Privatisation des ports Hellènes: fin du communisme décadent en Grèce ?

Kalhmera,

Je suis la Québécoise dont Alex a copié-collé le texte ici (C'est pas bien de le faire sans m'en parler, mon cher ;)). Je ne comprends pas trop votre bagarre, paidia. J'adore la Grèce et j'essaie d'y vivre, de la connaître et d'apprendre sa langue parce que je m'y sens bien et que j'y ai été très bien accueillie. C'est beaucoup plus qu'une affaire de climat agréable et de belles ruines! C'est le coeur et l'esprit qui me retiennent en Grèce.

Et comme je le disais dans mon post, c'est un coin de la planète où les gens sont encore civilisés, même si plusieurs de mes amis grecs sont pessimistes face à l'avenir ("Tu vas voir, ça va finir par devenir comme partout ailleurs"). D'autres amies grecques - curieusement que des femmes! - travaillent plutôt pour donner un meilleur avenir à leur pays au lieu de se décourager ou de se péter les bretelles de satisfaction. Elles militent notamment pour l'environnement, auquel les Grecs ne sont pas encore assez sensibilisés (je lis des heorreurs, là-dessus), et j'ai une amie avocate qui part étudier en France cet automne afin de se spécialiser en droit environnemental. Je suis très fière d'elles.

Comme le résumait simplement un Grec venu commenter le texte de mon blogue copié-collé ici, la Grèce, ce n'est pas le paradis mais ce n'est pas l'enfer non plus. C'est ce qu'on en fait, "on" étant les Grecs et les étrangers qui vivent en terre grecque. J'espère qu'on s'entendra tous pour la garder belle, vivante et accueillante.

Ta leme