwidesam.net/en/sarmi…

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GRECS EMINENTS DE ROUMANIE AU XIXe SIECLE
EVANGELIA N. GEORGITSOYANNI
(Athenes)

La Roumanie fut un des lieux preferes de la Diaspora grecque au XIXe siecle.
Beaucoup de Grecs y emigrerent, attires par les grandes opportunites financieres
offertes surtout apres le Traite d’Andrinople (1829) entre les Russes et les Turcs.

La plupart de Grecs de Roumanie s’occupaient de commerce, surtout de celui des
cereales et du bois, de flotte marchande et de l’affermage de grands domaines. Il y
avait aussi des Grecs industriels, medecins, editeurs, journalistes, employes,
imprimeurs, hommes de lettres et artistes.

Ils creerent des communautes
florissantes, tres bien organisees, qui possedaient leurs propres ecoles et eglises.
Les plus importantes etaient celles de Braila, Galati, Bucarest, Giurgiu, Constanta,
Sulina et Tulcea.

Les Grecs de Roumanie avaient, en general, de bonnes relations
avec les Roumains et ont considerablement contribue a la vie financiere et
culturelle du pays.

Parmi les Grecs de Roumanie on compte des personnalites
importantes qui ont joue un role considerable a leur epoque1.

Le present article traite de certains Grecs de Roumanie, qui sont des cas typiques
de personnages remarquables de leur temps. Il s’agit, plus particulierement, de Nicolas
Chryssovelonis et Christofis Zerlendis, banquiers, de Panaghis Harokopos, commercant
et s’occupant d’affermage de grands domaines, des freres Xenocratis, commercants et
proprietaires terriens, ainsi que de leur neveu le docteur Georges Kyriazis.
1 Sur l’Hellenisme de Roumanie au XIXe siecle, voir: C.Papacostea-Danielopolu La vie
culturelle de la communaute grecque de Bucarest dans la seconde moitie du XIXe siecle, «Revue des
Etudes Sud-Est Europeennes», VII/2 (1969), pp. 311–333. Idem,

La vie culturelle des communautes
grecques de Roumanie dans la seconde moitie du XIXe siecle, «Revue des Etudes Sud-Est
Europeennes», VII/3 (1969), pp. 475–493; Idem,
Comunitatile Grecesti din Romania in secolul al
XIX-lea [Communautes grecques de Roumanie au XIXe siecle], Omonia, Bucarest 1996; H. Belia,
L’Hellenisme de Roumanie pendant la periode 1835–1878, «Bulletin de la Societe Historique et
Ethnologique de Grece», 26 (1983), pp. 6–62 (en grec); D. Deliyannis, Roumanie-Hellenisme-Art-
Orthodoxie, Adam, Athenes, 1995 (en grec); O. Cicanci, Presa de Limba Greaca din Romania in
veacul al XIX-lea [Presse de Langue Grecque en Roumanie au XIXe siecle], Omonia, Bucarest 1995;
E. Georgitsoyanni, Panaghis A. Harokopos (1835–1911). Sa vie et son oeuvre, Livanis, Athenes,
2000, pp. 42–84 (en grec, resume francais) [Traduction en roumain par Cristina Bacanu: Panaghis A.
Harokopos (1835–1911). Viata si activitatea, Sofia, Bucarest 2002].
Rev. Roum. d’Hist., XLIII, 1–4, p. 81–87, Bucarest, 2004

Venant de ce site

http://64.233.183.104/search?q=cache:Hh…

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ven 25/04/2008 - 02:19 Permalien
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alex

En réponse à par alex

La Roumanie moderne – pays pionnier dans l’exploitation industrielle du petrole

Le pays occupait a la fin du XIXe siecle la 3eplace en Europe (apres la Russie et l’Autriche Hongrie) et le 6edans le monde (les Etats-Unis, Russie, le Canada et les Indes Hollandaises le devancant encore).

