Les paroles de Mario Draghi sont rares et valent de l'or. En accueillant le premier ministre français, Manuel Valls, mardi après-midi dans sa tour de Francfort, le président de la Banque centrale européenne (BCE) se contente d'un chaleureux «Bienvenu» devant les caméras. Pas de discours. Le patron de la BCE n'a pas vocation à animer le débat politique. Il ne veut commenter publiquement ni l'état ...
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