C'est à une écrasante majorité de 412 voix contre 69 que l'Assemblée nationale a approuvé mercredi après-midi le troisième plan d'aide à la Grèce, pour permettre son maintien dans la zone euro. Les déclarations du premier ministre grec, Alexis Tsipras, affirmant avoir signé un accord «auquel il ne croit pas», avaient créé un malaise, dans la matinée, mais c'est la solidarité à l'égard de Tsipras qui l'a finalement emporté sur toute autre considération, même si beaucoup de députés ont voté oui «par devoir».
Au final, 270 députés PS (sur 287) ont voté en ...
Continuer la lecture sur