Dans le bras de fer qui oppose Alexis Tsipras à la chancelière Angela Merkel sur le remboursement de la dette, il n'est pas seulement question de la crise et des réformes exigées par la troïka. Pour la Grèce, il faudrait aussi solder les comptes du passé. Brutale pour ses habitants, l'occupation du pays par les nazis durant la Second Guerre mondiale a aussi coûté cher à l'économie du pays: selon des calculs effectués par le ministère des Finances grec en 2013, la dette de l'Allemagne s'élèverait à 162 milliards d'euros.
Continuer la lecture sur