Le petrole roumain a l’heure du moteur a combustion interne et des enjeux geopolitiques

Le XXe siecle apporte d’autres transformations avec l’invention du moteur a combustion interne dont le principal effet etait une nouvelle attitude face a cette nouvelle ressource. C’est ainsi qu’on explique l’augmentation de l’interet des monopoles etrangers pour les terrains petroliers de Roumanie. En consequence, 91,9% du capital investi en 1914, avant la premiere guerre mondiale, etait etranger. L’interet geopolitique de cette ressource etait deja tres visible, notamment de la part des Pouvoirs Centraux, l’occupation de la Valachie en 1917 etant strategique. Pendant l’entre deux guerres, le capital roumain est favorise et regagne du terrain, jusqu’a 26,3% en 1936 dans les conditions d’une production en croissance qui assurait au pays le 4erang au monde (8,7 millions tonnes). L’origine du capital etranger s’est modifiee aussi, le capital autrichien et allemand faisant place au capital anglo-hollandais (40,2% au meme date). Cet interet etait nettement localise dans les Subcarpates de Prahova, les autres perimetres petroliers, connus depuis longtemps, etant souvent negliges.Avant 1944, seulement 2 departements (Prahova et Dambovita) cumulaient 98,6% de la production du petrole. Les departements de Bacau et Buzau avaient chacun un poids de 0,7% malgre l’ouverture de nouveaux puits d’extraction.Cette production etait en grande partie exportee, a de prix defavorables, seulement 22,5% etant consommee dans le pays. Pourtant, la region de Prahova a beaucoup beneficiee, une industrialisation complexe etant mise en route, ayant pour consequence une urbanisation rapide, favorisee aussi par la proximite de la capitale, en pleine expansion (celle-ci etait dans sa phase de croissance maximale) et par l’utilisation du potentiel touristique dans la haute vallee de la riviere homonyme, principale axe de penetration vers la Transylvanie integre en 1918

Le developpement de l’industrie petroliere roumaine pendant la premiere partie du XXe siecle a ete favorise par un cadre legislatif permissif. La loi des mines de 1895 fut revisee a plusieurs reprises (les Reglements d’application de 1895, 1900, 1910, 1913) stipulant d’une maniere explicite que le petrole n’etait pas le monopole de l’Etat. Entre 1895 et 1903, le capital etranger est limite mais apres 1903 et jusqu’a la premiere guerre mondiale la vitesse d’infusion de ce capital devient beaucoup plus grande. Les consequences seront immediates : augmentation de la capacite de raffinage, nouvelles technologies d’extraction, augmentation visible de la production.

Entre 1911-1920, le pays occupait la 2eplace en Europe (apres la Russie) et la 5eau monde (apres encore les Etats-Unis, le Mexique et les Indes Hollandaises).

La premiere guerre mondiale constitue un moment important de cette industrie, avec une forte tendance geopolitique. Par son industrie petroliere, la Roumanie assurait une partie importante des necessites specifiques de l’Allemagne. La sortie de la neutralite en 1916 et la decision de lutter contre les Pouvoirs Centraux ont determine l’Allemagne de concentrer ses efforts de guerre dans le but declare de maitriser ces ressources. L’autodestruction des capacites petrolieres operee selon la suggestion des allies n’a pas arrete l’interet allemand, une partie des capacites etant rapidement refaites et les investissements diriges vers les zones d’extraction les plus profitables. C’est ainsi surprenant que la production de petrole a la fin de la guerre enregistre une augmentation (en 1918 par rapport a 1917).

Affaiblie par la premiere guerre mondiale, l’industrie petroliere roumaine sera reconstruite y compris a l’aide des compensations de guerre. Cette reconstruction est relancee par une nouvelle loi des mines en 1924 et les principales raffineries (« Astra Romana » et « Romano-Americana ») vont produire a leur capacite maximale dans un contexte favorisant une croissance rapide de la production jusqu’a eriger la Roumanie dans la 4eposition au monde apres 1930

