Les températures, dans le petit village d'Idomeni, dans le nord de la Grèce, fluctuent entre - 9° et - 10° ces jours-ci. C'est assez pour tétaniser les quelque 1700 réfugiés qui se sont retrouvés, mardi 19 janvier dernier, bloqués à la frontière gréco-macédonienne. Officiellement, Skopje a fermé sa frontière de manière provisoire, après une demande de la Slovénie. Mais personne n'a été capable d'expliquer aux milliers de femmes, hommes, enfants et nourrissons, qu'ils devaient patienter dans les bus affrétés près d'une station-service voisine, ...
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