Depuis le lundi 26 mars, 121 ressortissants russes ont été expulsés par l’Occident. Cette action conjointe vise à répliquer à l’empoisonnement de l’ancien espion Sergueï Skripal, attribué à Moscou. Mais pour l’heure, neuf États membres de l’UE ont choisi de ne pas expulser de diplomates russes.Neuf pays de l’UE restent pour l’heure en marge de l’offensive diplomatique collective lancée le 23 mars à l’issue de la réunion du Conseil européen, au cours de laquelle le Royaume-Uni s’est appliqué à convaincre ses futurs ex-partenaires de la culpabilité de la Russie dans l’empoisonnement de l’ancien agent double russe Sergueï Skripal.Il s’agit de l’Autriche, la Bulgarie, Chypre, la Grèce, le Luxembourg, Malte, le Portugal, la Slovaquie et la Slovénie. Cette situation intéresse au plus haut point la presse russe, alors que Moscou continue de demander une enquête indépendante et des preuves permettant d’étayer l’accusation d’“utilisation d’arme chimique sur un territoire étranger” portée contre le Kremlin. Comme l’écrit le site conservateur Vzgliad : “L’affaire Skripal est un révélateur des positions plus ou moins antirusses des leaders européens.” https://www.courrierinternational.com/a…
La Grèce à l'épreuve de la dette et des migrations
La Grèce est une colonie de la dette, la Zone euro gère son économie et sa politique
95 % de la supposée « aide » à la Grèce est retournée aux banques et aux créanciers du pays. (Handelsblatt). l’obligation de dégager un excédent budgétaire garantie par la mise en œuvre de politiques d’austérité automatiques ne va pas dans le bon sens mais répond à une logique de tiers mondialisation du pays.
La Grèce est traitée comme un état de seconde zone, maltraité, accusé de tous les maux.
La Grèce est devenue le bouc émissaire alors qu’elle est le révélateur des insuffisances de l’Union européenne, insuffisance de la zone euro, et insuffisance du cadre idéologique des dirigeants de la zone euro.
http://www.pole-europeen.fr/la-grece-a-…
Pour faire bref, la Grèce n'en a pas fini de sa mise en tutelle par les grandes puissances depuis son indépendance. L'Angleterre n'était rien d'autre qu'un croque-mitaine,... et j'en passe sur son influence néfaste sur le jeune état grec.