La loi des mines de 1924 etait dominee par l’importance accordee au petrole. Le capital autochtone serait favorise par rapport a d’autres reglementations anterieures. Malheureusement, une autre loi des mines (1929) change les articles en faveur du capital etranger, dans le contexte de la grande crise. La loi de 1924 limitait a 400 ha la concession des perimetres exploitables et la loi de 1929 a 1000 ha. Le gouvernement liberal va essayer de reintroduire les paragraphes qui favorisaient le capital roumain, en 1937. Cette instabilite legislative est aussi l’expression de l’incapacite du pays de maitriser l’exploitation de cette ressource dans l’absence d’une industrie d’equipement et d’outillage petrolier. L’effet de ces mesures s’est manifeste par une legere diminution de la production. L’ouverture vers le capital etranger etait ainsi essentielle pour avoir acces aux nouvelles technologies dans le domaine notamment en ce qui concerne les prospections et les forages etc. L’interet des grandes compagnies etrangeres de petrole s’est manifeste a l’epoque par l’achat des compagnies autochtones de sorte que la production etait controlee vers 1940 par le Royal Dutch-Shell Oil (par sa filiale « Steaua Romana ») et le Standard Oil (par ses deux filiales « Astra Romana » et « Societatea Romano-Americana »). Cette participation du capital etranger peut expliquer la hausse de la production pendant la crise economique de 1929-1932 et le poids important dans l’exportation mondiale de petrole (12 % du total en 1935, la 3eplace mondiale, voir aussi figure 7). Ceci demontre l’importance vitale de cette industrie pour la Roumanie de l’epoque, le petrole etant son principal atout. On peut affirmer meme que le mythe de la Roumanie de l’entre deux-guerres, sorte de paradis perdu, encore invoque de nos jours est a l’origine une illusion issue de la prosperite conjoncturelle induite par le succes petrolier dont le beneficiaire etait la bourgeoisie naissante du pays.

Le temps sombre de l’or noir roumain

La deuxieme guerre mondiale avait provoquee un effondrement de la production (3,5 millions tonnes en 1944) et des destructions massives, suite des bombardements successifs des armees allies et du Reich en retraite.Entre 1940 et 1944, le pays dut alimenter la machine de guerre de l’Axe avec des produits petroliers, les exploitations et les raffineries passant sous controle allemand. Les efforts de guerre de la Roumanie et les destructions produites dans ce domaine ont ete considerables. Les estimations parlent de 700.000.000 dolars americains (plus d’un tiers du PIB roumain de 1938). Dans cette somme ne sont pas comptabilisees les requisitions des biens faites par l’armee sovietique.

Les pourparlers de Yalta ont vise aussi le probleme de l’industrie petroliere roumaine mais malgre l’interet des britanniques aucune decision n’a ete prise et c’est l’Accord de Potsdam de juillet – aout 1945 qui donnera a l’Union Sovietique le droit de disposer de tout l’equipement petrolier de Roumanie appartenant aux compagnies etrangeres. La Convention d’Armistice de septembre 1944 stipule l’obligation de la Roumanie de payer des compensations de guerre. Doublee par la Convention sovieto -roumaine de janvier 1945cet armistice permettait aux Sovietiques, qui ne l’ont jamais respecte, de se comporter comme une armee d’occupation. L’industrie petroliere fut tres touchee par les requisitions de locomotives, citernes, vehicules diverses et meme installations ou outillages de raffinage, envoyees dans le paradis du bolchevisme.

Venant du site

http://fig-st-die.education.fr/actes/ac…

Quelques infos

http://www3.europole.u-nancy.fr/francai…

http://starbucker.wordpress.com/2007/09…

http://www.enviro2b.com/environnement-a…

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ven 25/04/2008 - 02:21 Permalien

Vers le XIIeme siecle, les Aroumains fonderent leurs propres etats dans la Grande Valachie (en Thessalie et dans le sud de la Macedoine) et la Petite Valachie (dans l'Etolia-Akarnania et au sud de l'Epire).

Ils etaient consideres en Grece comme des Grecs valacophones.
Jadis, des ecoles en langue Aroumaine furent ouvertes dans les regions Valaques de l'empire Ottoman, mais les familles les plus prosperes continuerent de favoriser l'instruction grecque pour leurs enfants et developper une attitude hellenophile.

