Si Alexis Tsipras convoque un mini-sommet européen, c'est parce le temps presse. Les caisses de l'État se vident, et les échéances de l'État sont inchangées. Rien que pour le mois de mars, elles s'élèvent à 2,5 milliards d'euros. Mais la Grèce, qui affichait un surplus budgétaire primaire il y a trois mois, n'a plus de marge de man?uvre.
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