La Grèce a affirmé dimanche qu'elle allait secourir un groupe de dizaines de migrants bloqués depuis des jours sur un îlot du fleuve Evros frontalier avec la Turquie, faute d'avoir obtenu qu'ils soient repris par ce pays.
Les «sincères condoléances» de Ferrovie dello Stato Italiane (FS) passent par la voix d'Hellenic Train, la compagnie grecque rachetée par le groupe public italien il y a plus de cinq ans, lorsque la société privée s'appelait Trainose.
Moins tapageuse que l'Italie, la Grèce a pourtant accueilli le double de migrants depuis 2015. Elle souffre elle aussi d'un manque criant de solidarité de la part de ses voisins européens
Une Belge de 22 ans visée par un mandat d'arrêt européen pour appartenance à une organisation terroriste a été arrêtée sur l'île grecque de Corfu, indique samedi l'agence ANA/MPA d'après des sources policières.
La Macédoine a fermé sa frontière avec la Grèce aux migrants souhaitant se rendre en Europe occidentale, a fait savoir, mercredi 20 janvier, un haut responsable de la police macédonienne.
Quelques heures avant une réunion des ministres de l'intérieur de l'Union européenne (UE) consacrée à la situation de la Grèce face à la crise migratoire, le flux des migrants a repris à la frontière entre la Grèce et la Macédoine.
De nouvelles tensions ont opposé lundi soir des migrants et la police à Lesbos, une île grecque de la mer Egée, au moment où l'Europe annonçait des gestes de solidarité face à un afflux de réfugiés qui ne se tarit pas.