Les Aroumains sont des chretiens orthodoxes et leurs services religieux sont encore aujourd'hui tenus en Grec.

Quand les premiers manuels d'Aroumain utilisant l'alphabet Latin apparurent au debut du XIXeme siecle, ils furent pratiquement ignores par les Aroumains parce qu'ils connaissaient mieux l'alphabet Grec.

Apres les guerres balkaniques de 1912-1913, les Aroumains se retrouverent partages entre quatre etats : l'Albanie, la Serbie, la Grece et la Bulgarie. Parmi ceux-ci, seule la Grece reconnut officiellement pendant quelque temps les Aroumains (ou Valaques en Grece) comme une minorite a la suite de la signature du traite de Bucarest (1913). Quelques ecoles ont meme ete accordees a la minorite Valaque, mais c'est la Roumanie qui les subventionnait. Apres la Seconde Guerre mondiale, la Roumanie communiste a cesse toute aide financiere aux communautes Valaques de Grece, car celles-ci etaient percues comme anti-Grecques par le gouvernement Grec

http://aleph2at.free.fr/index.html?http…

Les personnalites importante vlachoi qui ont servit la Grece

Rhigas Feraios [33] (1757-1798, precurseur du mouvement grec de l'independance),
Georgakis Olympios (1772-1821, membre de « Filiki Etaireia », combattu en revolution de 1821),
Theodoros et Alexis Grivas (1797-1862 et 1799-1855 respectivement, chefs des bandes armees des revolutionnaires) ;

Grand mecenes
,
Baron Georgios Sinas (1783-1856, baron hereditaire et cadre superieur de l'empire austro-hongrois, fondateur de l'academie d'Athenes),
Simon Sinas (1810-1876, banquier, magnat ferroviaire, baron de l'empire austro-hongrois, premier ambassadeur grec a Vienne),
Nikolaos Stournaris (1806-1853, fondateur de l'ecole polytechnique de Metsovio a Athenes),
Georgios Stavrou (1785-1869, co-fondateur et premier gouverneur de National Bank de la Grece) ;

Les politiciens et personnalites importantes

Ioannis Kolettis (1773-1847, ministre et premier ministre 1844-47),
Stergios Doumbas (1794-1870, banquier a Vienne),
Konstantinos Zappas (1814-1892, a offert le Zappeion Hall et les jardins environnants),
Georgios Averof (1818-1899, fondateur de l'academie militaire, restaurateur du stade de Panathenian),
Nikolaos Doumbas 1830-1900 (banquier),
Spyridon Lambros (1851-1919, historien et politicien),
Athinagoras I. (1886-1972, patriarche de 1948 a 1972),
Evangelos Averof Tositsas (1910-1990, ministre d'affaires etrangeres 1958-1963, ministre de la defense nationale 1974-1981).

[img]http://vlahos.xan.duth.gr/draseis/Adamo…]

Le site de la federation des vlachoi de Grece en Anglais et en Grec

http://vlahos.xan.duth.gr/covperiex.html

Les vlachoi ou aroumain de grece ont toujours participer a la vie politique et economique etc etc de la grece et se sont toujours senti partie integreante du peuple grec meme a l epoque du nazisme de l occupation allemande de la grece ou ils ont refuser qu on les differencient du reste du peuple hellenes

Leur presence en Grece est l ultime preuve des liens qui unissent le peuple roumain et grec a travers l Histoire

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ven 25/04/2008 - 02:26 Permalien
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alex

En réponse à par alex

L Importance pour la Grece l adhesion de la Roumanie dans l U.E et ses rellations commerciales

Athenes, le 8 janvier 2007

Il y a quelques jours, le processus d’adhesion de la Bulgarie et de la Roumanie a l’Union europeenne, demarre vers le milieu des annees 90, s’est acheve avec succes. Les deux pays, a l’issue de negociations intensives menees sur une periode de 4 ans et apres approbation du Parlement europeen (13 avril 2005), ont signe le Traite d’adhesion le 25 avril 2005 au Luxembourg.

