Au lendemain de l'annonce de défaut de paiement de la Grèce, la presse tente de prendre la mesure de l'impact de la situation sur les relations entre les pays - DR
Au lendemain de l'annonce de défaut de paiement de la Grèce, la presse tente de prendre la mesure de l'impact de la situation sur les relations entre les pays européens et sur l'économie. Elle commente également l'aspect historique de l'événement et les enjeux du référendum prochain.La Nación : Un défaut historique
La Nación se concentrait mercredi sur le côté historique du défaut grec : « Sans précédent : la Grèce est le premier pays développé à faire défaut », titrait mercredi le quotidien argentin.
La nouvelle a une résonnance particulière pour ce pays qui a fait défaut sur 100 milliards de dollars en 2001. « C'est également le premier pays européen à faire défaut depuis la fin de la seconde guerre mondiale », ajoute le quotidien.
La semaine dernière, The Economist avait détaillé les implications de cette crise sur les relations entre les pays de la zone euro, titrant « Mon bon gros divorce grec ». Sur la couverture, Aléxis Tsípras et Angela Merkel surplombaient le vide du haut d'un rocher. Le Washington Post avait choisi un point de vue similaire mardi.
The Washington Post : Merkel en passe de remporter son duel contre Tsipras
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