Aller au contenu principal

Le gouvernement grec n'exclut pas de nouvelles élections ou un referendum

Publié dans La Tribune le
le gouvernement grec confirme que si un accord n'est pas trouvé d'ici juin avec les créanciers du pays, tout va devenir plus compliqué (Crédits : Forex)


.
Légende

le gouvernement grec confirme que si un accord n'est pas trouvé d'ici juin avec les créanciers du pays, tout va devenir plus compliqué (Crédits : Forex)

Le vice-Premier ministre grec Ioannis Dragasakis (Syriza) a reconnu dans une interview dimanche 19 avril que sans accord d'ici juin avec les créanciers du pays débouchant sur le déblocage d'une aide financière, "tout prendra un tour beaucoup plus difficile".

"Si nous arrivons en juin sans accord, tout prendra un tour beaucoup plus difficile", a admis M. Dragasakis dans un entretien à l'hebdomadaire To Vima. La Grèce fait face à de très lourdes échéances de remboursement de prêts en juillet et août.

Des élections pour "solliciter une issue"

Interrogé sur la possibilité d'élections ou d'un référendum en cas d'absence de compromis, il n'a pas nié que ces hypothèses existaient "tout au fond de l'esprit (du gouvernement, ndlr)" pour "solliciter une issue, en cas d'impasse".

Le gouvernement grec de gauche radicale est régulièrement interrogé sur cette éventualité de nouvelles élections ou de référendum et y a apporté des réponses variables jusqu'ici, allant de la complète dénégation à la plausibilité.

Athènes est sous pression de ses créanciers qui ont multiplié ces derniers jours les appels aux "efforts", à "plus de...

Explore