Le Parlement hellenique a ratifie le traite en question le 2 novembre 2005 dans le cadre d’une reunion au Sommet de la Cooperation tripartite Grece-Bulgarie-Roumanie, une initiative de notre pays visant a donner un caractere solennel a cet evenement aussi important pour les trois pays. Les Presidents de la Republique des deux pays voisins, M. Gueorgui Parvanov (Bulgarie) et M. Traian Basescu (Roumanie) ont assiste a la reunion solennelle du parlement. La Grece a ete le 5eme pays parmi les 25 Etats membres et le 1er parmi les anciens membres a avoir ratifie le traite, ce qui souligne la contribution de la Grece mais aussi l’importance que nous attachons a la perspective europeenne de ces deux pays, tout comme a la region elargie des Balkans.

La Grece a contribue de facon determinante a l’adhesion des deux pays a tous les niveaux : au niveau technique, a travers le transfert de son savoir-faire dans les domaines en cours de negociation, par exemple les transports, la justice et l’administration publique. Mais la contribution la plus importante de notre pays a ete notre soutien en faveur des candidatures des deux pays. Les representants grecs, dans toutes les institutions communautaires, aussi bien a la Commission europeenne qu’au Conseil des ministres, ont soutenu les positions des deux pays de maniere tangible et constante et ont contribue a la prise de decisions afin de faciliter et d’accelerer le processus des negociations.

En plus de l’importance majeure que revet l’adhesion des deux voisins des Balkans du point de vue geopolitique –car c’est la premiere fois que deux pays de la peninsule balkanique sont incorpores a l’Europe, politiquement et economiquement- cette adhesion est tres importante pour notre pays.

Premierement, elle constitue la garantie de leur developpement economique et social et par extension le renforcement de la stabilite et de la paix dans une region, ou ces deux biens ne doivent pas etre consideres comme acquis.

Deuxiemement, la Grece acquiere pour la premiere fois des frontieres terrestres avec l’Union europeenne, plus precisement l’Europe centrale et orientale, avec toutes les consequences positives que cette « union naturelle » entraine au niveau politique, mais aussi economique et commercial.

Plus specifiquement, en ce qui concerne nos relations economiques et commerciales bilaterales, il convient de souligner, pour ce qui est de la Bulgarie, que la balance commerciale est continuellement positive. Au cours des deux dernieres annees, le commerce bilateral avec la Bulgarie a enregistre une forte hausse, tandis que les exportations grecques ont double compare aux performances d’il y a cinq ans. La Bulgarie constitue le troisieme pays d’exportation pour la Grece (1019,52 millions de dollars en 2005). En ce qui concerne la presence grecque en terme d’investissements, force est de constater que les capitaux grecs pendant la periode 1996-2005 ont occupe la seconde place parmi les investissements directs etrangers, le montant du capital investi s’elevant a 1364,6 millions d’euros. En 2005, les investissements grecs directs en Bulgarie etaient de 180 millions d’euros, placant notre pays au quatrieme rang des investisseurs etrangers pendant cette periode. Aujourd’hui, plus de 1500 entreprises grecques sont presentes en Bulgarie, contribuant de ce fait a la creation de plusieurs dizaines de milliers d’emplois, notamment dans le nord de la Bulgarie, ou operent des usines de textiles et de chaussures.

En ce qui concerne la Roumanie, il convient de noter que nos relations economiques et commerciales bilaterales se developpent de facon satisfaisante ces dernieres annees. Force est de souligner la presence dynamique de la Grece en Roumanie en terme d’investissements, dans le cadre d’une cooperation stable et a long terme. En 2005, les exportations grecques vers ce pays ont augmente de 6,6%, passant de 385,41 millions d’euros en 2004 a 408,71 millions d’euros en 2005. Par ailleurs, notre pays figure parmi les trois premiers investisseurs etrangers (force est de noter que les plus grands investissements grecs dans les Balkans ont ete realises en Roumanie), avec environ 800 entreprises actives et un capital investi global estime a plus de 3 milliards d’euros.

