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« Le British Museum n’a jamais acquis les marbres du Parthénon de manière légitime », estime Athènes

Published in Le Figaro on
Les marbres du Parthénon exposés au British Museum, à Londres, le 16 octobre 2014.
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Les marbres du Parthénon exposés au British Museum, à Londres, le 16 octobre 2014. Cette collection d'objets, d'inscriptions et de sculptures en pierre, également connus sous le nom de marbres d'Elgin, fait l'objet d'un litige de longue date entre la Grèce et le Royaume-Uni. Dylan Martinez / REUTERS

La fin de non-recevoir de Londres n'a pas laissé Athènes de marbre. La déclaration du premier ministre britannique publiée vendredi au sujet de la collection de marbres du Parthénon a provoqué l'exaspération du gouvernement grec qui, par l'intermédiaire de sa ministre de la Culture et des Sports Lina Mendoni, a étrillé Boris Johnson. Selon elle, il n'a « ».

Rappelant dans un communiqué qu'un faisceau de nouveaux indices indique que les marbres du Parthénon « » et que, par extension, « », la ministre Lina Mendoni en a appelé au sens de la responsabilité de ses homologues britanniques et au respect du droit international concernant les biens culturels. « », a-t-elle affirmé vendredi, en soulignant que son pays restait disposé à communiquer au Royaume-Uni les éléments historiques qui semblent faire défaut.

Deux blocs opposés

Revendiquée par la Grèce mais conservée depuis 1816 au British Museum, la collection de chefs-d'œuvre en marbres du Parthénon - la grande frise, les métopes et les sculptures qui ornaient le grand temple de l'Acropole dédié à Athéna - fait l'objet depuis des années d'une vive dispute internationale. Celle-ci s'est vue relancée ces...

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