La partie d'échecs qui se joue entre la Grèce, d'une part, la zone euro et le Fonds monétaire international (FMI), d'autre part, est sur le point de s'achever. Si aucun accord sur les coupes budgétaires et les augmentations d'impôts à accomplir n'est trouvé rapidement (1), Athènes ne recevra pas l'argent promis (7,2 milliards d'euros) et elle ne pourra pas rembourser les 1,6 milliard d'euros qu'elle doit au FMI et les 6,7 milliards qu'elle devra verser à la Banque centrale européenne (BCE
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