Au nord-est de la Turquie (région du pont) vit une population musulmane dont la langue maternelle est le grec, les Pontiques.
Ce sont les descendants des Grecs pontiques. Les Grecs pontiques chrétiens ont été expulsés par le Turcs, seuls restent les musulmans.
Certains pontiques vont faire leurs études en GRECE.
Cet article dénonce l'histoire de Fehti Gioultepe ; c'est un turc pontique venu faire ses etudes a Athenes.
Alors qu'il rentrait en Turquie voir sa famille dans le Pont, ila été arrêté à INSTANBUL par la police turque pour tentative de création d'un état pontique en Turquie et il est emprisonné en Turquie, dans l'incapacité de poursuivre ses études à Athènes.
Cela se passe aujourd'hui dans la très européenne Turquie, et puisqu'il parait que pour ne pas être raciste il faut les accueillir en Europe, cela se passe donc chez nos futurs "compatriotes " européens, dans le pys qui sera le pays le plus important de l'UE en superficie et population, donc le leader de l'Europe.
Evidemment la turquie critique la Russie à propos de la TCHETCHENIE. Heureusement que FEHTI GIOULTEPE n'a pas jeté un pétard (ni une bombe) ni touché à un seul cheveu de soldat ou citoyen turc comme le font les Tchetchenes en Russie sinon que lui serait-il arrivé?
question : pourquoi personne ne parle de FEHTI GIOULTEPE ?
En réponse à A Chris par Stella
Re: A Chris
Rhaidestos-Rhodosto est en Thrace, port de la Propontide-mer de Marmara, à mi-distance entre Kallipoliet Constantinople (à 140 km). Son premier nom était Bisanthe. Son troisième nom, turc, est [u]Tekirdag[/u];
C'est là que se réfugia en 1717, Férenc-François II Rakoczy, chef de l'insurrection hongroise contre les Habsbourg. Victorieux puis exilé en Prusse, en France et enfin en Turquie, à Rodosto. Il y mourut le 8 avril 1734 (ou 1735), à 59 ans.
La marche du 1er janvier qui termine le concert de l'ex capitale des Habsbourg, chant populaire hongrois, a été repris par Berlioz et par Liszt.
Je crois que c'est la patrie du père d'Henri Verneuil, armateur arménien de ce petit port à population principalement grecque...
A Belleville il y avait plusieures familles grcques de réfugiés lausannois de Rodosto quand j'étais enfant.
A Chris
Je suis dubitative sur la traduction de "apo tin Tonia tis Trapezountas", tu viendras à mon secours, j'espère.
Mais surtout au secours de notre jeune étudiant emprisonné à Raidestou, il faudrait préciser où se trouve Raidestou.
En réponse à A Chris par Stella
Re: A Chris
Ca veut dire de Tinia de la Trabzon (Trabzon est une grande ville turque , la Trébizonde grecque - trapezounta) Tinia est apparemment une petite ville de la région de Trébizonde.
En réponse à Re: A Chris par CHRIS
A Chris
La traduction comporte donc au moins cette erreur. Je propose que nous y ajoutions les précisions nécessaires et qu'également nous le rectifions afin de l'expédier à l'organisation de notre choix.
On peut se situer dans un point de vue de persécution ethnique moins dans un point de vue nationaliste grec (qui serait en tout cas perçu comme tel). Je trouve pour ma part inutile de dire que du temps du sultan, il existait telle ou telle possibilité. Le sultannat était un régime hyper-autoritaire, est-il nécessaire de s'y référer?
Je reprécise la situation géographique de Trabzon, c'est une ville à l'est de la Turquie, au bord de la Mer noire, dans une région qui s'appelle le Dogu Karadeniz Daglarii.
Un etudiant pontique arrete en Turquie
Cela ne peut pas nuire:
Amnesty International France
76 boulevard de la Villette
75 940 Paris cedex 19
France
adresse e-mail: webmestre@amnesty.assoc.fr
Texte revu et corrig
En Octobre 2002 et aujourd'hui
DANS UNE PRISON TURQUE, un étudiant interdit d'instruction et privé de sa liberté.
Nous vous demandons d'intervenir afin d'obtenir la libération de FEHTI GIOULTEPE, étudiant à l'Université de Pandeio, à Tinia, près de Trabzon (au bord de la Mer noire) et incarcéré sans aucune raison par les autorités turques. Le jeune Fehti Gioultepe se trouve empêché de poursuivre ses études. Nous avons été alertés de l'arbitraire de son arrestation ainsi que de sa situation par la Fédération des Pontiques de la Grèce du Nord.
Au cours du mois d'octobre, Fehti Giolutepe, citoyen de nationalité turque et de confession mulsumane s'est rendu à Istanbul, sa ville d'origine pour rendre visite à sa famille. C'est dans cette ville que les autorités du régime turc l'ont arrêté. Prétexte de son arrestation et motif invoqué, "le jeune étudiant aurait voulu fonder un état pondique". Sur ce motif ridicule, Fehti Gioultepe a été incarcéré dans la prison sous haute surveillance de Raidestou.
