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Grèce : Berlin refuse d'assumer le rôle du méchant

Publié dans Le Figaro le
Angela Merkel pendant une conférence de presse, lundi à Bruxelles. Crédits photo : Michel Euler/AP
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Angela Merkel pendant une conférence de presse, lundi à Bruxelles. Crédits photo : Michel Euler/AP

C'est une avalanche de critiques. Depuis lundi matin et l'accord conclu avec la Grèce, l'influence de l'Allemagne en Europe est contestée de toutes parts. La première puissance économique de l'Union imposerait ses vues et menacerait l'équilibre européen. La zone euro aurait frôlé l'éclatement en raison de l'entêtement de la chancelière Angela Merkel et de son ministre des Finances, Wolfgang Schäuble. L'accusation provient aussi bien de la presse allemande que des observateurs étrangers. À Berlin, on balaie les reproches d'un revers de main. «Je ne discute pas de quelques titres»,a éludé lundi le porte-parole du gouvernement Steffen Seibert, revendiquant un seul objectif pour l'Allemagne: «Renforcer la zone euro».

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