[i] L'organisation de coopération et de développement économiques, OCDE (en grec ΟΟΣΑ), organisation internationale, siègeant à Paris, a présenté son étude sur la Grèce, le 2 VIII 11.
Ce que prévoit la Grèce est [u]ambitieux[/u] , [u]il peut réussir[/u] , si sa mise en oeuvre est [u]irréprochable[/u]. Les termes soulignés sont ceux du rapport. Ses hypothèses sont [u]prudentes[/u] .
Angel Gurria, le secrétaire général de l'OCDE, qui s'est rendu à Athènes, pense que la Dette publique hellénique pourrait redescendre à 60% du produit intérieur brut, [b]mais dans les deux décennies à venir[/b] .
Il ajoute : " [u]Nous voyons les premiers signes indiquant que l'indispensable ajustement macroéconomique s'opère progressivement[/u]." Il salue les [u]réformes considérables[/u] depuis un an et les réductions du déficit, "[u]Même si l'effort accompli ne semble pas toujours apprécié à sa juste valeur en Grèce ou à l'étranger[/u]"
L'OCDE insiste sur
- le meilleur recouvrement des impôts, (la fraude, qualifiée de "sport national" par les médias, ferait une perte évaluée à 12 000 000 000€, dit-on).
- les privatisations renforcées,
- l'attention au meilleur usage de l'argent public.
Elle regrette le recul sur les accords salariaux. [/i]
Etude de l'OCDE sur la Grèce. 2 VIII 2011.
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