Le jeune étudiant se trouve ainsi privé du droit à des études universitaires à cause à l'action violente de l' Etat turc. Des milliers de jeunes gens dans la région pontique sont également privés de cette liberté.
La Fédération nous communique cette information: "Les droits à l'instruction et à la libre circulation des personnes que les musulmans kazakhs, ousbecks, tartares et tchéchènes qui poursuivent leurs études dans les Universités d'Ankara et d'Istanbul, exercent, ces droits-là, les Pontiques de religion mulsumane en sont privés. Au contraire, dans la région de Thrace, en Grèce, les musulmans turcs ou non turcs peuvent poursuivre leurs études sans aucune difficulté.
Pourquoi les étudiants turcs d'origine pondique ne peuvent-ils pas aller étudier à Athènes, pourquoi cette possibilité leur est aujourd'hui fermée?
Imaginez que vous-même ou que votre fils se trouve empêché comme aujourd'hui Fehti Gioultepe et pour combien de temps? Nous ne doutons pas que vous usiez de vos qualités diplomatiques pour que les autorités turques réparent cette erreur musclée dont les conséquences humaines sont évidentes.
Nous vous remercions de votre lecture attentive.
En réponse à Texte revu et corrig par Stella
Discrimination ethnique
L'article du journal, légèrement modifié pour plus d'efficacité. Ceux qui sont touchés par la situation de ce jeune homme peuvent l'imprimer tel que et l'envoyer à l'organisation des droits de l'homme de leur choix ainsi qu'aux diverses organisations composant l'Union européenne.
En réponse à Texte revu et corrig par Stella
Re: Texte revu et corrig
S'en vouloir envahir les lieux. J'ai constaté quelques fautes à l'impression. Je renvoie le texte, corrigé cette fois.
Le nous signifie je, citoyen lamda. Pour ma part, je m'implique toujours par un simple courrierpostal, c'est déjà la démarche la plus simple.
En réponse à Texte revu et corrig par Stella
STELLa, problème URGENT
Stella ya un petitproblème, quand tu dis :
Nous vous demandons d'intervenir afin d'obtenir la libération de FEHTI GIOULTEPE, étudiant à l'Université de Pandeio, à Tinia, près de Trabzon (au bord de la Mer noire)
stella, laisse moi ton mail et je t'enverrai une version traduite de l'article dans la soirée
il y a quelques erreurs : panteio, c'est une université à Athènes
Tinia de Trabzon, c'est la ville d'origine de l'étudiant
En réponse à Re: Texte revu et corrig par Stella
Re: Texte revu et corrig
En Octobre 2002 et aujourd'hui
DANS UNE PRISON TURQUE
Nous vous demandons d'intervenir afin d'obtenir la libération de Fehti Gioultepe, étudiant à l'Université de Pandeio, à Tinia, près de Trabzon (au bord de la Mer noire) et incarcéré sans aucune raison par les autorités turques. Le jeune Fehti Gioultepe se trouve empêché de poursuivre ses études. Nous avons été alertés de l'arbitraire de son arrestation ainsi que de sa situation par la Fédération des Pontiques de la Grèce du Nord.
Au cours du mois d'octobre, Fehti Gioultepe, citoyen de nationalité turque et de confession mulsumane s'est rendu à Istanbul, sa ville d'origine pour rendre visite à sa famille. C'est dans cette ville que les autorités du régime turc l'ont arrêté. Prétexte de son arrestation et motif invoqué, "le jeune étudiant aurait voulu fonder un état pondique". Sur ce motif ridicule, Fehti Gioultepe a été incarcéré dans la prison sous haute surveillance de Raidestou.
Le jeune étudiant se trouve ainsi privé du droit à des études universitaires à cause à l'action violente de l' Etat turc. Des milliers de jeunes gens dans la région pontique sont également privés de cette liberté.
La Fédération nous communique cette information: "Les droits à l'instruction et à la libre circulation des personnes que les musulmans kazakhs, les ousbecks, les tartares et les tchéchènes qui poursuivent leurs études dans les Universités d'Ankara et d'Istanbul, exercent, ces droits-là, les Pontiques de religion mulsumane en sont privés. Au contraire, dans la région de Thrace, en Grèce, les musulmans turcs ou non turcs peuvent poursuivre leurs études sans aucune difficulté.
Pourquoi les étudiants turcs d'origine pondique ne peuvent-ils pas aller étudier à Athènes, pourquoi cette possibilité leur est aujourd'hui fermée?
Imaginez que vous-même ou que votre fils se trouve empêché comme aujourd'hui Fehti Gioultepe et pour combien de temps? Nous ne doutons pas que vous usiez de vos qualités diplomatiques pour que les autorités turques réparent cette erreur musclée dont les conséquences humaines sont évidentes.
Nous vous remercions de votre lecture attentive.
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