Par les temps qui courent, être banquier à Athènes ou à Salonique n'est pas un métier de tout repos. On se trouve soumis à un double défi. D'un côté les clients particuliers ont tendance à retirer leurs fonds, dans la crainte d'un «Grexit», d'une sortie de l'euro et d'un retour à la drachme. De leur côté, les entreprises cherchent à mettre leur argent en lieux plus sûrs, dans une banque allemande par exemple.
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