Qu'observez-vous en Méditerranée centrale ?
D'abord une augmentation des arrivées, on en revient aux chiffres de 2017. Avec des départs depuis la Libye, mais aussi, en forte hausse, depuis la Tunisie. Et puis, les embarcations utilisées sont de plus en plus précaires. Ici, on parle d'un bateau de pêche : plusieurs centaines de personnes sur un chalutier qui n'est pas fait pour ça. La prise de risques est de plus en plus grande.
Comment l'expliquez-vous ?
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