Le dernier point, mais non le moindre, est que notre pays obtient de ce fait deux allies naturels au sein de l’Union europeenne, ce qui lui permettra de mieux faire comprendre et respecter les sensibilites et les particularites de l’Europe du Sud-Est, de notre region. Et surtout, la Grece attend avec interet de travailler de concert avec les deux nouveaux partenaires, suivant une vision et avec determination, en vue de realiser ce que notre pays a, deja au moment de la premiere presidence de l’UE, defini comme priorite strategique de sa politique des Balkans : l’acceleration de la perspective europeenne des pays des Balkans restants et leur integration a long terme a l’Union europeenne.

http://www2.mfa.gr/www.mfa.gr/GoToPrint…

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ven 25/04/2008 - 02:28 Permalien

A LA DECOUVERTE DE LA ROUMANIE

Des vacances mediterraneennes sur des plages magnifiques

Le temps merveilleux du printemps jusqu'en automne et les immenses etendues de sable dore ne sont que deux raisons qui devraient vous convaincre du fait que le littoral roumain de la Mer Noire est une destination ideale de vacance.

Ici, vous trouverez tout ce que vous desirez: des hotels modernes, une vie de nuit animee, une grande variete de terrains et de salles de sport, ainsi que de nombreux objectifs d'interet touristique sur la cote, a commencer par des chateaux et jusqu'aux vignobles. Maintenant, quand le pays est lance vers un nouveau futur, le littoral roumain revient dans le circuit touristique europeen.

http://www.turism.ro/francais/

Office du tourisme

http://www.roumanie-tourisme.be/present…

Un Pays merveilleux qui a un peuple adorable

LE SUJET SUR LA ROUMANIE EST TELLEMENT VASTE QUE J AI ESSAYE DE FAIRE Un PETIT APERCU DE CE QUE REPRESENTE DANS L HISTOIRE LES ROUMAINS ET LEUR PAYS A TRAVERS LES AGES

Bonne lecture

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ven 25/04/2008 - 02:33 Permalien
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Sabin

Alex mon ami chapeau!!C'est un travail titanique que tu as réalisé ici.
Je n'ai lu que la moitié mais je veux lire tout ,et je veux revenir sur le sujet.
En tout cas bravo!!Un grand merci et passes des Joyeuses fêtes de Pâques!!
Tu nous a gâté à moi et Claudia.A coté du ton beau travail j'ajoute ce site que j'ai trouvé sur
la Roumanie d'aujourd'hui,sa économie etc.
http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89cono…

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ven 25/04/2008 - 09:47 Permalien
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Claudia

Et effet, très beau cadeau pour la Pâques!

[b]Ευχαριστώ Alex γι΄ αυτό το ενδιαφέρον θέμα και για την ειλικρινή σου φιλία προς τη Ρουμανία.
Ζήτω η ελλάδα! Ζήτω ο ελληνικός λαός ![/b]

Parmi les grecs éminents en Roumanie, qui ont contribué énormément pour la culture roumaine,nous pouvons ajouté aussi
[b]Iannis Xenakis[/b] , pionnier de la musique classique basé sur les mathématiques, le grand écrivain [b]Panaït Istrati[/b] puisque son père était grec et sa mère roumaine.Il était , surnommé le Gorki des Balkans et beaucoup,beaucoup d'autres.[b]Mais la culture grecque est inégalable.[/b]
Même dans la langue roumaine nous avons à coté des termes médicaux ou dans la philosophie, astronomie, zoologie, biologie, mathématiques, géométrie,trigonométrie, algèbre, sciences, chimie etc. qui proviennent du grec et qui sont internationaux aussi,nous avons d'autres termes qui sont que dans le roumain.Comme par ex [b]trandafir[/b] (la rose en français)qui provient du grec [b]τριαντάφυλλο[/b].C'est juste un petit complément a coté de ce magnifique travail effectué par Alex.En fait, il ne faut pas que j'oublie.
[b]Joyeuses fêtes de Pâques à tous![/b]

Amitiés!A bientôt!
Claudia

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ven 25/04/2008 - 17:28 Permalien